___𝕊𝕙𝕚𝕟𝕚𝕔𝕙𝕚𝕣𝕠 𝕩 𝕆𝕔___ ⚠️changement de temps en cours / certains chapitres sont au passé et d'autre au présent ⚠️
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" 𝚂𝚒 𝚓𝚎 𝚍𝚒𝚜𝚙𝚊𝚛𝚊𝚒𝚜, 𝚌𝚑𝚎𝚛𝚌𝚑𝚎 𝚖𝚘𝚒 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕𝚎 𝚌𝚒𝚎𝚕."
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Pdv omniscient, mercredi 12 août 1998, 10h:
— Double paire ! Cria Anali, en posant ses cartes sur la table.
— Oh ? Bien joué ma fille.
— Merci, dit elle a en s'apprêtant à récupérer la mise.
— Mais pas assez pour me battre.
Il déposa les siennes devant lui.
— Quinte flush, rigola t'il devant la mine décomposée de sa fille. On dirait que j'ai encore gagné Anali. A moi la dernière tartine!
— Tu triches ! S'exclama Anali.
— Quel mauvaise fois !
Tout content, il attrapa la dernière tartine posée entre eux. Ils avaient joué au poker pour déterminer qui pourrait la manger.
La sonnette retentit. Madame Suzuki leur dit qu'elle s'en occupait.
— C'est ça, c'est ça, étouffe toi avec ta tartine minable, Papa, avait t'elle dit en mimant des guillemets au dernier mot. Je n'en ai jamais voulu de toute façon.
Son ventre gargouilla et Monsieur Suzuki éclata de rire.
— Dans tous les cas, c'est moi qui vais déguster cette incroyable et croustillante tartine grillée, la nargua t'il en lui exposant devant le nez.
Elle fronça les sourcils. Un rapide sourire malicieux passa sur ses lèvres. Après un énièmes passage de la dite mise, elle s'approcha rapidement et croqua une grosse bouchée. Le père d'Anali arrêta tout mouvement et ses yeux firent des allé retour entre la bouche recouverte de miettes de sa fille et sa nourriture.
— Je te déshérite, fit il naturellement en replaçant son bras près le lui.
Anali éclata de rire. Shinichiro qui venait d'arriver entra dans le salon.
— Non, je souffre de la perte d'un proche, répondit le père d'un air dévasté.
— Ok... Il se passe quoi ? J'arrive au mauvais moment ?
— Non ne t'inquiète pas. Viens assis toi avec nous, rattrapa la jeune étudiante de 17 ans.
Elle proposa a Shinichiro différentes choses qu'il refusa en expliquant qu'il avait déjà bien petit déjeuné. C'était évidemment par politesse puisque qu'il aurait pu engloutir encore quatre fois ce qu'il avait mangé le matin même.
— J'y pense, où es tu scolarisés ? Lui demanda t'elle.