CHAINED TO THE MAFIA (En Pause)

25. Douce torture

Kuki

L'horloge affichait désormais 3heures du matin, assise sur mon lit le regard dans le vide je venais de faire un cauchemar mais il était différent. Ma mère et Victoria y étaient elles me pourchassaient pour m'étrangler, mais je m'étais réveiller et j'avais échapper à ce triste châtiment.

Je descendis du lit et réajusta ma robe de chambre. Je sortis et ferma la porte derrière moi en quelques minutes je fus dans la cuisine. J'ouvris le réfrigérateur et me servis de l'eau, la maison était plongé dans le noir mais cela ne me dérangeai pas je ne voulais pas attirer l'attention. Mon verre terminer, je sortis de la cuisine en marchant lentement essayant de faire le moins de bruit possible.

"Je te vois Cariño.

Sa voix rauque évoqua une multitude de sensations fortes en moi. Je stoppa tout mouvement et attendit qu'il vienne à moi, son souffle chaud sur ma nuque me fit fermer les yeux. Ils se tenait derrière moi et traça un ligne horizontale sur tout le long de mon cou et des petits fourmillements se firent sentir au passage de ses doigts sur ma peau.

"Qu'est-ce que tu fais ici? Dit-il en se positionnant devant moi

"Je... J'ai eu... Soif alors je suis descendue ici. Dis-je en bégayant

"Tu es toute tremblante et en sueur, tu as eu un cauchemar ?

"Si je tremble c'est de ta faute, tu m'as fait peur. Dis-je en serrant me poings

Il s'avança plus près et la faible lueur de la lune éclaira ses yeux polaire, elle était étrangement dilatés. Ses quelques mèches rebelle lui tombaient sur les yeux ce qui lui donnait un air encore plus mystérieux.

"Et toi pourquoi tu ne dors pas? Osais-je demander

"Je n'ai pas sommeil. Dit-il avec un léger sourire

Une décharge électrique se fit sentir dans mon entre jambes, je les serra et mordit ma lèvre inférieure pour me calmer. Il leva un sourcil sûrement ayant remarqué ma respiration qui avait étrangement augmenter de vitesses.

"Viens avec moi. chuchota t-il en me prenant la main.

Je le laissa faire et le suivit jusqu'à sa chambre. Il ouvrit la porte, la referma et la vérouilla en allumant la lumière. Je n'osais même pas me retourner pour lui faire face, ses lèvres froide se posèrent sur ma nuque mes yeux se fermèrent automatiquement et ma bouche s'ouvrit à la recherche d'air.

Il me souleva pour me reposer sur le lit et ses lèvres se scélèrent aux miennes, j'approfondis notre baisé comme-ci c'était un besoin vital.

"Doucement Cariño, si tu continues comme-ça je vais bientôt ne plus avoir de bouche. Dit-il essoufflé avec un petit sourire moqueur

Le rouge me monta aux joues et je mordis l'intérieur de la joue honteuse. Il éteignit la lumière et le noir prit possession des lieux.

Il caressa mes cheveux et m'embrassa le bout du nez. Ses lèvres se posèrent sur les miennes encore une fois, le baisé fut plus lent, mais pas moins savoureux. Sa mains se pressa sur l'un de mes seins et un petit gémissent sortit de ma bouche. Sa bouche aspira la peau de mon cou, mes mains se retrouvèrent dans ses cheveux que je tirais légèrement.

"Ca...Casey. soufflais-je entre deux gémissements

Il cessa de torturé mon cou, pour me dire doucement.

"Si tu veux que j'arrête, tu n'as qu'à le dire. Je ne vais pas te forcer ni te faire de mal, d'accord ?

J'affirmai de la tête, il descendit vers mes jambes et les caressa doucement. Ma respiration se bloqua et je me crispa à son contact.

"C'est moi Cariño... Touche moi à chaque fois que tu veux en être sûr.

Je chercha désespérément sa main que je trouva en quelques secondes.

C'est Casey, Ce n'est pas lui
C'est Casey
C'est Casey

Je me détendis et il continua son mouvement jusqu'à arriver sur l'élastique de ma culotte. Je stoppa encore une fois ma respiration et serra sa main dans la mienne.

"Tu veux que je continue ? Demande t-il doucement

J'affirmai de ma tête

"Je veux te l'entendre me le dire. Dit-il en continuant de caressé la peau de ma cuisse

"O...Oui. dis-je en fermant les yeux

Il fit lentement descendre la culotte et en quelques minutes mon intimité était à sa vue. Honteuse d'être aussi peu vêtu en sa présence je tenta de fermer mes jambes mais il m'arrêta.

"Laisse moi t'admirer Cariño. Dit-il d'une voix rauque

Son pouce se posa sur mon clitoris déjà gonflé d'excitation, un soupir de plaisir sorti de mes lèvres alors qu'il y faisait des petits cercles.

"Si tu veux que j'arrête, tu me le dis. Répéta t-il encore une fois

Mais je ne voulais pas qu'il arrête, je voulais mettre fin à mes peurs et combattre mon démons. J'étais avec Casey, il n'allait pas me faire de mal il me l'avait dit.

Il descendit lentement et m'embrasse les cuisses, je serrai les dents et me cambrai le dos pour savourer cette délicieuse torture. Le premier coup de langue me fit cambré le dos, la deuxième m'emmena loin, très loin.

Mes gémissements sortaient naturellement, je me sentais revivre, libéré de mes cauchemars qui me hantaient depuis des mois.

Sa langue jouait avec mon clitoris ce qui me faisait perdre la tête de minutes en minutes. Ma respiration s'accéléra et mon corps en demandait d'avantage.

Le plaisir était plus intense, plus ardents, plus brûlant.

"Ca... Casey!

Ma respiration s'accéléra encore plus, je ne tenais plus en place, je sentais que j'allais bientôt atteindre le sommet de mon plaisir. La sensation s'amplifia prenant possession de mon corps en entier.

Je ne voulais pas que ça s'arrête, j'en voulais d'avantage... Il ne devait pas arrêter.

Tout à coup je fus saisi d'une tonne de sensation qui fit crisper tout mes membres. Mes cris et gémissements ne s'arrêtaient plus, l'extase faisait vibrer mon entre-jambe. Mon dos se cambrai, mes jambes tremblaient à causes des spasmes.

Je n'avais encore jamais goûté à un plaisir si exquis. Je venais de jouir... Je venais de laissé Casey me faire jouir.

Je ferma les yeux à bout de force alors que la pression redescendait et que ma respiration devenait peu à peu normal. Casey remonta vers mon visage pour ensuite me dire d'un ton moqueur:

"Je crois bien que tu as réveiller toute la villa Cariño.