mon ennemi est mon voisin [En Correction]

chap7

Aya

Vers 13 heures, je décide de porter une robe blanche avec des fleurs rouges. Elle m'arrive au niveau des genoux et sans manche alors je mets alors une jaquette et des ballerines. Je mets mes bracelets et je prends une petite sacoche. Je décide de laisser mes cheveux au vent et de laisser mes lunettes.

Je dis au revoir à mes parents qui étaient au salon. Je sors de la maison et l'air de l'après midi est plutôt fraîche et ça frappe mon visage ce qui me fait du bien. A un moment je reconnais très bien la voix de celui qui m'appelle. Non pas lui pas Max... Je commence alors à marcher très vite en faisant mine de ne rien comprendre mais il m'a quand même rattrapé.

"Salut, tu n'as pas suivi quand je t'appelais ?

-Ah bon tu m'as appelé ? J'ai pas suivi. Mentis-je

-Je vais faire semblant de te croire. Ça fait longtemps que je t'ai pas vu.

-2 jours pour toi c'est longtemps ? Pour moi c'est un peu trop. (Je ne veux pas lui parler mais j'ai toujours ce besoin de le remettre à sa place mais il sourit juste ).

-ce qui est sûr c'est que tu es toujours aussi belle ! (je ne répond pas) On dit au moins merci.

-Pas besoin, je sais que je suis belle, tu as juste confirmé ce que je pensais. Tu voulais que je dise "oh mon Dieu tu me trouves belle ! Épouse moi". Non merci, je ne le dirais pas.

-Wow. Dit-il la bouche ouverte.

-Quoi ?

-Là je suis surpris. Tu es originale et trop intéressante. Rigole-t-il.

-Boff.

-Alors tu me trouves comment ? Demande-t-il sur de la réponse.

-Je remarque que ton ego est aussi gros que ta tête.

-Ça alors on ne me l'avait jamais dit.Rigole-t-il.

-Mais c'est vrai (j'étais sérieuse et lui il riait, franchement ça m'énerve )"

Je décide de m'en aller mais il me bloque.Quand je pars à gauche il fait de même, je pars à droite il part aussi à droite.

"Tu m'importunes, laisse moi partir.

-Tu as l'air bien pressée, où vas tu ?

-Chez ma... Mais de quoi je me mêle. Je n'ai de compte à te rendre.

-Mais je n'ai jamais dit le contraire. Je peux t'y accompagner. Sourit-il.

-Mais tu es malade et...

-Je rigole du calme. Je te laisse partir à une condition.

-Laquelle ?

-Que tu me donnes ton nom pour qu'on puisse se tutoyer.

-Tu n'as pas besoin de connaître mon nom vu que moi je ne veux pas te tutoyer.

-Pourquoi ? il est où le problème ?

-Non... C'est juste que.... Ta tête m'énerve, voilà.

-Ah oui, tu as dit qu'elle est très grosse. Rigole-t-il et il ajoute: juste ton nom.

-Je m'appelle euh...

-On réfléchit déjà pour donner son nom ?

-Mélissa, c'est ça Mélissa.

-T'en es sure ?

-Bien-sûr, c'est mon nom quand même !

-Peut-être, mais tu ne m'as pas donné de raison de te croire.