À L'OMBRE DES FLEURS DE CERISIER.

29: PARTIE 2: Dénouement.

Coucou! On passe déjà à la deuxième partie de l'histoire, ça passe vraiment vite mes bébés me manqueront quand l'histoire sera finie 😔!

Si vous ne vous souvenez pas de cette histoire de parties, je vous conseille d'aller au début du chapitre 17.

Bonne lecture!!

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            Je ne te hais pas, c'est plus fort.

            Lyse.

                        Chapitre 28:

                       Désillusion?

              PARTIE 2: Dénouement:

Auparavant, je n'ecoutait pas
les mises en garde à ton sujet car je
pensais que nous étions les mêmes.

Nina Ackwood.

                                NINA

Je m'étire mollement et me redresse sur mon lit, je prends beaucoup de temps pour me connecter à la réalité comme j'ai beaucoup dormi cette nuit, enfin je pense.

Quand je tourne la tête vers mon balcon un affreux sursaut me prend. Un court cri sort de ma bouche à la vue de l'hermite.

Pourquoi cherche t-il à me faire peur constamment!?

Il est assis tranquillement sur la chaise de maman, en train de siroter une boisson qui m'est inconnue de là où je suis.

- Belle journée, n'est-ce pas, me sourit‐il.

Je fronce les sourcils face à son ton étrangement...amical?

Nous ne sommes pas amis lui et moi, je le sais et vous le savez tout aussi bien que moi.

- Tu veux quoi? marmonné-je en sortant de mon lit pour aller choisir ma tenue du jour.

- Moi? Rien. répond innocemment Arnold.

- Alors déga-, enfin, sort de ma chambre, reformulé-je.

Arnold me détaille de haut en bas comme d'habitude son regard me met mal à l'aise, le regard d'Anorld Marcel vous transperce et vous fait sentir comme un vieux chewing-gum collé sous sa semelle.

C'est tellement..dégradant.

Mais bon à force je crois que je m'habitue au sarcasme de l'hermite.

Je trouve que j'évolue après tout, je ne me mêle presque plus de ses affaires.

— Si tu veux mon avis-

— Non merci, je pense que je peux m'en passer, le coupé-je.

Étonnement Arnold ricane face à mon insolence, son regard est dirigé vers mes pinceaux pour une raison que j'ignore.

— Comme je le disais...si tu veux mon avis tu devrais porter plus de méfiance sur les personnes qui t'entourent.

Sur ses mots il se relève, comme si il n'avait rien dit et me fait un signe de tête avant de disparaître comme si de rien était.

Je fronce les sourcils et melance à sa poursuite— qu'est-ce qu'il raconte encore?—

— Qu'est-ce que tu veux dire par là? l'interpellé‐je alors qu'il s'apprête à descendre les escaliers.

Il se retourne lentement et me dit finalement:

— Vois ça comme le conseil d'un vieil homme qui te connaît depuis longtemps.