Chapitre 2

1.2K 41 47
                                    


— Eh, vous avez un briquet ?

   Topper et Kelce secouent légèrement la tête alors je souffle.

— T'as coucher avec un Pogue alors ?

— Quoi ?

— On a entendu dire que tu avais couché avec un Pogue ? C'est vrai ?

   Mais de quoi je me mêle ?

— Qui a dit ça ? Rafe ?

— Non, des gens qui en parlent. Alors tu l'as fait. C'était quoi ? Un défit ? Sourit Kelce.

— En quoi ça vous regarde ?

— On espère juste que tu l'as fais juste pour t'amuser. Réplique Topper d'un air un peu plus sérieux.

   Mais ?

   Je ne lui répond même pas et je rejoins une fille qui a une cigarette dans la bouche. Elle me dit qu'elle n'a rien alors impatiente, j'attrape la sienne et j'essaye d'allumer mon joint avec. Je réussis et je m'éloigne de la stupide fête. Voilà une demi heure que j'y suis et elle m'énerve déjà. Je savais que je ne devait pas bouger de chez moi. Je m'assoie sur le sable et je tire une première latte.

   Pendant 9-10 mois avec JJ nous nous sommes vue en cachette. On trouvait sa drôle de ce la joué Roméo et Juliette, Pogue et Kook vous voyez ?

   Un bon jeu deux minutes.

   On se voyait que pour coucher ensemble, en tant que plan cul. Nous étions d'accord pour que lorsque je me déplace, je ne reste pas après qu'on est couché ensemble et inversement.

  Au bout du quatrième ou cinquième mois ont a commencé à rester après l'act, à dormir avec l'un et l'autre, à montrer des signes d'affections ce qui rendait la passion encore plus dévorante.

   Sauf qu'il y a trois mois, c'était fin juin, JJ à décider que l'on ne devait plus ce voir. Sans explication sans rien en échange et on sait engueuler fort, très fort.

   Trop de fierté oblige que je ne lui montre en rien que cette décision m'avait affecté alors je vous avoue à vous qu'après que je sois partie, j'ai fondu en larmes.

   Je crois que le pire c'est qu'inconsciemment, je le savais cette nuit-là, ce qu'il allait ce passer, parce qu'il s'était montré encore plus sexy et attentionné que d'habitude et qu'à la fin il s'était refermé comme une huître et nous avons dormis certe, mais pas coller l'un à l'autre comme nous avions pris l'habitude de faire.

  La dispute a été si violente le jour J que je lui ai cracher des atrocités à la gueule et à l'heure d'aujourd'hui je m'en veux encore même s'il a fait pareil.
D'ailleurs je soupçonne JJ d'avoir voulu me dégager pour avoir tout son loisir pendant l'été même s'il n'avais aucune règle de ce côté là.

   Alors comprenez que je sois troublée qu'il mette notre idylle en lumière.

— Eh depuis quand tu fumes ?

   Je crache la fumée pour la énième fois.

— Tiens donc, qui voilà.

Outer BanksWhere stories live. Discover now