CHAPITRE 18

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James.

Deux heures, cela faisait deux heures que je ne trouvais aucune issue à mes plans qui n'ont ni queue ni tête. Je pensais qu'interroger Laura faciliterait mes recherches, mais bien au contraire, ça me compliquai plus la tâche. Alors si elle ne m'avait pas menti, l'espion du château avait un ongle en argent sur la main gauche, seule information certaine, elle ignorait son nom et n'avait jamais vu son visage. Donc, résultat, je devais trouver parmi plus de deux centaines de personnes un homme, ou une femme, qui possédait un ongle d'argent. Si je décidais d'inspecté chaque personne, cela prendrait trop de temps et cela donnera de l'avance à l'espion de pouvoir s'enfuir. Ensuite il y les rebelles de la dernière fois, pour eux, j'ai déjà posté des gardes dans leur ombres. Je pense qu'ils ont su que nous serions au Diabolo grâce à ce même espion, tout comme Laura l'avait su, alors je me disais que si j'introduisais quelqu'un dans leur  bande, alors il me serait plus facile de trouver l'imposteur. Pour cela il faudrait que je réussisse à enlever un de leur membres. Ça ne devrait pas être un trop gros problèmes, surtout pour Sam.

Ensuite, ce qui occupé surtout mon esprit c'était elle. Elle qui préférait s'intéresser à la vie sentimentale des autres plutôt qu'à la sienne, peut-être pour oublier le problème que je suis. Pourtant, je ne sais pourquoi, mais je ne cesse d'y croire. Il y avait quelque chose, sinon pourquoi m'aurait-elle défendu hier soir avec Laura ? Et comment ce fait-il qu'elle n'ait pas réagi plus que ça quand je l'ai embrassée, c'est vrai que ce n'était pas un baiser à proprement parlé, mais... pour moi c'était tout de même un pat énorme. Dans la vie il y a des choses incompréhensibles et Agathe en faisait partie.

À partir de demain, elle m'aidera dans cette enquête. Le problème était qu'elle ne savait pas se défendre, n'importe quoi pourrait lui arrivé et je ne pas pourrai la protégée à chaque moment venue. Le seul moyen, et je m'étonne de ne pas y avoir encore pensé, se serait de...

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_Comment ça un entraînement spéciale. Me demanda t-elle la mine sombre.

_Tu n'as pas l'air très enthousiasme. En conclus-je de sa réaction.

Aujourd'hui, elle allait apprendrai à contrôler ses pouvoirs ou au moins à avoir conscience d'eux. Je l'ai envoyer troquer sa robe pour des vêtements plus confortable, alors quand elle revint, elle était habillé comme le jour où elle était arrivé ici.

_Oh si ! Je suis super enthousiasme à l'idée qu'on me réveillé à quatre heure du matin, pour aller m'entraîné à je ne sais quoi. s'énerva t-elle.

Bon maintenant je savais qu'elle n'était pas du tout du matin. En tout cas moi non plus, alors si elle était de mauvaise humeur, je l'étais encore plus.

_Plus on commencera tôt, mieux ce sera pour toi. Décrétais-je d'un ton qui mis fin à toute protestation. Moi aussi je préférerais cent fois dormir.

_Bon, puisque je n'ais pas le choix, à quoi il consiste ton entraînement ? Dit-elle d'un ton de reproche.

Je décidé de ne pas y faire attention, quand elle comprendra la sensation de sécurité qu'offre ses pouvoirs, elle me remerciera.

_À partir d'aujourd'hui, il faudrait que tu apprenne à te servir de tes pouvoirs.

Elle ne parla plus, et cela dura tout le temps où je l'emmenais dans la salle d'entraînement. Elle se situé dans l'aile gauche du château, à l'opposé de tout, c'était la partit la plus sombre de l'Enfer. Celle dont tout le monde craignaient, éloigné de tout les habitants. C'était l'aile qui gardait l'entré du purgatoire, il n'y avait que mon père, moi et les gardes qui était autorisé d'entré. Ma mère le pouvait aussi, mais ne venait jamais, de toute façon je ne voyait pas beaucoup ce qu'elle pouvait bien y faire. Quand à Agathe, pour l'instant, elle n'avait pas besoin de savoir ce qui pouvait bien se trouvé à côté, la salle d'entraînement suffisait.

