Love is a four letters word

OS du cringe n°1: Une histoire de massage [JiKook]

"Hyung, masse-moi ! S'exclama le jeune blond cendré aux mèches roses parcourant sa frange, en s'écrasant entre les couettes et draps jamais fait du lit de son aîné.

-Et la politesse gamine, ça te tuera ? Grogna le fameux "Hyung" en envoyant son sac cogné contre le pied de sa table avant de se planter devant le lit. Et puis dégage de la Kook, c'est mon pieux ! S'exclama-t-il en infligeant un coup de pied au derrière rebondit du plus jeune.

-Aller, Chim Hyung ! Fais-moi un massage ! Gémit le fameux Kook en s'agitant entre les draps comme un poisson hors de l'eau.

Charmant, n'est-ce pas ? Park Jimin, alias Chim ou bien Minnie, et Jeong JungKook, alias Kook ou Kookie, trois ans et demi de relations sans jamais une seule pause, break ou je ne sais quels trucs du genre qu'on voit dans les relations. Pourtant aucun des deux n'est facile. Effectivement l'un comme l'autre, leur caractère est dans le genre fort comme une sauce triple piment sur les boîtes de nourriture mexicaine. Park Jimin, dix-neuf ans, en dernier année de lycée, dans le genre gamin timide et assez introverti au premier abord mais dès qu'on le connait un minimum on découvre un gars à l'humour acerbe et très noir, facilement irritable mais avec, tout de même, un grand cœur et une facilité à rire. Du côté de Jeong JungKook, dix-sept ans, deuxième année de lycée, dans la case des populaire, contrairement à Jimin, dans le genre extravertie et jovial au possible qui est portant un enfant très capricieux et flemmard comme personne. Je sais ce que vous demandez : trois ans et demi avec un gars aussi agréable que Jimin et un gosse aussi capricieux que JungKook ?

Après tous ces deux caractères ne sont pas vraiment compatibles. Et bien ce n'est pas bien compliqué, ils se sont rencontrés sur Internet, un forum de jeux vidéo. Ils se sont liés grâce à un jeu de rôle et après trois mois de conversation, ils se sont lancés dans une relation à longue distance, puisque JungKook habitait Séoul à ce moment-là. Pendant un an trois quart, ils ne sont que parlés par Internet, jusque que JungKook vienne s'installer chez sa grand-mère. Leur première rencontre fut marquée par le choc. Ils ne s'étaient jamais envoyé la moindre photo, préférant leur amour basé sur la personnalité plutôt que leur physique.

Effectivement, Park Jimin malgré sa petite taille, avait une bouille d'ange rondouillard malgré un visage en V, un corps justement développé avec de sublime abdos, un sourire franc qui avait le don de faire disparaître ses yeux marrons déjà jalousement caché par la frange de sa chevelure châtain avait été scotché JungKook autant qu'il avait été scotché par le gamin, lorsqu'il avait fait face à cet adolescent plus jeune que lui mais légèrement plus grand que lui, le visage empreint d'une grande virilité, un corps entretenu drastiquement, les yeux rieur légèrement plus claire que la normal et les cheveux colorés en blond cendré dont la frange était balayé par un rose pâle, appuyant son côté enfantin. Ils s'étaient encore plus plu. En moins d'un moi il était devenu le couple le plus en vogue de leur lycée, ayant même un fan club. Des millions rumeurs circulaient, les faisant rire. Une de celle qui les faisait le plus rire concernait le dominant dans leur couple. Ils avaient fini par rétablir la vérité lorsque le meilleur ami de Jimin, Kim TaeHyung, avait entendu JungKook gémir pire qu'un acteur porno dans les toilettes de l'étage des salles de sciences.

Pour en revenir à notre petit couple se disputant gentiment dans la chambre de Jimin, si JungKook demandait un massage avec autant d'instance c'est simplement parce qu'il sortait d'un cours de sport des plus épuisants puisque leur professeur étant un grand amateur de basket avait été sans pitié avec sa classe. Min Yoongi était donc responsable des douloureuses courbatures qui torturaient le plus jeune. Ainsi, il avait réellement envi et besoin d'un massage.

-Bon, rapidement alors, je te rappelle que t'es là pour travailler ton exposé d'anglais. Grogna Jimin en retirant sa cravate et sa veste d'uniformes.