En troisième année de journalisme, la vie de Nesmée est parfaitement rangée. Elle sait ce qu'elle veut, quand elle le veut et pourquoi. Rien ne peut la faire dévier de son objectif. Belle, douce et l'une des filles les plus populaires de l'universit...
Hello mes petits rayons de soleil ☀. On se retrouve pour une nouvelle aventure. Mais avant de vous laisser avec le prologue, je voulais parler un peu avec vous.
Alors tout d'abord, je n'aurais pas de rythme de publication. Pas de jour, ni d'heure précise.
Ensuite, cette histoire me tient particulièrement à cur, mais n'hésitez pas à me dire ce que vous aimez ou n'aimez pas (dans le respect bien sûr).
Et pour finir, pour cette histoire il faut que je vous donne un petit avertissement :
- Elle contient de la violence physique et psychologique.
- Certain propos peuvent heurter la sensibilité de certaine personne.
- Certaine scènes peuvent être difficiles à lire.
- Pour finir, ce que j'écris n'est pas forcément ce que je ressens. N'oubliez pas que c'est une histoire fictive, que les personnages n'existe pas et qu'il ne sert à rien de s'en prendre à eux, il ne vous entende pas et ne changeront pas leur comportement.
Sur ceux, je vous laisse découvrir l'histoire de Nesmée et Aÿron.
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Parfois la vie nous confronte à des épreuves qu'il est facile de surmonter. D'autres fois, ces mêmes épreuves sont si intense, qu'on en perd tout ce que nous avons. Aujourd'hui, je fais face à ça. Mon cœur semble en lambeaux, mon âme s'effrite et ma joie de vivre s'est envolé.
Ça fait une heure que je suis rentrée aux côtés de ma meilleure amie, qui m'a soutenu tout le long. Soixante minutes que son manque de parole tourne en boucle dans mon cerveau. Je lui ai dit, je l'ai supplié de ne pas faire ça. De ne pas me briser le cœur. Il n'a même pas répondu. Rien. Pas un mot. Aucune réponse. Et je crois que c'est ça le plus dur.
Après tout ce que nous avons vécu ces six derniers mois. Cette coupure me fait vraiment mal. J'avance vers le salon tout en regardant qu'il est bien vide. Je veux être seule un instant. Comme c'est le cas, je m'assois sur le canapé et pose ma tête sur le dossier. Regard vers le haut, je passe une main sur mon visage fatigué. Je serais bien tenter de faire une sieste, mais je dois avouer que j'ai un peu peur des images qui vont apparaître dans mes songes.
Pourtant, mes paupières se ferment. Un semblant de sommeil me gagne. Il n'est ni reposant, ni réparateur, mais pendant ce temps, j'oublie que je l'ai perdu et que je ne le reverrais peut-être jamais. Moi qui m'étais imaginé faire un long chemin en sa compagnie, tout à exploser. Sans que je ne sache pourquoi. Ne pas être maîtresse d'une situation fait mal. Mais ne pas savoir pourquoi on en arrive là, détruit. Nous cherchons constamment ce que nous avons bien pu faire de mal. Ce qui fait que nous méritons une telle douleur.
