CHAPITRE 28

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Agathe

J'ai suivie mon père dans sa longue visite guidé de sa gigantesque demeure. J'étais tellement excité que l'on aurait pu me confondre avec une petite fille. Il m'avait emmené partout; dans sa salle de bal, l'immense labyrinthe du jardin, son " bureau ", ma chambre si j'avais habité ici. Maintenant il disait m'emmener dans son salon privé, et je ne l'imaginait de toutes les façons. Mais je m'attendais surtout à un lieu semblable au jardin de James. Nous arrivâmes devant une immense porte en cuire, que mon père ouvrit à l'aide d'une petite clé en or qu'il portait autour du cou. Tellement minuscule que je ne l'avais pas remarqué jusque là. Il m'ouvrit donc la porte et me laissa entré la première.

Et à ce moment, je suis tombé de haut en découvrant ce qui se trouvé dans cette pièce. Un salon de forme de cercle avec au centre une magnifique fontaine en forme de statue. Deux statue pour être plus précise, il s'agissait de mon père et de ma mère en train de danser. Et les murs tout autour d'eux, et donc de nous, était tapissé des photos de ma mère, toute seule ou avec lui, ainsi que de nombreuse autres de moi depuis mon plus jeune âge. Il y en avait tellement... Mais celles qui m'importaient le plus étaient celles de ma mère. Elle était beaucoup plus jeune, ses cheveux était aussi long que les miens, et sur toutes les photos elle était pleine de vie et affichait toujours un splendide sourire. Cette femme là paraissait si différente de celle que j'ai connu... J'aurai tellement aimé connaître celle-ci.

-Personne n'a le droit d'entré ici. me confie mon père. Et surtout pas ma femme.

Nous observions tout les deux, assis sur le rebord de la fontaine, les quelques centaines photos de maman.

-C'est dur de la reconnaître, pas vrai ?

-C'est presque impossible même !

-Laissons les fantômes du passé. Ce n'est pas ce que je voulais te montrer.

Alors, il me prend par la main et m'emmène sur un balcon à l'autre bout de la pièce. Et la vue est surprenante. Ce que je voie est tout juste magnifique et dans un autre sens terrifiant. C'est tout le jardin, qui paraît si petit à présent, de l'Olympe qui est éclairé par la lumière du crépuscule. Et au loin se dresse différentes sorte de royaume et je crois reconnaître celui d'Athéna. Et, à peine visible, plongé dans la pénombre j'arrivais à distingué les enfers qui entouraient tout le royaume Olympiens.

-Le spectacle te plaît ? me demande mon père.

-Énormément ! affirmais-je ébahi.

-Comme tu eux le constater, mon royaume est entouré de l'enfer, mais pas que. Entre ces deux monde se trouvent les territoires des dieux. Et je suis au milieux pour mieux régner.

-Ou pour mieux être éliminé. pensais-je à voix haute. 

Mon père, ayant entendu ma remarque, me remarque avec de gros yeux. Pourtant, je suis certaine de ne pas être la seule à y penser.

-Bref ! poursuivais-je. Donc c'est toi qui commande dans toute ces zones ?

-Oui, sauf une seule d'entre elles. Et il s'agit de la plus grande...

-L'enfer...devinais-je.

-Et à l'origine, c'est pour cela que je tenais à te fiancer à James. m'avoue-t-il.

Ces paroles s'enregistre automatiquement dans ma mémoire. J'avais oublié que leurs but initiale, avec Hadès, était tout le contraire de réunir deux âmes-soeurs.

-L'Enfer est le royaume le plus incontrôlable de tous, il est plus grand que les autres. Pendant des siècles j'ai cherché un point faible à mon frère, quelque chose capable de le trahir et m'aidant ainsi à reconquérir ses terre en vain. Et maintenant qu'il a décidé de confier la moitié de son royaume à son fils héritier, j'ai voulu profitais de l'occasion.

-Alors tu n'agis toujours seulement par intérêt ...

