Chapitre 3 : l'arrivée de la tâche

96 5 1
                                    


Sa nouvelle vie allez commencer, il se réveilla dans une cage un peu sonnée...
Il était dans le noir complet. Il faisait froid, et l'endroit sentait la poussière et le renfermé. Il entendit un grincement métallique. Le sol oscilla. Il se mit à quatre pattes et s'approcha doucement d'une vitre, la peur au ventre, il regarda à travers la grille une sorte de monstre sauta devant la vitre en poussant un hurlement. Déséquilibré, il tomba puis recula à quatre pattes, la sueur au front malgré la fraîcheur environnante. Ses pieds heurtèrent une paroi de fer qu'il longea jusqu'à un coin. Il s'assit et ramena ses genoux contre lui en espérant que ses yeux s'habitueraient bientôt à l'obscurité. Tout à coup, le sol s'ébranla et se mit à monter, comme un vieil élévateur dans un puits de mine : " Ou je suis? Je suis qui? "
Se demanda-t-il.. Un fracas de chaînes et de poulies retentit, résonna contre les murs. L'ascenseur obscur se balançait, et il fut pris de nausée, l'odeur d'huile chaude n'arrangeait rien. Il aurait voulu pleurer mais il avait les yeux secs. Il n'avait plus qu'à rester là, dans le noir, à patienter. La cabine ralentit dans un dernier chuintement et émit un déclic sourd avant de s'immobiliser. Tout devint silencieux. Un claquement sonore retentit au-dessus de lui. Il leva la tête avec une exclamation de surprise. Une ligne mince apparut dans le plafond et s'élargit sous ses yeux. Quelqu'un ouvrait de force des volets coulissants. La lumière lui fit mal aux yeux; il détourna la tête et se couvrit le visage avec les mains. .... il fut surpris mais il réussit quand même à distinguer des silhouettes, une personne sauta dans la cage, un jeune homme grand et maigre.

-Pas trop secouer ?

Demanda t'il aux jeune brun

-Amène toi le bleu!

Continua le jeune homme, il semble avoir environ une quinzaine d'années et un physique des plus repoussants, il attrapa le jeune brun âgé d'environ 16 ans et l'aidant à sortir de la cage, le jeune brun était tombé à terre et tout le monde rigoler, des garçons, certains très jeunes, d'autres plus âgés. Le jeune brun était déconcerté. Ce n'étaient que des gosses.

-Visez-moi un peu ce naze.
-Quel âge il peut avoir ?
- On dirait un plonk dans un tee-shirt.
-C'est toi, le plonk, espèce de guignol.
-Dis donc, ça sent les pieds là-dedans !
-J'espère que tu as profité du voyage, le bleu.
- Oui, parce que c'est un aller simple !

Le jeune brun se sentit au bord de la panique, ils remarquer que tous les garçons rigoler de lui y compris un jeune blond... Il plissa les paupières

-Il va pouvoir m'aider en cuisine

Ajouta un autre en rigolant, le jeune brun dut pris de panique, il se leva et poussa quelques garçons pour se mettre à courir

-LE BLEU EST UN COUREUR !

Cria l'un des garçons en rigolant tandis que le jeune brun ce mi à courir de plus en plus il prit ses pieds dans une branche qui traîner à terre et il se retrouva aux sols.

-Jolie gamelle !
-Attention aux branche!

Cria deux autres garçons, puis il se rimer à rigoler de lui. Il ne savait plus comment il s'appelait ... Comment était-ce possible? Le jeune brun se releva et il regarda autour de lui, il n'aurait pas su dire comment il s'était retrouvé dans cet ascenseur, ni qui étaient ses parents. Il ne se souvenait même pas de son nom de famille. Un garçon blond partie vers lui, il ramassa un papier qui était tomber de la poche du jeune brun.

-Ça va?
-Je croie! Qu'est-ce que c'est que cette endroit ?

Le blond fut surpris par le son de sa voix, étrange, elle est plus aiguë qu'il n'aurait cru. Le monde parut tournoyer, se fondre en un tourbillon de visages, de couleurs et de lumière. Des émotions contradictoires lui tordaient les entrailles ; il aurait voulu hurler, pleurer et vomir tout à la fois. Il se sentit subitement pris de vertige. Son regard ne cessait d'aller et venir sur cet endroit étrange : une esplanade grande comme plusieurs terrains de foot, ceinte de murs gigantesque en pierre grise. Couvrets de lierre, hauts d'une centaine de mètres au moins, ils formaient un carré parfait. Chacun était percé au milieu, sur toute la hauteur, d'une ouverture qui donnait accès à de longs couloirs. Des émotions contradictoire bouillonnait en lui.

- Le bloc!

Lui répondit le blond, le brun n'oublierait jamais ces mots, des murs ou du lier ce trouver les entourées aucun moyen de sortir de ce bloc.

-Je ne me rappelle de rien! Pourquoi je me rappelle de rien?

Le sol de l'esplanade, fait de gigantesques dalles, était zébré de fissures envahies par la mauvaise herbe. À droite, une bâtisse en bois offrait un contraste saisissant avec la pierre grise. Quelques arbres l'entouraient, leurs racines noueuses plongeant comme des doigts entre les pierres. À gauche du jeune brun ce trouver un potager : du maïs, des plants de tomates, des arbres fruitiers.Derrière lui, des enclos contenaient des moutons, des cochons et des vaches. Le dernier coin était par un bosquet dont les arbres les plus proches semblaient malades et près de mourir. Le ciel était d'un bleu immaculé, mais le soleil invisible. L'ombre des murs ne donnait pas d'indication précise sur l'heure : ce pouvait être tôt le matin ou tard l'après-midi.

-Ont est tous passé part la, ne t'inquiète pas, tient, c'est tomber de ta poches..

Le jeune brun pris le papier et le dépliant.

-Pourquoi ont me surnomme le bleu?
-Parce que tu est le nouveau, le mois dernier, le bleu c'était Chuck, oh faite, je m'appelle Newt! Mais la plupart des gens ici me surnomme la colle.

Le jeune brun lu le papier..

-Thomas
-Quoi? Tu te souviens comment tu t'appelle!
-Je m'appelle Thomas, enfin c'est ce qui est écrit sur ce papier! Newt je peut te poser une question ?
-Vas-y !
-Est-ce qu'il y a une fille qui s'appelle Kimberly ?

Thomas ne connaissait pas le blond mais il savait qu'il pouvait lui faire confiance.

-Il n'y a aucune fille ici... pourquoi tu me demande ça !
-Regarde, ce papier !

Lui annonça Thomas en lui donnant le papier

- "Thomas! Protège Kimberly aux péril de ta vie! " ?
-Je sais pas de qui sa vient

Annonça Thomas à Newt, malheureusement Newt ne pouvait pas savoir pour lui et Thomas n'a plus aucun souvenir comme tout ceux qui sont ici...

Courir ou mourir | Le Labyrinthe (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant