Carrière et amour à Hollywood

Chap 9: Le message.

- Tu m'expliques s'il-te-plait??? C'est quoi cet air horrifié sur ton joli visage??? demanda Zayn.

Je lui montrai le sms.

- Lucie, comment as-tu pu être la p**e avec qui Zayn me trompe!!! Je ne veux plus jamais te voir, ni toi, ni Zayn... Au cas où j'ai bloqué mes comptes Fb, Twitter et Myspace... lut Zayn dans sa tête. Enfin, je suis pas certaine qu'il l'ait lu, mais je pense...

Il effaça le message et me prit dans ses bras, je lui souris et il rougit, un tout petit peu mais c'était visible.

- T'es pas une p**e, Lucie... dit-il en me caressant les cheveux.

Je le remerciai, et nous nous séparâmes parce que le four sonnait comme un malade, je serai bien restée dans les bras de Zayn. Je sortis les cupcakes et en offris un à Zayn, il me regarda, le cupcake rose à la main et me remercia.

- Tu sais que dès après-demain, on sera douze heures par jour ensemble? m'annonça-t'il.

- Ah...

Il rigola, m'avouant la réponse parfaite à son goût, c'est-à-dire «Ouaaaaaaais» et nous continuâmes à discuter. Puis il m'invita à prendre le déjeuner, je lui rappelai que nous venions de nous enfourner une plaque de cupcakes (moi deux), mais il insista et je cédai, peu fière de mon manque de tact envers la rupture d'Elisa... J'enfilai mon manteau et nous sortîmes avec Diam dans son petit sac blanc en fourrure (on était en hiver, et Diam était très sensible depuis que je l'avais emmenée au toiletteur, je soupçonnais celui-ci d'avoir abusé de la tondeuse électrique et d'un shampoing plutôt iritant.). Il m'emmena dans un petit restaurant proche de son appart, sur le bord de la plus belle plage de Malibu.

- Deux places, les habituelles s'il-vous-plait... demanda Zayn au serveur qui passait devant lui.

- Tout de suite Mr. Malik.

Il nous emmena à une superbe table, ornée de jolies glaïeules. Je rougis à l'idée ridicule d'un rencard, ce n'en était pas un, bien sûr. Je secouai la tête pour me chasser cette pensée de celle-ci. Zayn me regarda et rigola...

- Tu parais pensive. remarqua-t'il. Tu as besoin de quelque chose???

Il était si...si...gentil avec moi, c'était le grand frère que je n'avais jamais eu en une sorte, un grand frère que je voulais prendre dans mes bras toutes les trois secondes... Donc, un peu plus qu'un grand frère, songeais-je pendant qu'il me répétait sa question.

- Non, non, tout va bien... C'est parfait.

Il soupira de soulagement et me tira ma chaise pour que je m'assoie, avant de s'asseoir et de me passer la carte pour commander.