chapitre87

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salam aleykoum wa rathmatullah wa barakatouh.

je m'étais inscrite pour faire des études d'infirmière et ils m'avaient acceptés. je finissais seulement mon mois de travail puis j'allais y aller

j'avais hyper hâte vraiment. a ce moment là dans 3 jours Achraaf allait se faire opéré des ligaments croisés. franchement il avait pas l'air stressé mais bon il cache très bien ses émotions.

j'étais chez moi, Achraaf jusqu'à son opération il habitait dans mon appartement. du coup y avait toujours Bekir tout ça pour rester avec lui dans le salon. lui et moi on ne se calculait pas du tout. juste il me disait salam et encore.

moi je faisais mes occupations. j'avais bloqué le numéro de Hassan parce que je n'avais pas envie de lui parler et vue que je ne le voyais plus dans le métro c'était la bonne occasion pour ne pas avoir à l'affronter.

j'allais au travail tranquille. ce jour là c'était l'opération de Achraaf. Bekir l'avait accompagné. moi vue que je rentrais un peu tard j'irais le voir le lendemain. il devait rester 3 jours à l'hôpital.

j'ai toujours soutenue Achraaf dans chacune de ses épreuves, donc même si il ne voulait pas me voir pour ma conscience j'étais obligée d'y aller.

hassoul j'étais au travail, je faisais que de penser à si ça se passait bien pour lui fin vraiment j'étais en stress plus que lui je pense mdr.
je n'étais pas trop concentré, mes collègues l'ont vus et m'ont demandés ce que j'avais.

en vrai c'est gentil mais y'a des sujets on a pas envie d'en parler mdr. donc je leur dis simplement que je suis fatiguée. ils n'ont pas cherchés à en savoir plus donc chacun est retourné à son travail sans plus calculer.

le soir je faisais les fermetures avec certaines collègues. on sort on parlait de la journée, y'a une personne qui sort d'une voiture qui était garée juste devant notre lieu de travail.

sah personne calcule parce que c'est banale mais d'un coup on tourne toute le regard parce que ça dit: « Inaya ».
je n'avais pas eu le temps de reconnaître la voix mais moi dans ma tête je me dis « mais qu'est ce qu'il fait là Achraaf ? ».

et en me retournant je voix Hassan. les filles me disent: « bonne soirée et à demain ». elles s'éloignent et j'attend que Hassan vienne à mon niveau. j'étais figé comme un poteau, j'étais trop choquée de le voir la en voiture en plus.

Hassan:salam aleykoum ça va ?

moi:aleykoum salam, qu'est ce que tu fais là ?

Hassan:tu me bloques donc je voulais en savoir les raisons.

moi:bah j'avais pas forcément envie de te parler donc je t'ai bloquée c'est tout.

Hassan:vas-y excuse moi la dernière fois en parlant de ta maladie j'ai été maladroit mais ça m'a juste surpris t'inquiète pas.

mdrrr j'étais choquée, c'est quelle manière de se rassurer ça ?

moi:je ne m'inquiète pas, et ça n'a rien à voir.

Hassan:vas-y viens on bouge d'ici.

moi:pour aller où même ?

Chronique d'Inaya: « koulchi bel mektoub »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant