CHAPITRE 21

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Agathe.

Réveil-toi. Ouvre les yeux... Je ne pouvais pas, j'étais si fatigué et j'avais tellement mal. Alors que là,  la position dans laquelle j'étais me faisait du bien, pourquoi l'abandonné alors . Puis soudains, comme si qu'un éclaire m'avais frapper de plein fouet, je me souvint de tous ; du tunnel écarlate, de la douleur que j'ai ressenti à l'intérieure et de James qui avait dit des mots qui ont réussis à m'endormir. Et à cette dernière pensé je rouvris mes yeux, avec tellement de volonté, comme si que se serait la dernière fois que je le faisait. C'était comme si qu'il y avait comme un bandana sur mes paupières que je ne pouvais plus enlevé, mais ses mots, cette voix était la corde à laquelle je me suis raccroché. James.

James et Sam était tout les deux penché au-dessus de moi avec la même inquiétude imprimait sur leurs traits. J'étais en train de reprendre de grandes bouffé d'air quand Sam me pris dans ses bras . Mais qu-est-ce qui avait bien pu se passer dans ce portail ? Je regardais James pour avoir plus de détails mais il était trop occupé à reprendre vie par terre, à côté de nous comme si que ça avait été lui qui était évanouis à l'instant. Sam, quand à lui, n'avais pas l'air près à me lâcher. J'avais la désagréable impression de me réveiller d'un cauchemars et je pense qu'ils devaient être du même avis. Alors je me laisse allée aussi dans ses bras et d'une main je cherchais celle de James qui la saisit sans plus tarder, sa main était encore toute tremblante alors je la serais la plus fortement que je pus pour lui signifiait que c'était bel et bien terminé. Et à ce moment je me suis demandé ce que je ferai un jour s'ils n'étaient plus à mes côtés. Et je préfère que cela n'arrive jamais. Puis quelque chose m'interpella, c'était mon bureau, fronçant les sourcils à sa vue, puis tournant la tête sur le côté pour voir l'endroit où nous nous trouvions et je fus surprise de constater que nous étions dans ma chambre, sur Terre. Une chambre qui ne ressemblais pas du tout à celle que j'avais laissé après notre agression à Sam et moi. Elle était en ordre et les vitres avaient été réparés. Puis nous entendîmes un énorme fracas venant du rez-de-chaussé, et je compris aussitôt de qui il s'agissait. Alors je regardais James, qui entre-temps s'était levé et il me fit un signe de tête, m'indiquant que c'était le moment. Puisque je ne pouvais plus faire marche arrière, et que surtout je ne voulais plus utilisé ces vortexes rouges, je me levais à mon tour, aidé de Sam, et leurs prenant à tout les deux la main, je descendis l'escalier, allant à la rencontre de ma mère.

On aurait pu croire que je faisais toute une histoire pour un rien, ou encore que c'était juste une crise d'ados, mais non. Affronté son regard était pour moi plus terrifiant que de défier Arès dans un combat. Je me rend compte que même quand j'ai dû allé voir mon père pour la première fois je n'avais pas été aussi inquiète.

Arrivé en bas, nous la trouvions dans la cuisine en train de faire la vaisselle. A côté d'elle, par terre, il y avait une assiette qu'elle n'avait pas encore nettoyer. Possiblement l'origine du bruit que nous avions entendu tout à l'heure. 

-Toujours aussi maladroite. constatais-je à voix haute.

Au son de ma voix, elle s'est figé puis commença à se retourné doucement comme si qu'elle n'en croyait pas ses oreilles. Désormais face à moi, elle avait la bouche ouverte mais aucun son n'en sortit. Elle observé James et Sam comme s'il étaient des fantômes. Puis, reportant son attention sur moi, elle parla finalement. 

-Qu'est-ce que tu fais ici ? me demanda t-elle froidement. 

A ce moment je ne ressenti que de la déception car même si nous n'étions d'accord sur très peu de choses et que nous passions le plus claire de notre temps à nous disputer, eh bien j'avais quand même espérer qu'elle me prendrait dans ses bras quand elle me reverrai. Alors en essayant de ravaler toute ma tristesse, je répondis simplement à sa question.

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