Chapitre 5

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*** lignes à caractères sexuels dans ce chapitre ***

Je me réveillais et la petite n'était plus collée à moi, elle tripotait ces doigts de son côté... En signe de bonjour je lui embrassais son épaule dénudée - c'est comme ça que je faisais avec Perséphone - puis je soufflais et passais mes mains sur mon visage pour mieux me réveiller. Je me rallongeais et baillais avant de finalement me lever pour aller prendre une douche froide pour mieux me réveiller. Au bout de quelques minutes alors que j'étais la tête contre la parois du mur à réfléchir sur ma journée, la petite voix de Aya e brisé le silence du jet d'eau.

- Je peux ?

- Tu peux quoi ?

- Ca. dit elle en entrant dans la douche.

Je la regardais me faire face en attendant ma réponse alors que tout ses membres commençaient à geler au contact de l'eau. J'aurais bien aimé lui dire non, juste pour voir sa réaction mais la voir trembler comme ça, à attendre ma réponse me donnait l'impression qu'elle était fragile et que je devais la protéger. Pour toute réponse je la pris dans mes bras en frottant son dos pour qu'elle se réchauffe. Elle plaça sa tête dans le creux de mon torse en y plaçant un tout petit bisous et en m'entourant de ses frêles petits bras, me faisant rire. J'attrapais alors mon gel douche Invictus, une marque humaine - je n'en avais pas pour femme - et commença à lui en étaler sur le dos et les fesses. J'avais jamais vu des fesses comme ça c'est ouf, genre elles sont fermes et rondes mais pas trop, je ne sais pas si vous voyez mais je les a-do-rais ! D'ailleurs je crois qu'elle l'a remarqué puisqu'elle a rit et je n'ai pu m'empêcher de la rejoindre dans son rire, lui attrapant une fesse et lui relevant la tête. On se regardait maintenant et je lui déposa juste un chaste baiser sur les lèvres. Elle me sourit avant de faire la même chose et de ranger sa tête dans mon torse.

Une fois la douche prise je lui fis apparaître une robe et des talons et nous partîmes prendre le petit-déjeuner.

- Tu ne manges pas comme hier ? me demanda-t-elle.

- Non. C'était pour te dégoûter. avouais-je.

Autant dire la vérité, elle comprendra peut-être qu'elle n'est pas la bienvenue ? J'espère.

- Oh. d'accord.

Elle commença à manger ces pancakes avec un sourire aux lèvres puis au bout de quelques secondes elle éclata de rire, je rêve ou elle se moque ?!

- Et ça n'a pas fonctionnééé ! Hahaaaa ! ricana-t-elle.

- Tu te souviens du Tartare ? la menaçais-je.

Elle arrêta de rire mais garda un sourire en coin trop craquant.

- T'es pas drôle... murmura-t-elle.

J'hocha négativement la tête pour réprimer un rire tellement elle était mignonne. Mignonne, pas pour moi.

On finit donc de petit-déjeuner et je la ramena à la chambre sous un chaste baiser et des sourires de sa part. Je soupirais devant cette porte et me rendais sur mon trône pour décider des prochains morts. En réalité ce n'est pas vraiment moi qui décide, je fais ces listes pour suggérer la mort de ses personnes, mais ce n'est en aucun cas à moi de décider ces choses, chaque divinité son problème, moi j'aide juste. Une fois cela fini je partis faire ma balade habituelle entre Tartare, Champs Elysées et même le Styx. J'adore ce fleuve, des fois je bois un peu de son eau et j'imagine avoir perdu la mémoire, comme tout ces humains, puis je m'invente une vie, une vie humaine avec une grande maison, des enfants et même un chien, des voisins aimables, un petit couple de vieux... Puis je me rappelle que non, tout ça c'est faux... Je soupire et remonte sur mon trône.

- Maître, votre maîtresse du jour vous attend. me préviens l'un des hommes.

D'un faible coup de main je le renvois et réfléchis, de toutes façons je ne compte pas faire l'amour avec l'autre gamine, ce serait comme le faire avec ma fille et je trouve ça dégoûtant, et puis j'ai des désirs à assouvir, femme ou pas. Je me dirige donc vers la chambre où la jeune fille m'attend.

Je ne comprends plus rien... J'en ai baisé deux d'affilé, DEUX ! Elles ont juste réussi à m'exciter les salopes, rien de plus ! Putain j'ai les nerfs ! Aucune n'a réussi à me faire plaisir, alors que d'habitude ce sont elles les meilleurs ! Alors que j'allais m'en sauter une troisième on me prévient que le dîner est servi et avec ça je n'ai même pas déjeuné, j'ai vraiment la dalle ! C'est donc en rogne que je me dirige vers ma chambre pour aller chercher Aya. Quand j'entre elle n'est pas là alors je me dirige vers la salle de bain et ce que je vois me choque, c'est magique et bizarre et excitant et glauque en même temps ! Des bougies sont disposées un peu partout, la baignoire est remplie d'eau et Aya est au sol, nue, en train de se mutiler autour d'une petite marre de sang. Je la contemple un peu puis quand l'information me monte au cerveau je la lève d'un coup, la faisant sursauter, et lui arrache la lame des mains. Elle me regarde et recule un peu, la peur dans ses yeux.

- Je peux savoir ce que tu fous ?! Je te laisse une journée et voilà dans quel état je te retrouve ?! gueulais-je.

- Ecoute, c'est pas ce que tu crois... Je vouais juste m'occuper...

Et là une idée me vient en tête, elle va me détester et moi j'aurais eu ce que je voulais, certes, je trouve ça dégueulasse mais temps pis, c'est ma femme après tout.

- Tu voulais t'occuper ? Et bien on va s'occuper ensemble, tu vas voir.

Je lui attrape une jambe et la ramène dans la chambre pour la balancer sur le lit. Je lui attrape ensuite la gorge et l'embrasse, enfin... lui bouffe la gueule comme diraient les humains. Je bloque ces jambes après les avoir écartées avec les miennes et lui attrape la jambe. Quand je sens sa respiration difficile j'arrête et remarque qu'elle a les lèvres et le contour de la bouche violet. Je lâche sa gorge pour attraper l'un de ses seins et plonge ma tête dans son cou, la faisant gémir.

- S'il te plaît... Pas... comme ça...

J'ai envie de lui rire au nez mais je ne fais rien et continue.

- S'il te plaît ! Transforme toi en Hades, le vrai...

Je m'arrête cette fois-ci dans mes mouvements et la regarde.

- Quoi ?

- Je... Je te préfère en monstre, Hades.

Sa demande est louche mais j'ai trop envie de la sauter pour m'en préoccuper et fais ce qu'elle me demande. Une fois que je l'ai fais elle me souris et se met à califourchon sur moi pour me lécher de ce que l'on pourrait appeler des pectoraux à ce que l'on pourrait appeler un "V", puis elle baisse un peu mon short pour pouvoir en sortir mon sexe puis elle commence à...

Enfin bon, je vous laisse imaginer la suite, hein... !

La femme d'HadesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant