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• AMAYA •

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XXII. GAVIRA ? TORRES ?

Je regarde Ava puis Federico, c'est pour me tuer ? Ils veulent pas mort où c'est comment ?

- Amaya ? Ow, ça fait tellement longtemps...

- Pas assez, répondis-je froidement, Bien, tu pourras sortir demain matin Ava, il faut que tu te reposes absolument

- D'accord, merci beaucoup Amaya

J'allais sortir de la chambre mais Federico m'arrête en me demandant de rester comme quoi apparemment il voudrait me dire quelque chose.

- Je suis désolé..., commença-t-il, je le regarde mais ne dis rien, Plutôt, on est désolé du mal qu'on a pu vous faire

- Je n'ai jamais compris ce que vous aviez contre notre couple, on ne vous avait jamais rien fais

- J'étais encore amoureuse de Pablo à ce moment-là, je ne voyais que par lui et de savoir qu'il était avec toi ça m'avait rendu jalouse, extrêmement jalouse...Regarde-toi, tu es parfaite, tu es belle, gentille, douce, tout le monde t'aime...

- Pareil pour moi, j'étais jaloux, je t'aimais à ce moment-là, mais maintenant c'est du passé. Depuis 1ans nous sommes ensemble et je peux t'assurer qu'on est plus qu'heureux!

- Oh...Et bien félicitations...

Me voilà confuse, je ne sais plus quoi penser, et s'ils disaient vrai ? Si tout ce qu'ils venaient de me dire était vrai ? Et qu'ils étaient passés à autre chose, et puis, ça se voit, ils sont ensemble maintenant.

- Je dois y aller, j'ai d'autres patient à aller voir, le repos avant tout Ava!

- J'ai compris, le repos avant!, rigola cette dernière.

Quand je sors de la chambre j'ai l'impression d'enfin respirer, je n'arrive pas à y croire, ils viennent de s'excuser en face de moi. Première fois qu'on me fait ça, même Diogo n'a jamais été capable de le faire.

[...]

- Holà querida!, dit mon copain en me voyant arriver dans la cuisine.

J'arrive vers lui et le prends directement dans mes bras, je ne savais pas que sa allait être aussi mouvementé, mais que dire ? C'est l'hôpital, mon job de rêve alors non je ne râle pas, et puis j'aime cette adrénaline, j'aime quand sa bouge je sais pertinemment que je ne pourrais pas passer ma journée assise dans un bureau, ma phobie! Mais là, je suis épuisée

un nouveau départ | P.G Où les histoires vivent. Découvrez maintenant