Stockholm Syndrome

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Harry et Emilia.

Personne ne sait comment nous allons mourir, ou alors quand. Mais moi je sais comment et quand, enfin ce n'est plus qu'une question de temps.

Je suis enfermée ici depuis presque trois mois, trois mois que je suis dans cette pièce humide et noir avec seulement un matelas sur le sol. Harry, mon kidnappeur, m'emmène parfois de force dans l'une des chambres de la maison pour faire des... choses avec mon corps.

Moi qui avait beaucoup confiance en moi, qui me trouvais jolie, maintenant c'est tout le contraire. J'ai tellement honte, je suis tellement maigre, blanche. C'est comme ci j'étais morte.

Je le suis déjà à l'intérieur.

Mon corps mince est couvert de bleu qu'il m'inflige quand je me débat de trop, ou alors que je ne veux pas lui obéir. Une fois il m'a tellement frappé fort que je suis resté inconsciente pendant trois jours. Je sais que la police me recherche, je l'ai entendu à la radio qu'il ma fait écouter tout en souriant.

Mes parents sont mort d'inquiétude, la police me cherche sans succès.. Il est un tel monstre. Il profite de mon corps et il en fait profiter d'autre homme qui le paie. Par chance ses hommes n'ont pas le droit de coucher avec moi, seulement me regarder et me toucher.

Mais déjà ça c'est horrible.

Quand je me retrouve dans le salon accroché par les poignets suspendu au plafond et que je suis complètement nu alors que tout ses hommes me touche les parties de mon corps.

Harry m'interdit de pleurer, je ne le fait plus maintenant ou alors quand il n'est pas là. J'ai pleuré la première semaine que j'étais ici, pleuré sans jamais m'arrêter. J'en ai subi les conséquence, mon corps se souviendra à jamais de cette punition, de la lame de son couteau qui s'enfoncé sur mon bras.

Je ne l'ai plus sentis pendant près de trois semaines. Une fois j'ai pensé à mettre fin à mes jours avec mes menottes mais il est arrivé à temps et m'en a empêché. J'ai essayé de m'enfuir alors qu'il était soul et qu'il m'avait laissé dans la chambre, il m'a toujours rattrapé, j'ai tout essayé mais rien ne fonctionne..

Alors je me laisse faire, c'est le seul moyen.

Il me donne un dernier coup de reins avant de grogner de plaisir et de s'effondre sur moi alors qu'il lâche ma gorge qu'il tenait fortement. Aucune expression n'est sur mon visage, je n'ai ressentie aucun plaisir, aucune douleur, j'avais de la peine à respirer, mais je ne cherchais même à reprendre ma respiration.

Il glisse sur le coté et me regarde alors que je continue de fixer le plafond blanc. Sa main malaxe mes seins sans gêne et je sais qu'il sourit, il le fait tout le temps après m'avoir violé.

Avant lui j'étais une femme de vingt et un an qui était bien partie pour avoir son diplôme, avoir un appartement et être une femme heureuse. Mais tout est fini, il a tout foutu en l'air.

Il m'a kidnappé parce qu'il m'envié depuis des années, Harry a toujours était le garçon un peu bad boy, j'ai toujours refusé un rendez vous avec lui et maintenant je me dis que j'aurais du accepter, peut être que je n'aurais pas subit tout ça.

"C'est ton anniversaire non ?" dit il en prenant mon menton dans sa main. J'hoche la tête. "Alors je vais te faire un cadeau."

Il ouvre le tiroir de sa table de chevet et je m'attend déjà à voir l'un de ses jouets qu'il se sert pour mon 'plaisir' mais à la place je vois un téléphone jetable. Je fronce les sourcils.

"Je te donne l'autorisation d'appeler tes parents. Tu as cinq minutes. Mais si tu leur dit un mot sur moi, ou alors sur l'endroit où nous sommes... Tu sais ce que je peux te faire et je ne pense pas que tu le veuille." je secoue la tête. "Appel."

Imagine H.SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant