⚠️ Cette histoire est une traduction ce n'est pas mon histoire ! ⚠️ Je vous conseille d'avoir lu les scans !!
▃▃▃▃▃ "Connais ta place, imbécile".
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Leurs cœurs étaient scellés
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╔═══════ 封印 ═══════╝
Kiyo ne savait pas trop pourquoi elle avait mentionné son nom au yōkai aux cheveux roses, qui n'en avait probablement rien à faire.
"Est-ce que ça va ?", avait demandé la femme qui coiffait Kiyo, à laquelle Kiyo avait jeté un coup d'œil à son reflet dans le miroir jaune octogonal, hochant légèrement la tête.
Ramassant un morceau de papier rouge, Kiyo l'avait placé entre ses lèvres, prenant le papier en sandwich tandis que ses lèvres avaient été teintées de rouge, faisant ressortir sa peau claire.
Aucun accessoire n'était nécessaire à l'exception de quelques fausses épingles dorées qui étaient plantées dans les cheveux blancs argentés de la fille.
Kiyo a doucement soupiré alors que ses yeux étaient tombés sur ses doigts entrelacés, parfaitement assise sur ses genoux avec le tissu blanc pur comme sa robe de mariée.
"Nerveuse ?", questionna la femme, à laquelle Kiyo avait juste souri maladroitement.
"Bizarrement...oui", répondit Kiyo.
"C'est compréhensible", gloussa légèrement la femme.
"Même si c'est faux, vous ne pouvez pas vous empêcher de sentir que c'est réel. La plupart des gens ne vivent cela qu'une seule fois, et c'est assez spécial en soi", a-t-elle dit, à laquelle Kiyo était reconnaissante pour ses paroles réconfortantes.
"Excusez-moi de demander, mais savez-vous peut-être où se trouve Suk— Ryō ?", demanda Kiyo, exposant presque la véritable identité du mâle.
"Ah, votre compagnon ? Je m'excuse, mais je ne l'ai pas vu depuis deux jours", répondit la femme.
Kiyo se contenta de fredonner en se levant rapidement une fois que la gentille femme eut terminé sa coiffure, s'inclinant légèrement alors que la femme l'avait escortée à l'endroit où la chaise à porteurs l'attendait.
"Soyez prudente, dame Kiyo et prenez soin de vous", dit la femme, faisant ses adieux à la fille alors que Kiyo grimpait sur la chaise, pendant que les quatre hommes l'avaient soigneusement soulevée.
"Je le ferai. Merci de votre sollicitude", Kiyo sourit en plaçant ses mains sur ses genoux, sa main droite par-dessus sa main gauche.
La chaise vacillait un peu, car elle était rythmée par les quatre hommes qui l'avaient portée jusqu'en haut de la montagne, Kiyo étant assise comme une déesse au sommet.
