Succombe moi

céder a ses tentations

Bonjour, ou bonne nuit tout le monde, je reviens enfin (et pour me faire pardonner ce chapitre et plutôt long) et avec des scènes réserver aux personnes en ages. Bon je vous laisse avec la lecture si vous l'osez !

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- Je t'aime Sam.

- Je t'aime aussi poussin.

Passant ma main dans son cou je l'attira vers moi, scellant nos lèvres les une aux autres. Chaste au début, j'approfondi vite les choses, possédant ses lèvres. Mais cela ne me suffit pas. Le voulant entièrement avec tout ce que j'entends par là. Je l'attira sur moi me laissant tomber légèrement sur le lit.

- Sam j'ai envie de toi.

Se redressant le dit Sam, souffla.

- C'est pas raisonnable Anthony, avec tes blessures.

- Ce qui n'est pas raisonnable c'est de me laisser habiller. Et puis c'est pratiquement guéri. Dis-je la mine boudeuse.

 Samy (depuis l'accident surtout) avait cette tendance a me surprotéger, ce qui pouvait autant être adorable par moment que frustrant par d'autres. Comme c'était le cas maintenant. Il soupira, et je remarque la bosse qui commençait a déformé son bas.

- Tu en a autant envie que moi. Fis-je remarquer en portant ma main a sa ceinture. Ne dit on pas que le seul moyen de se débarrasser d'une tentation est d'y céder ?

Ses yeux gris se posèrent sur les miens comme s'il cherchais la réponse dans mes pupilles, troublait.

- Tu cites Oscar Wilde maintenant ?

Je lui souris, content qu'il connaisse cet auteur, que j'affectionne beaucoup.

- Quoi mignon et intelligent ça va pas ensemble ?

Samy gloussa doucement a mon ego peut être un peu fort certaines fois.

- Cultiver, intelligent tu vois des fois j'en doute beaucoup.

Sam 1, Anthony 0. Sans me laissait répliquer, il porta sa main sur mon entre jambes, un sourire aux lèvres. 

- Mais c'est d'accord tu l'aura chercher.

Un éclair de plaisir me traversa lorsqu'il pressa sa main en même temps que ses paroles, me laissant encore plus exigu que je ne l'étais déjà dans mon pantalon.

- Cependant on va faire a ma manière Antho et, c'est pas négociable.

Sa voix grave claqua impériale et un sourire se dessina sur ses lèvres. Un sourire espiègle qui ne me donner que plus envie de voir ce qu'il préparait, tout en craignant ça. Avec un dernier regard réitérant son message comme quoi "je l'ais chercher", il retira son pulls. Sous mon regard appuyer, avant de se lever, non sans m'ordonner de ne pas bouger et sorti de la chambre. J'aurais certainement penser qu'il me laissait en plans si ses yeux ne me promettaient pas de me faire succombé à la luxure. A sa luxure. Il revient a peine deux minutes plus tard, avec un aire fière de lui avec dans sa main un ruban de tissu.

Étonné tout d'abord, je fus parcouru de frissons en réalisant a quoi cela pourrait il bien servir. Il va vraiment faire ça ? Je n'eu le temps de chercher ma réponse que ses lèvres fondirent sur les miennes. Son corps juste au dessus du mien. Et sa main sous mon haut me caressant les cotes et le ventre.

S'arrêtant un moment dans ses gestes avant d'aller plus loin. Il me retira doucement et précautionneusement mon haut. Avant de le faire valser en hâte. Je souris sous les deux facettes vif et attentionné de cet homme. Il récupéra le ruban et pris soin de le faire parcourir mon corps, m'arrachant des tressaillement. Avant de se saisir de mes mains au dessus de ma tête. Mon cœur rate un battement de surprise. Ses gestes rapides et précis m'attachant aux barreaux du lit. Dans un nœud si bien fait qu'il m'était d'ores et déjà plus possible de m'en défaire. Il l'a vraiment fait.