Nous sommes en l'an 3210.
La technologie envahit désormais le monde entier ! Mais depuis peu, des virus de plus en plus courants et surtout dangereux sont la cause de nombreux suicides, lavages de cerveaux, et autres maladies mentales qui mènent la...
Je me retrouve donc seule à la cafeteria de la base entrain de réfléchir à comment avoir les clés pour aller dans les prisons des virus. Un creepyhunter du nom de Simon avec qui j'ai tissé des liens d'amitié à force de se côtoyer s'assois à coté de moi...
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Il me demande :
- Hey, salut, t'as pas l'air dans ton assiette, ça va ?
Simon est le seul vrai ami que j'ai ici car c'est aussi le seul à me croire en ce qui concerne mes mauvais pressentiments sur les virus. Je me tourne vers lui et une idée me vint alors en tête...Je lui demande d'une voix innocente :
Moi : Dis, par hasard, tu sais où se trouve les clés qui mènent aux prisons des virus ?
Son regard devint alors inquiet. Et zut.
Simon : Ne me dis pas que c'est ce que je pense...
Moi : Je serais prudente, je te le jure ! J'ai juste besoin de parler à Ben Drowned, c'est tout !!!
Simon : Et après tu vas croire sa langue de vipère et gober tout ce qu'il te raconte...
Moi : Je t'en pris Simon !!! Je ferais tout ce que tu veux ! J'ai juste besoins d'explications de sa part, il restera derrière les barreaux e-
Il me coupe :
- Il va te manipuler !!! Il t'as juste semé le doute dans ces dernières paroles pour que tu viennes après le délivrer ! Tu sais comme moi que c'est risqué, et il ne donnera surement pas les réponses à tes questions comme ça, il voudra certainement quelque chose en échange. Crois-moi, ça ne peux que mal tourné cette histoire !
Moi : Mais j-
Il me coupe une nouvelle fois en insistant :
- Tu es en sécurité, ils sont derrière les barreaux et d'après ce que j'ai entendu de mes collègues y travaillant là-bas, les virus se portent bien et n'ont tenté aucune évasion depuis qu'ils y sont prisonniers. Tu n'as pas à t'inquiéter, d'accord. Il n'y a aucune raison pour q-
Je le coupe à mon tour :
- Justement, c'est ça qui m'effraie, qu'ils ne tentent pas de s'enfuir ! Avoue que tu as peur toi aussi, tu sais comme moi qu'ils préparent un mauvais coup et on ne peux qu'éviter cela en fonçant droit dans le tas !
Simon soupire, non convaincu en disant :
- C'est toi qui me fait peur en ce moment...
Moi : T'as qu'à venir toi et d'autres soldats avec moi si ça peut te rassurer !
Il me fixe longuement avant de soupirer une nouvelle fois plus bruyamment en disant :
- De toute façon je te connais maintenant; têtue comme tu es, tu ne lâcheras pas l'affaire avant d'avoir eu ce que tu voulais.
