CHAPITRE 20

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Agathe.

Allongeais sur mon lit, il fallait que je me calme, que je respire : "inspire, expire" me répétais-je comme un mantra depuis tout à l'heure. Au bout d'une heure, je me suis dite que c'était tout bonnement impossible alors j'ai renoncer à me calmer. Je ne comprenais pas, j'allais juste voir ma mère et non un monstre. Quoiqu'il n'y avait pas de grande différence entre les deux. Fallait-il vraiment que je la revoie ? Surtout que notre dernière discussion n'as pas été très productif ?Mais je n'avais pas le choix, si elle pouvait savoir ne serait-ce qu'un détail sur mon stupide pouvoir, ça m'aiderait beaucoup, vraiment beaucoup. Mais je me demandais aussi comment elle allait réagir en me voyant, je ne sais même pas où elle était exactement, à son travail ou chez nous... " chez nous ", ce mot commençai à sonner faux dans ma tête. Pourquoi ? Je ne sais pas, peut-être parce que je n'avais plus de chez moi. Chez Zeus, à l'Olympe, je n'y avais pas encore posée les pieds et ici, au Enfer... Je ne sais pas. Cet endroit n'était plus n'importe où puisque j'y vivait mais je ne pensais pas pouvoir le qualifié de chez moi même si c'était ce qui s'en approché le plus. Perdu dans mes pensées, le regard rivé vers le plafond je m'endormis, exténué par tous ces efforts gaspillés en vain. C'était frustrant de ne pas réussir à faire quelque chose pour laquelle vous étiez censé être faîte...

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Je ne sais pas si cela était réelle mais je sentais une douce sensation au niveau de la joue. Je pense devoir rêver car il ne peut pas existé de caresse aussi douce et si légère que celle dont j'avais droit à cette instant. Réveillé mais toujours dans les vapes, je gardais les paupières fermées, trop occupé à savourer le souvenir de la douceur de cette caresse imaginaire, pourtant même réveillé je la sentit aussi bien que dans mon rêve. Je ne me rendu compte que ce geste était vraiment réel que quand j'entendis la voix de James. Ne savant comment réagir, je gardais les yeux clos, faisant semblant de dormir, sauf que, même si je ne saurai comment l'expliquer, je savais qu'il avait compris que j'étais réveillé. Mais comme il joué le jeu, je ne savais vraiment pas comment réagir, j'aurais juste pu ouvrir les yeux afin que l'on puisse passer à autre chose, et c'est ce que j'avais l'intention de faire quand il commença à parler, et ma curiosité piqué à vif ne pu s'empêché de vouloir entendre.

_Je suis désolé pour tous ce qui t'arrive. murmura t-il. Tu mériterais une vie meilleur.

Ses paroles me déchirèrent le coeur, car depuis le début il ne faisait que s'excuser alors qu'au finale c'était bien lui le seul victime. Victime de la vie, du destin, du passé, de notre lien, de moi... Il était ma victime comme moi j'étais la sienne. Soudain je l'entendis rire amèrement puis déclaré :

_Malheureusement, je suis bien trop égoïste pour m'imaginais vivre sans toi, alors même si j'aurai dû tous faire pour t'éloigné de toutes cette histoire, je ne le pourrais pas parce que je...

_Prince ? Qu'est-ce que tu fais ?

C'était la voix de Sam. Oh non ! Il n'avait pas finis sa phrase, même si je savais ce qu'il allait me dire, il y avait une grande différence entre savoir et l'avoir entendu. Car de cette manière, ses mots si difficile à comprendre prenait vie. Et maintenant que tant de choses avait changé, c'était ce que je voulais : qu'ils prennent vie.

_Ton père veut te voir, donc vas-y. Je me charge de la réveillé et ensuite on te rejoint. proposa t-il.

_Très bien, et n'oublie pas, soit discret. lui rappela t-il.

Puis en entendant le bruit de ses pas devenir de plus en plus lointain, j'ai crus reprendre vie. Comme quelqu'un qui se réveillé après avoir été changé en statue de pierre pendant plusieurs années, quoique ce moment m'a parut durée une éternité. Par contre, j'oublié un dernier problème : Comment allais-je expliqué à Sam le fait que je n'était pas endormis ? Peut-être qu'il ne l'avait pas remarquer après tout. Donc avec le peu d'espoir que j'avais je fis mime de me calmer. Mais tout semblant d'espoirs partit en fumé quand Sam me donna une tape sur l'épaule et pris la parole.

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