Succombe moi

Direction studio

Vidéo : everytime se touch, couple : malec
Bonne année à tous
si ça vous intéresse j'ai décidé y a un petit moment de faire un rantbook 😋😂
Bref bonne lecture
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- J'ai mal au ventre Sam.

Je dis en soupirant, fixant la route qui défile.

- Bas la prochaine fois tu ne mangera pas autant. D'ailleurs pourquoi t'a tout mangé ?

Je me tourne vers Samy concentré sur la route menant à la société qui produira le fameux film. Il veux vraiment la réponse ? Je souris taquin.

- Bas c'est simple. J'adore tout ce qui vient de toi. Vraiment tout.

Sam tourna la tête vers moi et à mon aire il soupira, comprenant très bien le sens de mes paroles.

- Mais vas te faire foutre avec tes foutue sous entendu.

- Impossible j'ai trop mal au ventre Sam.

- Crétin.

Il dit ça un sourire au lèvres ce qui lui enlève toute sa crédibilité mais j'entre dans son jeu.

- Ça c'est pas gentil.

- Nan, mais c'est la vérité.

Pour me venger je frappe sa cuisse et Sam glousse les deux mains sur le volant les yeux dans le vague de la route. Et après c'est moi le crétin vous y croyez vous ? Il est adorable celui là, si innocent. Je suis content de l'avoir rencontré. Content d'être avec lui maintenant, même si le fait de pouvoir être blessé par lui me fait peur. Cependant j'ai confiance en lui, si j'ai peur c'est parce qu'en vrai c'est en moi que je n'ai pas confiance. J'ai peur de tout faire foiré, de pas être à la hauteur. À sa hauteur. Et de finir blessé à cause de moi même.

D'un côté j'aurais préféré ne pas avoir ces sentiments ou tout simplement ne pas les avoir développé. D'un autre j'avoue que je suis heureux ainsi. Heureux avec lui. En espérant que ça ne soit pas éphémère. Je ferai tout pour, en tout cas. Pour faire confiance à Sam autant qu'à moi même. J'ai besoin que sa soit sérieux entre lui et moi peut être plus qu'il ne le pense, même si je conçois que ralentir pour consolider le tout j'en ai aussi besoin. Et lui de quoi a-t-il besoin ?

Samy transperce mes pensées lorsque sa voix atteint mes oreilles, toujours aussi sérieuse.

- Anthony ta main.

Je le regarde étrange ne comprenant pas ce qu'il veut dire.

- Bas quoi ?

Il souffle doucement un léger sourire aux lèvres et me tend la main pour prendre la mienne. Je le regarde les yeux écarquillés lorsqu'il pose ma main sur sa cuisse me rappelant une précédente situation.

- Tu peux la laisser.

Mon cœur rate un battement comprenant la définition de son geste.

- Euh, oui.

Ma voix se montre mal assuré tout comme moi même. Il me déstabilise rien que par ce geste. Un instant ses yeux s'égare dans les miens me montrant toute la bienveillance qu'il peut avoir à mon égard.

- Tu sais on aurait pu la finir ce soir.

- De quoi ?

Pris de cours j'ignore totalement de quoi il parle. Mon cerveau est en off trop occupé par mon cœur qui tambourine de toute puissance résonant dans mon corps.

- La tarte, c'était pas la peine de tout avaler direct.

J'inspire doucement un sourire incontrôlable et doux fixé sur moi. C'est normal de ressentir ça ? Je ressens beaucoup plus qu'une simple attirance physique ou quoique ce soit de ce genre. Mon pouce bouge naturellement pour caressé la cuisse de Sam.

- Ça c'est ce que tu dis, c'est toujours meilleur sortie du four.

Son rire résonne dans la voiture en même temps qu'il actionne le frein à main. Sa peau frôle la mienne m'électrisant de son toucher lorsqu'il détache sa ceinture ainsi que la mienne.

- Aller on y ait vôtre chasteté.

- Depuis quand je suis chaste moi ?

- Depuis quand tu ne l'ait plus serais la véritable question.

Je le regarde étonné par sa reparti. Ses mots pourrait être blessant si son ton et son sourire en coin ne montrait l'inverse.

- Aller lève tes fesses et sors sinon on sera en retard.

J'obéis et ôte ma main de sa cuisse non pas sans lui tiré la langue comme vengeance. Je descends de la voiture avant de faire le tour et de me trouver face à face avec mon Samy. Il me regarde tout sourire et je décide de lui répondre.

- 15 ans.

Il fronce les sourcils bizarrement sans comprendre où je veux en venir.

- Hein ?

- Mon dépucelage j'avais 15 ans.

- Ahhh.

Un sourire s'empare de ses les lèvres et je suis sur qu'il pense "quel crétin celui là". D'une main à ma hanche il m'attire contre lui pour embrasser mes lèvres quelques instants, avant de nous séparer. Je souffle doucement.

- C'est par où ?

- Suis moi.

Et je le suis à travers différents couloir semblable les uns aux autres jusqu'à entré dans une pièce. C'était la première fois que je voyais ce genre de choses. Des gens s'atteler autour de différentes caméra et putain ces caméras étaient des monstres professionnel. Des gros truc de métal et de roulage pour stabiliser l'image. Plus loin d'autre s'occuper d'un décor de ruines disposé sur un fond vert. Des ruines d'immeubles ravagé ou ce genre de truc complètement détruit avec deux carcasse de voiture.

- Hey Anthony.

Je me retourne pour tomber dans les orbes ambré de Liam. Liam est un brin bouclé à la peau mate et aux sourire toujours présent, légèrement plus grand que moi et plus musclé aussi sans quand même égaler Sam. Sa présence me pique un sourire. Aussi loin que je me souvienne il a toujours eu cette dégaine et cette énergie bienfaitrice qui émanait de lui.

- Bonjour Sam.

Mon presque frère serra la main de Samy avant de lui donner une tape à l'épaule ce qui lui valut un sourire de mon homme. Je crois que ces deux là vont bien s'entendre. Après cet acte d'acceptation entre les deux Liam me pris dans une franche accolade. Accolade que je mis un temps à lui rendre tout d'abord surpris. C'est rare qu'il face ce genre de démonstration au travaille, le fait qu'on ne soit pas dans ses locaux aide probablement. On se sépara et Liam me sourit un regard en coin à Sam.

- Je suis heureux pour toi.

- Moi aussi Liam.

- Daniel à hâte de rencontrer celui qui à fait chavirer mon frère, Sam.

- Ah, euh...

- Daniel c'est son mari.

L'en informais-je. Sam voulu répondre mais Liam le devança.

- Je suis content que vous avez acceptez, moi même j'ai hâte de voir ce que tu vaux même si j'ai ma petite idée. Aller venez je vais vous présenter l'auteur.