Chapitre 28

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TW-Scène explicite

Leyla

Hein ?

— Non, non, non, dehors. Je veux dormir tranquille. Me relevant.

— Je t'assure que m'avoir à tes côtés te feras passer la meilleure nuit de ta vie. En s'approchant de moi.

— Vas dormir dans ta chambre. En m'approchant de lui.

— Dommage dans ma chambre, il y a l'asticot à Rosa qui dort sur mon lit. En mettant ses mains dans ses poches.

Je me suis mise en face de lui, il me surplombait de sa taille, me forçant à lever la tête pour le regarder. Je mis mes mains sur son torse et je commençai à le pousser vers la sortie. Il ne bougeait même pas d'un poil, ses ricanements résonnaient dans mes oreilles. Je me retournai pour le pousser à l'aide de mon dos, mais rien, il n'avait pas bougé. Ma frustration augmenta lorsque je sentis ses deux mains se mettre sur mes hanches pour me soulever. Mon dos rencontra son épaule, ce qui me fit pousser un cri de douleur. Il avança jusqu'à mon lit et me jeta dessus, j'atterris sur les draps. Je me retournais très vite pour lui faire face, il me regardait, un sourire au milieu du visage. Son regard vacillait sur mon corps, son sourire malicieux étirait son visage. Il approcha d'un pas, ce qui me fît reculer jusqu'au dossier du lit. Il posa son genou sur le matelas et s'approcha de moi.

— Ce soir, j'ai une terrible envie. Une envie inexplicable, et tu sais ce que je fais quand je ne comprends pas quelque chose Leyla ? En s'approchant de moi.

Mon regard était planté dans le sien, je le regardais s'approcher de moi, tel un prédateur prêt à sauter sur sa proie. À sa question, je hochais négativement de la tête. Mon regard toujours autant planté sur lui, je m'enfonçai dans le lit en espérant pouvoir lui échapper. Mais ses mains saisirent violemment mes chevilles et me firent glisser jusqu'à lui. Mon dos avait de nouveau rencontrer le matelas froid. Des mèches recouvraient mon visage m'empêchant de voir mon assaillant. Il s'était penché, faisant rencontrer nos bassins. Notre proximité était telle que je pouvais sentir son intimité contre la mienne. Une boule s'était formée au niveau de mon ventre lorsqu'il lâcha mes chevilles pour attraper mes poignets et les placers au-dessus de ma tête à l'aide de sa main droite.

Je fermai instantanément mes yeux en commençant peu à peu à sentir mes anciens démons refaire surface.

Son souffle près de mon oreille me fit frémir.

— Ouvre les yeux mi diamante. Chuchote-t-il près de mon oreille.

Sa main gauche avait commencé à caresser ma cuisse. J'ouvris les yeux en sentant des baisers sur ma mâchoire. Il mouillait cette zone à l'aide de ses lèvres chaudes. De temps en temps, sa langue traçait des lignes sur ma mâchoire. Son bassin se collait de plus en plus contre le mien, ce qui avait pour effet de déclencher une étrange sensation qui faisait vibrer mon intimité me faisant soupirer involontairement. Il s'était de nouveau approché de mon oreille et avait insufflé ses mots qui avaient pour effet de faire vibrer tout mon être.

— Je vois que t'aime ce qui est en train de se passer. Je serai un vilain menteur si je disais que ça ne me plaît pas non plus.

Sur un élan de folie, je tournai ma tête en face de la sienne pour lui faire face.

— Pervers.

— Et j'aime ça. Répondit-il.

Il s'attaqua à mon cou qui était à sa portée. Cette fois-ci, il mordait ma peau, et la suçait à l'aide de sa bouche. Il frottait son bassin contre le mien, ce qui faisait vibrer de plus en plus mon intimité.

LOS ESPOSOSOù les histoires vivent. Découvrez maintenant