Chapitre 63

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Après notre réconciliation, nous sommes rentrés à la maison. Marie était tellement contente de nous revoir ensemble qu'elle nous avait littéralement sauté dessus, après tout c'était normale pour elle.

Je me suis endormie dans ma chambre au plus grand regret de Mathéo. Il pensait quand même pas que tout allait lui revenir avec juste un rendez-vous ? Juste en imaginant sa tête décomposée lorsqu'il l'a su, me fait rire.

Aujourd'hui, il va falloir qu'on en parle, c'est pourquoi je suis là devant la porte de son bureau. Je toque à la porte puis ouvre. Il est encore sous une tonne de papier mais dès qu'il me voit, il arrête toute activité.

"Bonjour. Comment vas tu ? Demande-t-il avec un son sourire habituel.
-Bien et toi ?
-J'aurais passé une meilleure nuit si tu avais été avec moi. Répond-il avec un visage boudeur trop chou.
-Rêve toujours.
-Les rêves c'est la nuit et aujourd'hui c'est le jour donc c'est fait pour exaucer nos rêves, non ? Dit il avec un sourire charmeur et en s'approchant de moi.
-Non. Passons aux choses sérieuses, je suis là pour parler de la meute. Dis je en m'éloignant de lui.
-Ne t'inquiète pas pour ça. Vraiment ça ne te concerne pas.
-Ça me concerne puisque c'est ma meute autant que la tienne, se sont mes amis et surtout dedans il y a mon idiot d'âme soeur.
-Tu es sûr de vouloir nous aider ? Ça te créera plus d'ennui qu'autre chose. Tu le sais.
-Sûre et certaine.
-Bien. Alors, pour la guerre, cinq meutes ont accepté de nous aider ce qui fait environ 500 hommes alors que dans l'autre camp, on pense qu'ils ont environ 700 personnes. Donc, on est dans la merde. 700-500=200 donc il nous faut plus de 200 hommes.
-Merci M. Aubert pour ce cours de mathématiques. Dis je en riant.
Sinon, il y a d'autres meutes qui veulent nous aider ou qui hésite encore ? Il faut les rallier.
-Oui il y en a une seule mais je ne pense pas qu'elle acceptera.
-Demande on ne sait jamais.
-Je te fais confiance donc je vais le faire mais je n'ai aucun espoir.

Je lui fais un grand sourire et me rapproche de lui. Puis, je le prend dans mes bras avec tendresse. Lui aussi se met à sourire.

-Je t'aime tu le sais ça ? Dit il.
-Je le sais.
-Et toi ?
-Moi ? Je ne sais pas. Le taquinais je. "

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Salut chers lecteurs ! Comment allez-vous ? Le brevet c'est fini ! Enfin ! J'ai pas trop bien réussi 😓.
Tout ça à cause de leopold et des hand spinners 😧.
Maintenant que j'ai du temps, je vais un peu bousculé la fin de l'histoire et je vais publier tout les 2 jours. Donc, lundi mercredi vendredi et dimanche.
Je le commencerais soit demain soit la semaine d'après.

Âme sœur de mon profKde žijí příběhy. Začni objevovat