𝒞𝒽𝒶𝓅𝒾𝓉𝓇𝑒 - ²⁵

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Pdv Shinichiro , lundi 7 septembre 1998, 19h:

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Pdv Shinichiro , lundi 7 septembre 1998, 19h:

Le gang s'était rassemblé en quelques heures. J'étais en haut des escaliers, face à eux et bouillonnant de colère.

     Ils étaient tous alignés par divisions et attendaient bruyamment que je prenne la parole. Les rumeurs circulaient rapidement entres eux, les hypothèses aussi.

— Les gars, je sais que je ne vous ai pas laissé beaucoup de temps, mais on va aller se battre contre Bell Tree.

— Quand ? Demanda l'un d'eux.

— Maintenant.

Toutes les réactions furent différentes. Mais globalement, je remarquai que les deux qui revenaient le plus étaient la surprise et la joie.

— Récemment, un cadre de Bell Tree s'en ait pris à un de mes proches dans son lycée. Et ce n'était pas un hasard puisque cette personne était la stratège de Bell Tree.

— « La » ? Demanda Takeomi en haussant les sourcils.

J'hochai la tête.

— Quel bande de batards ! S'exclama un mec.

— On va se les faire ! Poursuivit un second.

— On perd du temps là ! Allons-y tout de suite ! S'agita un autre.

Soudain, le bruit des clochettes retentit. Des dizaines cloches en mouvement. Elles se rapprochaient de nous, le dragon noir près à répliquer.

— Finalement, nous n'aurons pas à faire le déplacement. Nos adversaires sont venus à nous tous seul, j'ajoutai tandis que l'air se glaçait soudainement. Par mes mots, je rendais officiel la situation; la guerre était déclaré.

Je descendis des escaliers en sautant. Les mecs de mon gang se séparèrent en deux groupe pour me laisser passer. Scar était déjà à l'avant. Il me regardait d'un air impassible. Je ne voyais pas leur stratège. Sans doute préféré t'elle observer de loin.

En les voyant, une colère noire monta en moi. Ces batard avaient tous calculé et n'avaient eu aucun remord à impliquer Anali...

Je commençai les hostilités en donnant un coup de point dans la joue de Scar. Mais contrairement à la dernière fois, il l'évita facilement, l'air ennuyé.

     C'est donc encore pire que ce que je pensais ?

Il me mît le même coup mais moi, je reculai
d'un demi pas. Il lança un coup de pied dans mon ventre qui me fit voler durant quelques secondes. J'atterris mal, je sentis ma cheville craquer.

— Putain... Grognai je en tentant de me relever.

Je tenais déjà à peine debout.

𝐸𝑡 𝑒𝑙𝑙𝑒 𝑙'𝑎𝑖𝑚𝑒 𝑒𝑛𝑐𝑜𝑟𝑒 𝑎̀ 𝑙𝑎 𝑓𝑖𝑛...Where stories live. Discover now