CHAPITRE 12

59 3 1
                                    


Agathe.

Je me réveille, dans un lit immense, sous des draps en soie. Hier avec tout ce qui c'est passé je n'ai même pas pris la peine d'admirer la chambre que je devais occupé. Alors étant donné que je n'avais pas hâte de refaire face au monde qui se trouvé derrière ma porte je décidé que c'était le bon moment pour le faire. La chambre était très grande, de couleur rose pâle, chose qui changeait de mes anciens murs vierge et soudain je compris pourquoi les gens mettaient de la couleurs sur leur murs, c'était vraiment beau. Dans la pièce j'ai eu droit à un mini salon avec deux fauteuils et une sorte de sphère, peut-être était-ce leur forme de télé...ou pas, passons. Maintenant, la salle de bain qui était tout aussi grande que la chambre, le carrelage était d'un bleu-vert splendide de la même couleur de l'intérieur de la douche, et de la baignoire. Et ensuite il y avait, mais pourquoi ? ... qu'est ce que la photo de James faisait là et comment se fait t-il que je ne l'avais pas vue hier, avais-je été autant déboussolais ? Elle prenait tout le mur qui était en face de la baignoire. J'étais ahurie. Pire, je pris la décision de soit la couvrir d'un drap ou alors, dans le pire de cas, ne jamais me servir de cette pièce. Tout ça, me fit pensé au privilège dont parlé James, hier soir. Et après de longue heures dans mon lit à imaginé n'importe quoi j'avais décidai de ne plus jamais y pensé. Heureusement quelque chose m'extirpa de mes pensées.

_Excusez-nous, Mademoiselle. m'interrompit des femmes de chambres qui m'avait pris en otage hier. C'est juste que personnes n'a répondu quand nous avions frappé, alors nous nous sommes permis d'entré.

Elles avaient l'air beaucoup moins sévère que hier. Je me demande si ce n'était pas à cause du comportement sévère de James hier soir. Je ne le connaissait pas mais je pouvais déjà en déduire que ce garçon monté beaucoup sur ses grands chevaux. Mais alors peut-être que ces femmes me laisserai porter ce que je veux aujourd'hui.

_C'est rien, mais s'il vous-plaît, dîte-moi que je n'est pas à mettre une robe aujourd'hui encore. Les suppliais-je.

_Pas de robe de princesse pour vous.

Ouf. Au moins le sang chaud de James pouvait me servir à quelque chose, c'était déjà ça.

_Aujourd'hui, vous porterez une robe de reine.

Ou pas... 

_Eh, heu, c'est quoi la différence ? Dans les deux cas, c'est une robes.

_Une robes, oui, mais plus courte.

_Courte comment ? Demandais-je inquiète. 

_Vous verrez ! Répondirent-elles plus qu'excedaient.

Et sans m'en dire plus, elles m'entraînèrent dans la penderie qui se trouvé dans un coin de la salle de bain Et avant que j'ai pu ouvrir la bouche pour protesté  je m'étais retrouvé avec une robe de couleur noir dont le haut était sous forme de bustier et le bas évasé. C'est vrai, c'était une belle robe je ne pouvais pas en dire le contraire mais pas pour moi. Je me trouvé franchement ridicule en plus elle était courte, elle m'arrivait peut-être que de deux centimètre au dessus des genoux, c'était trop court pour moi, car cela voulait dire que je devrais veuillé à ma façon de marcher et de m'asseoir. En tout cas, même si elles avaient réussis à me faire enfiler cette robe, personnes ne touchera à mes cheveux. Même ma mère avais abandonné quand j'étais petite parce qu'elle savait que dès qu'elle aurait le dos tourné je détruirais toujours ce qu'elle caractérisait de chef-d'oeuvre.

_Vous êtes sérieuse là ? Dis-je en les regardant d'un regard noir.

_Vous êtes très bien. C'est un petit-déjeuner important, puisque vous serez en compagnie de la Reine.

KNOWOù les histoires vivent. Découvrez maintenant