Chapitre 36-3 (bonus )

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/!\ Chapitre bonus à contenu sexuel explicite /!\

Vous aviez envie d'en savoir plus après ce chapitre préliminaire ? Et bien, voici un petit chapitre bonus, rien que pour vous ^.^ Il est à part du chapitre précédent pour que le jeune public puisse l'éviter sans problème de compréhension :-)  C'est ma première scène de ce genre là, alors soyez indulgent !! ^o^ !! Bonne lecture <3 

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Je l'accueillis avec plaisir, gémissant faiblement sous son assaut. Ses bras puissants m'enlacèrent et je me laissai aspirer par mes sensations. Mes paumes glissèrent sur son dos jusqu'à son boxer, ses petites fesses musclées semblaient avoir été faite spécialement pour mes mains et s'y calèrent à la perfection. Durant une fraction de seconde, j'hésitai... cela faisait si longtemps...

— Je croyais que tu ne voulais pas réfléchir ?

Pour toute réponse ma bouche dériva vers son cou et cet endroit si sensible, juste sous l'oreille. Ce fut à son tour de gémir tandis que ses poils se dressaient sur ses bras et qu'il pivotait pour se retrouver au-dessus de moi. Ses main droite commença à descendre vers le sud frôlant ma peau en une douce caresse frisant la torture. J'étais sur le point de crier grâce, lorsqu'il atteint la dentelle de ma culotte. Il se dégagea avec douceur et après une demande silencieuse et tacite, fit glisser lentement le sous-vêtement sur mes jambes.

— Que tu es belle ! s'exclama-t-il, en faisant remonter ses mains depuis mes chevilles jusqu'à mes hanches.

Je retins mon souffle, excitée mais troublée à la fois. Malgré mon désir, tellement puissant que j'avais la sensation de bruler de l'intérieur, en serais-je capable après tout ce temps ? Remarquant mon émoi, il se laissa de nouveau retomber sur moi, en appuis sur ses avant-bras.

— On arrête quand tu veux, me dit-il en embrassant doucement chacune de mes paupières.

Je soupirai d'aise autant que d'appréhension, pourtant ma main ne trembla pas lorsque je la glissai sous son boxer. Le petit hoquet surpris et étranglé que mon geste lui arracha m'enhardit et je refermai mes doigts autour de son membre gonflé de désir. Son regard s'assombrit aussitôt, avant que sa bouche ne se rive à ma gorge, rompant le contact visuel mais inondant mon corps d'un millier de frissons voluptueux. Lorsque sa main écarta doucement mes cuisse pour se glisser avec lenteur sur mon intimité je gémis de nouveau, me cambrant sous lui. Hésitante quelque secondes plus tôt, à présent je n'étais plus que désir et attente insupportable. Il dû saisir mon impatience, ou en être victime également, car il choisit ce moment pour glisser un doigt en moi. Ne pouvant me contenir, je poussais un petit cri, induit par les ondes de volupté qui parcoururent mon corps.

— Tu...

— Si tu t'arrêtes, je t'assomme ! lui grondai-je en tirant sur son boxer pour l'en libérer.

Nous continuâmes à nous caresser, découvrant avec avidité mais douceur le corps de l'autre, jusqu'à ce que le désir, trop fort, ne nous consume.

— Assez de préliminaires, lui grondai-je doucement à l'oreille en me tortillant sous lui.

Dans un petit rire étranglé, il m'immobilisa les épaules de ses deux mains.

— Il reste une dernière petite étape, m'expliqua-t-il avec un petit sourire en coin, bien que son regard déborde d'impatience et d'anticipation.

Il se déporta légèrement sur la droite, étirant son bras jusqu'au tiroir de la table de nuit, qu'il ouvrit d'un geste sec. Il farfouilla à l'intérieur une demi-seconde, avant d'en ressortir un petit emballage brillant. Un gémissement tout sauf romantique franchit alors mes lèvres. Comment avais-je pu oublier le préservatif ?! Il me fit taire d'un baiser tandis qu'il déchirait l'emballage et enfilait son contenu. Puis, sans plus de tergiversations, il s'enfonça en moi.

Mon souffle s'étrangla dans ma gorge lorsque je le senti me remplir. La très légère douleur initiale céda vite le pas au plaisir lorsqu'il se mit à aller et venir, avec prudence d'abord, puis avec de plus en plus de fougue à mesure qu'il me sentait me détendre et accompagner ses assauts.

L'orgasme me prit totalement par surprise, me dynamitant le cerveau et m'arrachant un cri, avant qu'il ne succombe à son tour, nous liant l'un à l'autre en une étreinte aussi féroce que tendre. 

Elémental - Transfiguration Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant