salam aleykoum wa rathmatullah wa barakatouh.
après la scène qu'il s'était passé le soir de l'anniversaire de Suliman, j'ai été à l'hôpital pour mon nez bien sûr. tout va mieux mdr il est redevenu droit, c'était pas vraiment cassé. on était au quartier à ce moment là. j'attendais des colis, donc je descend voir dans ma boîte aux lettres bien sûr.
devant mon bâtiment je vois le camion des livreurs donc je sors le rejoindre parce que dans mon hall c'est horrible y avait trop de garçons qui squatte.
je vais à l'arrière du camion parce que là personne était là bas. c'est pas je vois Bekir entrain de chercher des colis.
moi:Bekir ?
il se retourne en sursaut. et il souffle d'un coup ze3ma rassuré de me voir moi.
moi:tu fais quoi là ?
Bekir:ben je taffe.
je rigole un petit coup mdrrrr
moi:nan mais sah.
Bekir:ben wAllah que je travail la.
je lève un sourcil. il m'explique tout du coup. il avait tout fais en soum soum mdrr. bref sah j'étais contente qu'il se bouge enfin à travailler. il me donne mon colis puis moi je remonte.
quand je suis dans mon salon entrain d'ouvrir mon colis je me rend compte mdrrr qu'il était livreur. genre c'est un métier bien mais vue que c'est quelqu'un que je connais je sais pas ça me faisait grave rire. mais surtout Bekir enfaite!
j'étais entrain de cogiter et je me décide d'appeler Alban, parce que ça faisait longtemps quand même que je n'avais pas eu de ses nouvelles.
Alban:allô ?
moi:salam aleykoum ça va ?
Alban:tranquille et toi ?
moi:hamdullah. viens chez moi, ça fait longtemps qu'on s'est pas parlé.
Alban:je suis pas loin là en plus.
moi:dis moi quand tu commences à arriver dans mon quartier...
je luis explique où elle doit m'attendre comme ça je l'amène directement à ma tour.
10 minutes après je la rejoins. on monte chez moi tout ça et on se cale dans la cuisine. on parlait de tout, elle me racontait ce qu'il lui arrivait dernièrement et moi pareil.
moi:mais pourquoi ça fait longtemps qu'on s'est pas vue comme ça ?
je sentais que quand je lui ai dis ça, ça lui faisait bizarre. je sais pas expliquer mais ze3ma c'était plus la même ambiance de conversation.
Alban:...
moi:qu'es-tu as ?
Alban:c'est super compliqué avec mes parents en ce moment.
moi:comment ça ?
Alban:j'avais laissé mon téléphone déverrouillé, et ils ont un peu regardé. ils ont vus mes applications sur l'islam, ma galerie photo etc.
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Chronique d'Inaya: « koulchi bel mektoub »
Non-Fiction« on avait tout pour être heureux ensemble mais on était malheureux chacun de notre côté. »
