41: PARTIE 3: Sombre réalité?

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Coucou!
Bonne lecture!

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𝖯𝖠𝖱𝖳𝖨𝖤 3: 𝘚𝘰𝘮𝘣𝘳𝘦 𝘳𝘦́𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́?

𝘊𝘩𝘢𝘱𝘪𝘵𝘳𝘦 41: 𝘏𝘰𝘱𝘪𝘵𝘢𝘭 𝘚𝘢𝘪𝘯𝘵-Maria.

𝘜𝘯𝘦 𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘢 𝘳𝘦́𝘢𝘭𝘪𝘵𝘦́ 𝘦́𝘵𝘢𝘪𝘵 𝘧𝘢𝘤𝘦 𝘢̀ 𝘮𝘰𝘪,
𝘫𝘦 𝘯'𝘢𝘪 𝘱𝘢𝘴 𝘱𝘶 𝘭'𝘢𝘤𝘤𝘦𝘱𝘵𝘦𝘳, 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘢𝘪𝘵 𝘱𝘢𝘳𝘧𝘢𝘪𝘵 𝘦𝘯 𝘐𝘵𝘢𝘭𝘪𝘦.

𝘕𝘪𝘯𝘢 𝘈𝘤𝘬𝘸𝘰𝘰𝘥.

NINA

Souvenirs et hallucinations de Nina.

- Vérité, assiduité et courage, énonce une fille à la longue chevelure brune.

Ensuite elle se rassoit, un homme se lève de sa chaise métallique et rétorque militairement:

- Rigueur, sincérité et ponctualité, liste t-il à son tour.

Madame H se tourne dans ma direction, les rides de son visage accentuant son autorité évidente quand elle hurle au travers de la pièce:

- Ackwood, debout! Énonce les principes de l'hôpital, selon toi.

Son chignon impeccable tire les traits furieux de son visage, mes mains tremblent quand je me lève.

Tous les regards sont sur moi, ses connards attendent juste patiemment que je me trompe.

J'ancre mon regard à celui de la vieille marâtre quand j'énonce:

- Amour...entraide et gentillesse.

Un petit sourire ourle mes lèvres quand je vois Mme H devenir presque toute rouge, sa longue robe grise entoure sa taille quand elle se déplace à grands pas vers moi.

Ses talons claquent contre le sol quand elle se jette pratiquement sur moi pour m'assener une violente claque.

Ma joue picote fortement à cause de l'impact quand je lui hurle:

- Mais vous êtes complètement folle!

Elle se rapproche lentement de moi et me dit fermement:

- C'est toi qui es folle actuellement, Ackwood! Ici, c'est moi qui dirige, tu va apprendre à respecter les règles de l'hôpital Saint Maria!

Une fois qu'elle a terminé son monologue, aucun mot ne me vient, dans quel piège est-ce que je viens de tomber?

Ma tête bourdonne...

J'ai l'impression d'être dans un cauchemar.

Madame H attrape violemment mon bras pour essayer de m'emmener à l'écart, je dégage violemment mol bras du sien en lui rétorquant:

- Ne me touchez pas!

Je vois à la manière dont son buste s'élève vite qu'elle est fortement contrarié, elle m'indique la porte d'un coup de tête comme si j'étais son animal de compagnie à qui elle somme de sortir.

Sans prêter attention à son manque de respect je me dirige furieusement vers la porte de ce grand hall, qui sont ses gens, où est-ce que j'ai atterris, putain?

Après avoir violemment claquer la porte je suis face à pleins de murs blancs qui m'obstruent la vue.

Les portes, le sol, le plafond, l'uniforme étrange que je porte...tout est blanc!

À L'OMBRE DES FLEURS DE CERISIER.Where stories live. Discover now