Chapitre 6 : Lucas

21.3K 806 32
                                    

Bonjour, je vais continué à publier des petits chapitres car je peux en publier plus. Bonne lecture et surtout n'exister pas à me donner votre avis, bisous.

Chapitre 6 : Lucas

Ça fait maintenant cinq minutes envions que je regarde dans le vide sans voir les gens et les voitures passer, perdu dans mes pensées. Pourquoi l’ai-je laissé me voir dans un état pareil, c’est moi l’adulte ici et elle l’enfant.

C’est une très jolie jeune femme, d’une beauté à couper le souffle, et tu le sais très bien.

Non vraiment si quelqu’un ici c’est comporter comme un enfant c’est moi. Sérieusement comment j’ai pu me laisser aller comme ça, sanglotant dans ses bras à chaudes larmes, c’est un manque de professionnalisme envers elle et mon travail, je suis pathétique. Mais je vous avoue que je me suis sentie bien dans s’est bras, apaiser de mon chagrin d’apprendre que mon père à un cancer du foie. Put.. ! Qu’es qui  a bien pu m’arrive ? Jamais je ne me suis laissé consoler par l’une de mes maîtresses ou par qui que ce soit d’autre à part ma mère quand  j’étais enfant. Cette fille va m’amener à ma perte si je connus à la voir sauf que je n’ai pas le choix vue que je la vois tous les mardis et jeudis en cours, fait chi.. Sans parler de ce bisou qu’elle m’a fait avant de partir, j’ai l’impression d’avoir était marqué au fer rouge, c’est vraiment une sensation étrange comme si elle me disait par ce simple contacte que je lui appartenais  et à personne d’autre…pff…

Je me passe les mains sur mon visage tout en levant la tête vers le ciel bleu sans nuage, pour essaye de me calmer mon esprit et mon désir de la revoir.

Je décide de me lever du blanc pour rentrer à mon tour à l’intérieur. Je me dirige vers la salle d’attente pour savoir si ma sœur et mon frère ont des nouvelles de notre père. Quand je pénètre dans la pièce toute blanche où ils sont assis sur leur chaise pliable je leur demande :

-          Vous avez eu des nouvelles ?

-          Non, on ne sait toujours pas quand on pourra le voir, me répond ma sœur, elle a les yeux rouges de même pour mon petit frère.

Je reprends ma place de tout à l’heure. Et commence à me perdre dans mes pensées. Je me sens terriblement coupable de l’état de mon père, j’aurais dû le remarquer. Mais depuis que ma mère est morte, je me suis senti coupable durant des années. Vivant dans mon monde où personne d’autre comprenais ma souffrance. C’est grâce au sport que j’ai réussi à me focaliser sur autre chose. Le sport ma aider à évacuer tout ça et me sentir léger, tout cela remonte au secondaire ça m’a l’air d’être à des années lumières d’où je suis aujourd’hui.

Vous vous souvenez quand je vous ai dit que je raconterais peut être ce qu’il lui est arrivé. Et bien c’est le moment que je choisis pour vous révéler ce qui s’est passé. Comme je vous l’ai dit tout cela remonte à mes 12 ans. Ma mère et moi nous étions partie faire les courses de la semaine un samedi matin alors que mon frère et ma sœur était à l’école et mon père au travail. Je n’avais pas école le samedi et ma mère ne travailler pas non plus ce jour-là donc nous en profitons souvent pour y aller. Mais rien ne s’est passé comme d’habitude ce matin-là, vous le savais déjà j’imagine, tout était parfait il fessait beau, les oiseaux chanter et en plus ma mère m’avais acheté le nouveau jeu que je voulais, j’étais au ange. Mais mon monde parfait c’est écrouler  en un claquement de doigt alors que je traversais la route pour rentrer chez moi avec mon nouveau jeu entre les mains, je n’avais pas fait attention en traversant, puis j’ai entendu ma mère crier « LUCAS » quand j’ai vue qu’une voiture aller me rentrer dedans, je m’était pétrifier sur place et là d’un seul coup j’ai était projeté sur le sol. Quand j’ai réalisé quelques secondes plus tard que ce n’était pas moi qu’avait percuté la voiture mais ma mère. J’ai commercé à paniquer, je me suis redressé temps bien que mal, j’avais mal au bras droit sûrement car j’avais atterri assez violemment au sol, lorsque j’avais réussis a rejoint ma mère, elle  était étendu au sol couverte de sang et inerte. Je m’étais mis à pleurer et sanglotant comme une feuille en lui prenant la main gauche dans la mienne. J’avais sentis sa main bouger très faiblement dans la mienne et je m’étais mis à crier « MAMAN ! » en regardant son visage pâle, ses cheveux blond foncé qui baigne dans son propre sang. Et contre toute entende ma mère avait ouvert les yeux très faiblement et m’avais dit d’une vois faible, un murmure « Je vous aime tous mes chéris… » Et plus rien j’ai sus que c’était fini. Je n’arrêtais pas de pleurer, sanglotant de tout mon être, je n’avais même pas entendu que les secours était arrivé, plus rien de compter à mes yeux à par le faite que je me détester pour ce que j’avais fait à ma mère et je me maudissais à tout jamais le chauffeur qui avait pris la fuite…

Voilà vous savez maintenant comment ma mère est morte et je peux vous dire que ça vous suit toute votre vie, je ne pourrais jamais me pardonner mon inattention mais il faut que j’avance car la vie continue quoi qu’il arrive.

Je sors de ma rêverie quand ma sœur me demande si j’ai 10 euros pour qu’elle aille nous chercher des sandwichs car avec tout ça nous n’avons pas mangé. Je commence à regarder dans la poche de ma veste droite où je l’avais rangé plutôt dans la journée mais elle est vide, je regarde dans mon autre poche rien non plus, je commence à paniquer je fouille dans toutes mes poches que j’ai sur moi mais rien… panique à bord !

-          Elena !crie-je ce qui la fait sursauter. J’ai perdu mon portefeuille, mer.. !!! Tous mes papiers et ma carte de crédit son dedans, ce n’est vraiment pas mon jour aujourd’hui, dis-je complètement paniquer.

-          Calme-toi ok ! Quand te souviens-tu pour la dernière fois de l’avoir vue ?

-          Euh… en arrivant à l’hôpital, je l’avais mis dans ma poche droite de ma veste car il me déranger dans la  poche arrière de mon jeans.

-          Donc tu l’as sûrement perdu quand tu es sorti prendre l’air, me répond-t-elle.

-          Oui tu as sûrement raison je vais regarder, lui dis-je en courant vers le couloir.

Je ralentis le pas mais je continue à marcher d’une allure rapide mais pas trop pour ne pas louper mon portefeuille. Je refais le même trajet que tout à l’heure dans les moindres détails mais rien, nulle part, nada.

-          Put.. ! mais t’es où sataner portefeuille ! cris-je tout haut.

Plusieurs personnes se tourne vers moi  pour regarder qui se passe, je ne leur prête pas attention, je suis bien trop paniquer. Je décide de demander à l’accueil s’il l’aurait retrouvé mais la femme  qui occupe  ce poste me répond que non. Je fais quoi maintenant il y avait tout dedans : mon permis, carte d’identité, carte vitale, papier de ma mutuel et ma carte banquière.  Et surtout je fais comment pour rentrer chez moi, je ne peux pas utiliser ma voiture si jamais je me fais contrôlé… pff… j’aurais mieux fait de pas me levé aujourd’hui. Il me reste plus qu’à prévenir la mairie, la banque et mon assurance lundi que je les ai perdus, fait chi.. 

Au-delà de l'interdit (relation prof-élève)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant