Chapitre 8*

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« Tu es si gros, » elle gémit, son dos s'arquant. Les ongles de Clara lacérèrent la peau chaude de son dos, des griffures sauvages qui donnaient l'impression qu'elles avaient été causées par un animal, s'éparpillaient sur ses omoplates et sa colonne vertébrale. Il était sur elle, leurs abdomens plaqués l'un contre l'autre et ses cuisses enroulées autour de son buste pour le tirer plus profondément en elle. C'était traînant cette fois-ci, plus paresseux et négligé ; ses pénétrations étaient profondes et irrégulières, concordant à la façon dont leur souffle sortaient de façon erratique. Harry gémit et enfonça sa tête dans le creux de son cou, ses lèvres tétant aveuglement la peau humide ; l'étroitesse dans son ventre était un signe que la fin véhémente approchait.

Clara hoqueta quand son orgasme la frappa. Elle écrasa sa tête contre l'oreiller et gémit avec une telle euphorie primitive que cela secoua ses os et que ses doigts de pieds se recroquevillèrent. Harry suivit rapidement après elle, reversant sa semence chaude dans la poche satinée de son corps qui semblait avoir été conçue juste pour lui. Avec un faible râle, il recouvrit de sa langue son épaule pour le distraire de la brûlure dans son ventre, son orgasme étant si intense que qu'il en était presque douloureux.

Le voyage jusqu'à l'hôpital n'avait été rien d'autre qu'une migraine – après avoir dû gérer toute la paperasse avec les compagnies d'assurance, elle du écouter sa mère pleurnicher et sangloter au téléphone pendant une demi-heure. Heureusement, il n'y avait pas grande chose à s'inquiéter au sujet de Jackson qui avait été un passager et qu'il ne s'agissait pas de sa voiture. Mais au moment où ils revinrent à son appartement Mardi soir, Clara s'endormie sur son lit avec Maggie roulé à ses pieds. Leurs parents avaient conduit aussi vite qu'ils avaient pu le jour suivant et avait récupéré Jackson, la libérant de sa tâche de babysitting.

A présent elle était dans le lit de Harry après une longue journée de travail. Son esprit était en compote alors qu'il roulait hors d'elle et fit courir ses doigts à travers ses bobines de cheveux.

Quand l'engourdissement de son orgasme se calma, elle se leva du lit et s'avança vers l'armoire ouverte où ses t-shirts noirs se trouvaient (ils étaient sûrement sales étant donné qu'ils étaient roulés en boule et jeter au sol). Elle attrapa celui qui sentait le moins la transpiration.

Harry leva un sourcil et s'assit, les draps s'amassant sur ses hanches. « Qu'est-ce que tu fais ? »

« J'enfile ton t-shirt, » sa voix était étouffée alors qu'elle passait sa tête au travers. Le vêtement noir se tenait de façon relâchée sur son corps, presque une robe qui tombait au-dessus de ses genoux. En temps normal, elle aurait été hésitante d'enfiler le t-shirt d'un homme, mais quelque chose en étant avec Harry lui faisait faire des choses en dehors de sa zone de confort. « Pourquoi est-ce que tes vêtements sont aussi larges ? » Elle rit doucement alors qu'elle observait le vêtement surdimensionné.

Clara avança à pas feutrés près de son lit et grimpa dessus, bougeant son corps de façon à être sur ses genoux près de lui, leur visage à quelques centimètres l'un de l'autre. Son souffle était chaud alors qu'il se dispersait sur ses lèvres, laissant son ventre s'agiter, et une chaleur se dispersa sur ses joues.

« Pourquoi es-tu si petite ? » Il riposta, accrochant son bras autour de sa hanche pour rapprocher son corps du sien. Le torse nu de Harry scintillait de sueur et Clara dû combattre l'envie de plonger sa tête et d'y faire courir sa langue sur chaque centimètre.

Ses lèvres se retroussèrent en un sourire. « Je ne suis pas petite, je suis actuellement dans la moyenne pour une femme. »

Clara ne put s'empêcher de nicher sa tête dans le creux de son cou et de laisser ses yeux papillonner alors qu'elle inhalait son parfum. Harry hésita pour un moment langoureux avant de l'accueillir, pressant son nez au sommet de son crâne. Elle sentait l'amande et le sucré artificiel, sûrement dû au shampooing peu coûteux qu'elle utilisait. Il voulait lui dire non, la repousser et agir froidement, mais après avoir connu ce que c'était de la tenir contre lui, Harry se dit qu'il n'y avait rien de comparable à cette sensation. C'était presque aussi satisfaisant que le sexe.

Till Dawn // VF [H.S] (Terminée)Where stories live. Discover now