La salle était composé de plusieurs machine d'entraînement, il y avait des épées corrompu partout, autres choses du même genre. Agathe est resté à l'entré comme pour juger afin de savoir si elle devait entrer ou s'enfuir, je pouvait la comprendre puisque j'avais eu la même réaction la première fois que j'étais venu avec mon père et... Sarou.

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(flash back)

_Plus fort ! c'était ce que me criait mon père tout les après-midi pendant cinq ans, depuis que je savait marché. Plus fort, frappé plus fort sans regrets ni pitié, voilà la clef d'après lui. À son côté, Sarou, sont officier le plus compétant l'aidait. Toujours, Sarou avait toujours une remarque à me faire, cet idiot, à croire qu'il ne vivait que pour me faire des remarques.

Il m'entraîner durement, quand je devais me battre, il ne retenait aucun de ses coup. Je me souvient même qu'une fois, tellement il m'avait amoché, je ne pouvais plus me lever alors il me laissa par terre le soir de l'entraînement, sous prétexte que mon l'adversaire ne me portera pas jusqu'à chez moi mais qu'au contraire il me tuerait. Ces cinq années ont été longue mais le plus difficile fût la fois où Sarou revint d'une bataille avec la moitié du corps empoisonné. Je ne savais pas ce qui c'était passé, tout ce que je su  fut ce que j'avais vu, un homme blessé qui n'avait lus aucun espoir de survivre, je l'avait entendu hurlé à mort. Mais je me souviens surtout du moment où je l'ai tuer, sous l'ordre de mon père. Il disait que Sarou n'avait pris en compte aucune des choses qu'il m'avais apprise et que maintenant pour qu'il arrête de souffrir le seul moyen était de le tuer. Je me souviens avoir été à son chevet avec mon épée corrompu, les larmes au yeux tout comme lui. Ce jour là il n'y avait eu personne à part nous deux. Je me souviens de ses mots qu'il m'avait dit pour m'encourager.

_Ecoute, gamin. Commença t-il avec une voix râpeuse. Si tu pleure à chaque ordre qu'on te donne, tu n'iras pas bien loin. me reprochait-il. 

_S'il faut tuer des gens pour aller loin, c'est bon je laisse ma place et préfère de loin être clochard. Lui avais-je répondu.

_Ne dis pas ça, voyons, tout le monde compte sur toi. Et puis tu me rend service, là.

Mais la tristesse se lisait noir sur blanc sur son front.

_Tu sais, je voudrais que tu me fasse une promesse. Avait-il dit d'une voix faible.

Franchement, à ce moment-là, les services me passaient par dessus la tête. Surtout quand la vie des autres était en jeu. Mais en le voyant dans cet état, cet homme que je respecté, je pris sur moi et accepté.

_ Alors voilà, comme tu peux le voir, s'en est bientôt fini pour moi et j'ai passé les cinq dernières années de ma vie à m'embêté avec toi, alors pour une fois, fais moi plaisir et n'oublie pas ce que je t'ai appris. Je veux que tu me fasse honneur, montre moi que ces cinq ans n'ont pas servi à rien. Il me regarde un moment, puis dans un soupir me dit. Je crois que je t'ai tout dit, maintenant fais ce que tu as à faire James.

Alors il fermait les yeux, attendant le coup fatal. Je le regardais une dernière fois, me demandant ce que je devais faire. Mais, après tout, moi, je n'avais pas le choix, alors que lui avait fait le sien. Alors, essuyant mes larmes, je relevé la tête et dans un mouvement sec, j'ai plongeai ma lame dans sa poitrine. D'un mouvement vif, je l'entendis en même temps crié mais ensuite il murmura, malgré la douleur, ces derniers mots;

_Plus fort...

À ses mots je souris, se fut la dernières fois que je les entendis. Après ce jours, je n'est plus eu besoin de les entendre car ce garçon pleurnichard avait était remplacé par quelqu'un qui avait une promesse à tenir. Ces mots ont étaient un but que j'ai réussi à atteindre car après ce jour j'ai été le plus fort, j'ai fais ce que j'avais à faire. Tout simplement.

(fin de flash back )

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Mais aujourd'hui, quelque chose de diffèrent m'attendait. Je devais faire en sorte que quelqu'un ne soit pas tué. Et cette tâche, j'en étais persuadé, était loin d'être facile. Surtout quand je ne savait pas par où commencé.

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