La nuit semble avoir été longue dans ce paradis inconnu. En arrivant la la nuit dernière elle a sû qu'elle commettrait l'erreur de sa vie tout comme elle a sû qu'elle ne pouvait pas se remettre si elle restait chez elle. Tayler l'a beaucoup aidé il s'assure à ce qu'elle prend ses medicaments et aussi à ce qu'elle se nourrit convenablement. Elle devrait se sentir en forme mais Elle ne dort pas la nuit. C'est comme si son cerveau tentait de la tenir éveillé. De la prévenir d'un mal. Mais lequel? Elle l'ignorait. Dans cette grande maison nichée au fond de la ville , il ne peut y avoir le mal se disait elle. Elle a sans doute trouvée son soleil. Sans doute plus jamais elle n'aurait à hesiter entre vivre ou mourir. La vie lui offrait aujourd'hui la chance de tout recommencer et de laisser derrière elle sa vie de merde. Des éclats de rire venant du rez de chaussé attira son attention. Elle déscendit de son lit, et alluma la lumière. Elle ajusta sa robe de nuit puis alla dans la cuisine. Elle fût au début tenter de rejoindre sa chambre en courant mais ils l'avaient déjà vu. L'un d'entres eux sifflotta un compliment sur ses courbes et elle sentit sa tête explosée, deux autres mecs étaient assied face à la télé, alors que Tayler fumait. Ils étaient tout quatre d'une beauté et d'une classe captivante. Jennifer devait sans doute être heureuse de se retrouver en compagnie d'ange déchu , faisant baver tout les femmes qu'Ils croisaient.
-Tayler tu avais une si jolie poupée à l'etage et tu ne nous en avais pas parlé.
-Les mecs ce n'est pas une bonne idée. On ne peut pas s'en prendre à elle. Regarde bien elle est bien trop faible pour encaisser ça.
-On dirait bien que Monsieur tombe amoureux. Ainsi, tu nous trahis Tayler.
-Biensur que non les mecs.
-Alors boucle là, nous on t'a jamais rien interdis même lorsque tu t'es pris à ma cousine, Anna.
L'un d'eux s'approcha de Jennifer et la caressa les lèvres, elle se libéra rapidement et se tourna vers Tayler en quete d'explication. Celui ci se contenta de detourner son regard. Jennifer tenta de se libérer pour s'enfuir de cette maison mais sa tête cogna contre le torse de l'un d'eux.Qu'est ce qu'ils voulaient? Tayler agirait bientôt c'est sur. Il ne les laissera pas lui faire du mal se rassurat-elle.
-Tayler tu te sers en premier?
-Non , merci.Je vais fumer une clope.
-Non, Non. Assied toi en face de nous et on va s'en servir à grand coup de rein.
Tayler dû s'asseoir . Ce serait bien la première fois qu'il aura à rester à l'écart d'une fille qu'ils violent. Cette aventure de viol continue s'est debuté lorsqu'ils n'avaient que 16 ans, étant quatres bourgeois , beaux et riches, la tache était facile, l' un d'entres eux devrait seduire une fille et le jour Où il la rammène au lit , les quatres appaisent leur soif. C'etait toujours ainsi. Le matin, ils portaient leur beaux costume et était des figures imposant , digne de respect et Leur nuit de rut ils se devoilaient comme étant des animaux sauvages assoiffés de corps féminin et juvénil. Les grandes universités qu'Ils ont fréquenté n'ont pas sû les depouiller de leur instinct animal et sadique. Les habits couteux qu'Ils portaient ne rendait pas leurs âmes pures. Leur cœur emane des flots de barbaries.
Tayler était assied sur un divan face à la scène où on dénudait Jennifer puis la violait à tour de rôle. Elle ne pleurait pas. Telle une marionnette elle exécutait ce qu'on lui demandait en gardant ses yeux fixés dans ceux de Tayler. Elle l'humiliait, l'injuriait. De Son regard accusateur, elle empoignait le cœur noir de Tayler . Il pleurait donc à sa place. Il ne pleurait pas pour Jennifer mais pour ce qu'il voyait dans le reflet de ses yeux. Jennifer le laissait s'admirer à travers ses yeux. Tel un miroir , elle lui offrait son reflet. Elle eveilla en elle ces démons du passé, il se rappela de Anna. La première fille qu'il a violé, alors qu'il n'avait que 15 asn, Anna avait 10 ans. Il l'aimait beaucoup comme si elle était sa petite sœur. Il ne croyait pas que le fait de la violer la briserait. Un soir , alors qu'ils étaient deux dans sa chambre. Il la dépouilla de toute son innocence. Cette nuit qu'il a chassé à l'aide de grand psycologue, refaisait surface, Il ecoutait à nouveau ses cris de douleurs, de terreurs... Elle suppliait et lui se rassasiait. Il fut etonné de voir la grande quantité de sang qu'elle avait perdu. Son pyjama était taché. Lui qui souhaitait combler Anna. Il l'avait détruit à jamais. Il a dû l'empêcher ensuite de parler à qui que ce soit. Il se chargeait de la harceller pour qu'elle garde le secret. Elle ne ripostait pas mais n'a pas sû non plus tenir le coup car à 12 ans. Elle s'est suicidé sous les yeux de Tayler. Elle avait mis fin à cette vie qui pésait lourd comme un fardeau. Tout comme Anna, Jennifer se contentait de lui transmettre ses douleurs et ses peines . Quand les trois amis de Tayler quitta la pièce. Le corps baignés de sang,Dépourvue de toute innocence et du grain de dignité qui lui restait, Elle s'etait mise debout face à Tayler pour qu'il constate l'ampleur de ses dégats.
-Jennifer Je suis désolée.
-Non, C'est moi qui l'est. J'ai toujours pensé que sous ce tailleur couteux que tu portais. Il y avait un grain d'humanité. Je suis désolée de t'avoir pris pour celui que tu n'étais pas dit elle en sortant de la maison.
Elle avait pour seul habit une chemise de nuit tâchée de sang. Les pieds nus , elle courait vers elle ne sait où. Elle avait mal. Elle se sentait brisée et humiliée. Mais elle ne pleurait pas. Même lorsque l'envie se manifestait encore et encore, elle avait reussi comme elle le voulait à ne pas verser ses larmes pour ces hommes précisément Tayler. Elle venait de comprendre que les pires violeurs ne sont pas ceux qui se présentent comme tel et font ouvertement des avances. Elle avait comprit que les violeurs masqués sous la peau d'agneau blesse beaucoup plus car en plus de depouiller la victime d'innocence et de dignité, Ils ont le pouvoir de fermer à jamais sa bouche et d'acheter les autorités. Ils ont le pouvoir de décider de ce que sera l'avenir de leur victime. Elle avait definitivement compris que l'habit ne faisait pas le moine.
