Oui Mon Colonel !

Chapitre 13 : Il est comme toi

Salut, j'espère que vous allez bien.

Je viens juste de publier ce chapitre alors qu'hier j'ai fini avec le chapitre 17. Sachez que je ne publie jamais un chapitre de cette histoire sans finir pour autant un chapitre pour le futur. Ça veut dire que j'ai écrit, le 14, le 15 et le 16 depuis bien longtemps. Je fais tout ça pour que malgré tout ce qui pourra m'arriver, que vous ayez des chapitres écrits en avance que je pourrais publier avant de régler mes problèmes.

Je crois que cela dois démontrer que je tiens beaucoup à cette histoire et que je veux vraiment la voir terminer pour votre plaisir et le mien. Alors, prière de patienter un peu. Je suis la première contente quand je publie un chapitre de chacunes de mes histoires. Vos votes, vos lectures et vos commentaires me font vraiment plaisir et c'est tout ce que je désire sans même être payer. Mais je le fais car ça me rend heureuse de le faire.

Je tue de mon temps libre, me privant de certains loisirs, pour pouvoir écrire chaque mots de mes livres. Et un bon livre est d'abord réfléchi. Je veux vous donner une bonne histoire, donc je réfléchis et parfois ça prend du temps. Et j'en suis désolée mais je n'aime pas le travail bâclé donc sorry encore.

Voilà, c'est un peu ce que je voulais dire. Bon mois de Ramadan à tous.

Latifa

C'est pas possible, c'était un cauchemar! J'ouvre encore une fois mes yeux et les ferme d'horreur. Il était bien là, la tête posée sur mes seins, sur ma poitrine ! Et moi j'avais les bras enroulés autour de lui comme si je craignais qu'il ne disparaisse. Punaise, quelle conne je fais. Mon cerveau n'a cessé de me signaler que je m'étais trompée de cible mais j'étais tellement à fond sur mon désir de ressentir Marc que je l'ai confondu avec Aliou. J'ai crû jusqu'au bout que c'était un beau rêve devenu réalité. Comme si les morts pouvaient nous transporter.

Je hurle mentalement de frustration. D'abord le baiser puis ça. La suite ça sera quoi ? Oh la la je ne veux même pas imaginer.

J'ouvre doucement les yeux, comme si ça pouvait réveiller Aliou. Je prends délicatement sa tête pour la hôter de mes deux mamelles. Il grogne pendant le processus, secoue sa tête de ma main puis la repose dans son lieu initial. Il croit que c'est un coussin !? Je soupire de désespoir et jette ma tête en arrière malheureusement je l'ai tellement lancé que ça a fait un "BAM" contre le lit. Un cris de douleur s'échappe accidentellement de mes lèvres, réveillant au passage Aliou.

Il se réveille en sursaut et me lance un regard perdu. Le sommeil l'a quitté brutalement aussi. Il voit que je me tiens l'arrière de la tête avec un visage douloureux et ses yeux devienne inquiet.

Aliou : tu as quoi ?

Je lui réponds avec un visage boudeur.

Moi : ma tête.

Il se redresse, sans remarquer la situation dans laquelle on se trouvait. Il prend ma tête et la penche en avant pour mieux voir l'endroit. J'avais tellement mal que j'ai été sonnée sérieux. Aliou examine l'endroit sous plusieurs angles. J'avais la tête tressée en 4 nattes donc c'était facile de voir.

Aliou : je vais aller te chercher de la glace sinon ça sera une bosse.

Je dis oui, incapable de bouger la tête à cause de la douleur sourde. En plus je voulais qu'il s'éloigne vite de moi, je sentais encore son parfum. Et ça me donnait des pensées floues et folles. J'avais encore envie de sentir son odeur... Punaise, comment je peux même penser à cela ? Mon cerveau a dû être déplacer après le coup à la tête.