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Le lendemain matin lorsqu'elle se réveilla,elle fût saisit par une terrible migraine .Elle s'appuya contre le lit pour se mettre debout les pieds frangeolants,elle titubait.Elle se rendit dans la douche et debout devant le miroir elle s'éxaminait.Elle avait les yeux rouge.Les cheveux en batailles...Elle regarda ses pieds et vit du sang séché lui arrivant jusqu'au talon.Se pourrait il qu'Elle souffre de blémoragie?Elle a tellement perdu de sang.Elle leva les yeux innocents vers le miroir,Les images de ce qui s'était passé défilaient devant elle.Elle se mit à pleurer,Furieuse elle frappa le miroir sur le sol.Le brisant,Elle ne voyait plus la Sarah qu'elle adorait...Elle ne voulait plus voir la femme qu'elle avait devant elle.Elle prit un morceau de miroir puis la main tremblante,elle regardait son poignet,Il était temps d'en finir,alors que sa main tremblait elle rata sa cible.Bien qu'elle s'était bléssé,Elle n'avait pas réussi à rompre sa veine.Du sang coulait de son poignet,augmentant sa douleur.Pourtant,Elle se sentait soulagé,Tant bien que mal,elle finit par rentrer dans la douche où elle écoula plus d'une vingtaine de minutes à se frotter espérant enlever toute trace de Trovar...Une heure plustards fatiguée,elle sortit de la douche ,se  vêtit d'une robe simple puis déscendit ensuite dans la cuisine,aujourd'hui elle était décidé à faire face à ses parents même s'il fallait qu'elle passe la journée sur une chaise.
Une demi-heure plustard,Alors que Sarah regardait sa blessure saignée, sa mère suivit de son père firent leur entrée dans la salle.Elle ne broncha pas,les regardant fixement.Sa mère honteuse finit par rompre le silence:

-Sarah ne fait pas cette tête là,Il le  fallait bien.Tu savais déjà que c'était ta destinée non?

-Ma destinée de me faire violée avec le consentement de mes parents???Ma destinée d'être traitée comme un Objet par trévor???Ma destiné d'être comme toi une pute?Non jamais je ne te le pardonnerais.Jamais je vous pardonnerais d'avoir gâché ma vie.Je n'ai pas eu d'enfance,ni d'adolescence,ni même le droit de faire comme bon me semble de mon futur.Vous avez tout planifiés et tout bafoués,même ma dignité....

-Sarah,ferme la, intervint son père,Nous sommes tes parents et tu nous dois du respect.

-Du respect?Mais qui veut le respect se le procure père.Et vous?Vous ne le méritez pas.Quel genre de parent êtes vous??

-Sarah,Tu t'es donc toujours pas décidé à remplir ton devoir?Tu nous dois au moins ça non?

-Je te dois peut être le fait de t'être servis de ton couille mais j'aurais préféré que tu portes un préservatif..dit elle au bord de larmes.

-Peu importe ce que tu dis,un jour tu me remercieras,T'inquiète pas!

Sarah était las de les faire entendre raison il se fiaient qu'à leur tête.Sarah retourna se réfugier dans sa chambre,Pleurant tout son saoul.Mère Thérésa avait raison quand elle disait que:" la plus grande des pauvreté est le sentiment de ne pas être aimée."Toute son enfance elle était traiter comme un bibelot,là juste pour embellir la maison.Elle n'avait droit à aucune attention voire une preuve d'amour.Son père le parlait que pour lui traiter de garce et sa mère que pour se féliciter d'avoir eu une fille pour la remplacer.Le soir venu,Elle se vêtit d'habit chaud puis prit la route vers nul part.Elle allait finir par mourir asfixiée dans sa chambre,L'air frais saurait l'aidée.Arrivé au parc non loin de chez elle.Elle s'assied sur un banc regardant les enfants courir de partout avec leurs parents.Ce parc était de nature Calme mais c'était également l'endroit où beaucoup de famille se réunissait pour passer du bon temps genre pique-Niquer,ou déguster une bonne crème à la glace...
Alors qu'elle était perdu dans le beau spectacle qu'ils offraient...Elle entendit des ambulances sillonées les rues,sans doute y avait un dégat non loin se dit elle,en prenant le chemin vers chez elle.Le froid se faisait intense,Il ne tarderait pas à pleuvoir et elle n'avait pas apporter de Parapluie...Tout le long du chemin elle entendait les gens parler d'une incendie dans une grande maison,cela évéilla sa curiosité et comme par reflèxe elle se mit à courir.Arrivée, chez elle,Elle vit d'épaisse fumée noire montée au ciel...Stupéfaite elle resta là à regarder La maison s'incendiée, sans doute ses parents étaient à l'intérieur elle aurait aimée courir à leurs secours mais ses pieds restaient cloués sur le sol.Elle ne pouvait bouger.Devant elle,elle voyait défilée l'Image des pompiers,Pénétrant les lieux pour porter secours,des dizaines de minutes avaient coulés avant qu'Ils réussissent à sortir les victimes.Sarah voyant,sa mère et son père transporté dans l'ambulance,courut à leur rencontre.

-Comment se portent-ils je suis leur filles j'ai le droit de savoir.Ils vont mourir?

-Calmez-vous mademoiselle.Ils sont en état critique mais ne tarderont pas à se faire soigner.

-Je veux vous accompagnez...dit elle en voyant l'un des pompiers fermé la porte de l'ambulance.

Elle monta à l'arrière à côté de ses parents et les hommes à l'avant ...Le parcours lui parut interminable.Malgré le Chauffage et le pull qu'elle portait,Sarah frissonnait.Sarah regardait ses parents longés sur des draps Blancs tout deux inertes,Elle arrangea les couvertures autour d'eux.Ils n'avaient pas bronchés,Les yeux rivés dans le vide.Ils ne prononçaient aucun mot et tout la haine qu'elle les portait y a quelques heures disparus,elle ressentait à présent de la pitié,de la peur...Sachant que l'ambulance en Haïti prend des heures pour arriver.Combien de temps étaient Ils restés dans l'incendie?Qu'est ce qui a bien pû provoquée cette incendie?Sarah se repprochait tout ce qui était arrivé.Si seulement elle ne s'était pas montrée si butée,Peut être que l'ambulance aurait pû arriver plus tôt.Mais serait elle pas parmis eux si elle était restée dans sa chambre?L'ambulance s'arrêta devant la service d'urgence du petit Hôpital Sainte Étienne.Abandonnant le désordre de son bureau,Une infirmière se précipita au devant d'eux.Deux médecins arrivèrent peu après.Sarah les accompagna à travers le hall.L'Un des docteurs l'interrompit pour la prier poliment mais fermement de s'adresser à la reception.Elle retourna donc à l'entrée et répondit aux questions de l'infirmière.Nom des malades?Domicile?Êtes vous de la famille?Quel âge avez vous?Où étiez vous?

Sarah répondit à toute ses questions,L'infirmière Classa les dossiers en deux lots puis dit:

-Il faut que vous rentrez chez vous.

-J'ai plus de maison.

-Dans ce cas appelez une tante ou un oncle?

-J'en ai pas.Et je veux rester ici.

-Dans ce cas, appelez Une amie ou votre copain pour vous tenir compagnie.

Sarah avisa le téléphone à l'autre bout de l'entrée.Elle ne pensait qu'à Théo, il habitait le coin et donc ne tarderait pas à venir.

-Allô.

En quelques mots,elle le mit au courant de tout et lui indiqua où elle se trouvait.Il déclara qu'il prend la route immédiatement et raccrocha sans ajouter un mot.

MetanoiaWhere stories live. Discover now