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Pour les personnes perdu :
Le personnage Minho s'appelle à présent Milo (en gros il reprend son prénom initial que j'avais changé à la dernière minute pour aucun raison)
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Pdv Anali , samedi 22 août 1998, 15h:
Les garçons m'avaient déposé chez moi, puis étaient directement repartis. En rentrant dans ma maison, je croisai mon père. Il ne me posa aucune question mais embrassa tendrement mon front. Je fermai les yeux pour profiter pleinement de cette marque d'affection.
Je pris les paquets avec moi et montai dans ma chambre. Je les posai sur mon lit puis commençai à trier et ranger mes affaires pour la rentrée. Je mis les nouveaux vêtements au sale pour pouvoir prochainement les mettre.
J'y passait bien 15min puis je pris enfin une douche. Je laissai l'eau fraîche glisser le long de mon corps et épurer ma peau pleine de sueur.
Adieu la transpiration d'août!!
Je me séchai puis enfilai un pyjama que je n'enlèverai probablement pas avant quelques jours.
J'attrapai un de mes livres de médecine préparatoire et le lis allongé sur mon lit et c'est à peine 10min après que je dû interrompre ma lecture; je n'arrivais pas à me concentrer. Dans mon salon, mon père semblait parler avec quelqu'un. J'eu a peine le temps de poser mon livre que quelqu'un toqua à ma porte.
— Oui ?
Shinichiro ouvrit la porte. Il avait le visage rouge et haletait en se tenant à la porte. Ses cheveux étaient complètement en désordre. Quand nos regards se croisèrent, il ne perdit pas de temps, il ferma la porte et vint s'asseoir sur mon lit. Il reprit quelques secondes sa respiration .
— Ça va ? Me dit il finalement.
J'en étais bouche bée. Il était malade et épuisé mais pourtant, il trouvait quand même le moyen de débarquer chez moi sans prévenir pour uniquement me demander si j'allais bien... Ce mec, c'est quelque chose quand même.
— Eh... euh. Oui ça va.
Ses pupilles tremblait. Il ne parvenait plus à regarder droit devant lui. Sa respiration qu'il avait tentait de clamer s'agita de nouveau.
— Tant mieux alors... murmura t'il. Excuse moi, mais, j'ai besoin de me reposer, juste quelques secondes...
Et sans que je n'ai le temps de comprendre ce qu'il se passe, il tomba en arrière. Sa tête dépassait du lit mais cela n'avait pas l'air de le déranger.