-Il faut faire la part des choses après. Et ne pas oublier qu'en dessous de nous se trouve les hommes qui eux récoltent tout ce que l'on sèmes. Je ne peux pas me permettre de déclarer un guerre à Hadès, en craignant les répercutions que cela aura sur les humains. Et de même, continue-t-il en tournant autour de moi comme un vautour, j'estime que tout les désastres qui ont lieu sur Terre sont en grande partis à cause des démons des Enfers.

Je l'écoute attentivement, sans dire un mot. À un moment par contre, sa tirade commença à grandement me laçait ! Il partit dans des délires grotesque, pour lui l'Enfer était peuplé de brutes, de dépravé. Alors que pour moi, même si il est vrai que je suis nouvelle dans ce milieu et que je ne connais pas encore tant de chose du royaume d'Hadès, je suis certaine que si il y avait un véritable responsable à toutes les catastrophes si connus chez les humains je doutais que se soit à cause des habitants des Enfants. Déjà parce que même si c'est dure d'y croire les dirigeants des Enfers savaient très bien tenir à carreaux ses sujets et ensuite car tout les dieux ont tout aussi bien leurs parts de responsabilité.

-Agathe ? me questionne Zeus. Je te disais que moi aussi je te confirai une partis de mon contrôle, et je voudrai que tu puisse donc étendre ce pouvoir à la partis que tu dirigera avec, une fois marié. 

Je le regardais, n'en croyant pas mes oreilles. En gros, il allait m'utiliser telle une marionnette dont il pourrait tirer les ficelle comme bon lui semblait. Il fallait donc que je mette les points sur les I, et cela maintenant.

-Alors je tiens à te prévenir, tu es mon père et malgré notre rencontre encore fraîche je t'aime énormément, mais franchement je n'ai rien à faire de tes désirs de pouvoirs. Et, vois-tu, je ne veux pas des pouvoirs que tu comptes me confier, alors la première chose que je ferais serait  de les confiés à mon tour à James.

Quand j'eus finis de parler mon père était rouges, et semblait hors de lui. Il prends alors l'ai le plus sévère dont, je pense, était-il capable et m'attrapa durement le bras. 

-Attention à ce que tu vas faire jeune fille ! me cria-t-il

-Toi attention à ce que tu compte faire ! lui répondis-je du même ton. Si Hadès découvre ton complot, tu es un homme mort.

-Je ne serai pas le seul alors ! Parce que si Hadès l'apprend, c'est une guerre monstre qui commencera et alors se sera les humains qui paieront les peau cassées. Alors à ta place, je ferai gaffe à ce que je dirai à James.

Il me lâche ensuite le bras, qui était portait à présent des traces de doigts rougis. Sans plus attendre je m'enfuis le plus loin possible de cet homme abominable. Hors de sa portées... J'aurais pu aller rejoindre James, mais je ne savais pas où il se trouvé et à vrai dire cette fois-ci je préféré rester seule, Car cette fois-ci même James ne pourrait me consoler.

Mon père... Putain pourquoi fallait-il qu'il soit comme ça ? Je courais aussi vite que je le pouvais, même si j'étais consciente que personne ne me poursuivait. D'ailleurs il n'y avait personnes non plus sur mon chemin, pas un chats. Dehors, je me rendis compte de la présence d'un labyrinthe gigantesque, c'est à cette endroit que je pris la décision de me rendre. Un lieu à l'abris des regards, c'était exactement ce qu'il me fallait. 

A l'intérieure je tourné à l'aveugle dans toutes les direction possible, et sans savoir comment, je croît être arrivé au centre de la construction. c'est à dire dans une sorte d'ovale avec au centre une fontaine recouverte de fleurs. Je m'approchais et regardais mon reflet dans l'eau. J'avais les yeux rougis par mes larmes et des mèches de cheveux qui partaient dans tout les sens.

-Ce n'est pas une images très princières...murmurais-je.

-En effet. dit une voix mon oreille.

Je fronçais les sourcils, ne reconnaissant pas la voix de la personne qui avait parler. Mais je n'eus pas le temps de me retourné pour voir son visage qu'il vive douleur au poignet gauche me saisit  et fit que chaque battement de coeur m'assaille une atroce douleur.  Je me sentis m'évanouir et partir dans un autres monde sous le bruits lointain de pas qui s'éloigné peu à peu de moi...


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