2) Une couche à 16 ans

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Anna se réveille le lendemain matin à 7 heures 30. Les deux enfants n'aillant pas école car il est samedi, ils se lèvent plus tard vers 8 heures 30. Le premier à descendre dans le salon est Théo. Après les retrouvailles, elle lui demande si sa couche est sale. Affirmatif, le petit garçon va devoir aller se laver.
Quelques minutes plus tard, c'est au tour de Julie de sortir de sa chambre.

- Coucou Julie, bien dormi ? demande Anna.

Et les larmes aux yeux, celle-ci lui répond qu'elle avait fait pipi.

- Bon c'est pas grave, ne t'inquiètes pas je ne vais pas te gronder. Par contre il va falloir que tu ailles te laver.

Mais Julie reste sur place, debout, sans bouger. Elle pleure.

- Aller viens avec moi à la salle de bain.

Anna l'entraîne jusque là, heureusement, Théo n'est plus là et la voie est libre.

- Tu veux que je t'aide à retirer ta couche ? lui demande Anna.
- O...oui répond tristement Julie.

Elle lui baisse donc son pantalon de pyjama et voit cette chose. Une couche.

- Bien sûr qu'elle en a une, je lui ai mis hier, pense Anna. Mais pourquoi je pense à ça ?

Elle a envie de la toucher, ça l'attire. Simplement, elle ne peut pas !

- Aller, ressaisie toi et fait ce que tu as à faire, se dit-elle.

Elle lui baisse sa couche. Elle est bien mouillée, l'intérieur est tout jaune.

- Tu te laves toute seule ? Je t'attends dans la cuisine pour prendre le petit déjeuner ?

"D'accord" cru entendre Anna.
Elle sort donc de la salle de bain et retourne dans la cuisine où Théo est déjà en train de déjeuner. Il s'est fait un bol de céréales. Une petite dizaine de minutes plus tard, Julie revient. Elle a l'air d'aller beaucoup mieux. Elle se prends elle aussi un bol de céréales puis quand les deux enfants ont fini de manger, Anna leur propose un jeu de société en attendant leurs parents.

Il est 11 heures quand ils reviennent de leur excursion nocturne. Anna leur explique ce qu'ils ont fait, que tout s'est bien passé mais parle aussi des problèmes de couches. Ils lui expliquent que Julie déteste porter ses couches, qu'elle a l'impression d'être un bébé mais aussi le fait qu'elle a peur du regard des autres à ce sujet.

Après avoir été payée et quelques remerciements, elle reprend le bus pour rentrer chez elle. Elle ne peux s'empêcher de penser à cette couche qu'elle a pris. Elle aurait pourtant pu la reposer pendant la douche de Julie mais elle ne l'a pas fait, pourquoi ? Pensive, elle s'arrête de justesse à son arrêt puis se dirige chez elle.

Elle est seule. Ses parents travaillent, elle n'a pas de frères et sœurs. En courant, elle monte dans sa chambre, pose son sac et sort cet objet qu'elle a redécouvert la veille. Une couche. Avec une seule idée en tête, elle se déshabille, elle est nue devant le miroir de sa chambre. Elle a des formes précises, plutôt fines, elle n'est ni grande ni petite. Brune, elle fait de l'effet aux garçons mais les a toujours rejetés. Elle prend cet objet dans ses mains, et comme la veille, c'est plus fort qu'elle. Ses jambes passent une à une, elle remonte la couche et... Elle est magnifique, on dirait un petit bébé qui découvre une nouvelle sensation. Et c'est le cas ! Le bonheur que lui procure cet objet la fait jouir mais Anna refuse l'orgasme.

- Ce n'est pas le moment, se réprimande-t-elle.

Par contre, en pensant au fait qu'elle soit seule, à cette sensation de protection, de pureté, elle décide de rester ainsi, avec une couche. Elle enfile tout de même un pantalon et un T-shirt. Elle est décidée à profiter de se moment autant qu'elle le peu. Après être allé manger, elle s'installe devant la télévision où elle regarde un film d'action.

Au bout d'un certain moment, l'épaisseur entre ses jambes la dérange, non pas que cela soit désagréable, mais elle est bouleversée. Pourquoi une simple couche la fait-elle réagir de cette façon ? Elle commence à se toucher, à se frotter, elle se caresse au travers de son pantalon. Celui-ci la gêne. La jeune fille le baisse et elle a maintenant accès à ce qu'elle voulait, la couche. Mais elle est interrompue par une envie pressante. Anna doit faire pipi. Et c'est dès lors une obligation, elle ne peut pas y remédier, tôt ou tard elle devra aller aux toilettes et couper cours à ses envies. Pourtant, elle ne veut pas. Une solution s'impose : elle n'ira pas aux toilettes.

- Pourquoi arrêter ce moment si j'ai une autre solution que de m'asseoir sur une cuvette, se dit Anna. Je porte une couche, elle est fait pour être utilisée.

Alors sans attendre, elle relâche sa vessie et un jet se fait entendre. Elle ne connais pas cette sensation. Elle fait pipi mais aucune goutte d'urine n'atteint ses jambes. Elle a même du mal à savoir où peut se diriger cette eau, elle ne la sent presque pas s'écouler et ni remplir sa protection. C'est si bon. C'est chaud et toujours doux.
Mais elle revient vite à la réalité des choses : elle a 16 ans, vient de souiller une couche pour petit enfant, ses parents vont rentrer dans la soirée, elle ne peut pas rester ainsi.

Maintenant, une nouvelle sensation apparait, elle se sent honteuse. C'est le même chemin que la veuille, du plaisir à la honte. Maintenant, ce qu'elle veut c'est se doucher. Elle se débarrasse de son sous-vêtements si particulier puis file sous l'eau. L'eau chaude la réconforte un peu. Il va quand même falloir qu'elle trouve un endroit où jeter la couche sans se faire prendre. Pour ça elle a une idée, un sac plastique et la poubelle d'un voisin éloigné. Elle se rhabille, avec une culotte cette fois ci et entreprend de faire disparaître les preuves de son acte.

Un peu plus tard, ses parents sont de retour. Tout va bien, ce qu'elle a fait est derrière elle, personne ne le saura jamais.

Envies de devenir une petite filleWhere stories live. Discover now