Chapitre #15

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Il se réveilla en sursaut car quelqu'un venait de crier son prénom. Il tourna la tête et regarda Véronica. Elle était en sueur, ses cheveux était collés à sa peau et son visage était crispé. Elle se redressa d'un coup et il la regarda. Elle tourna la tête vers lui les yeux remplient de larmes. Elle se jeta alors à son cou et se mit à pleurer.

-Véronica qu'est-ce qu'il ne va pas? demanda-t-il en la serrant dans ses bras.

-Je... j'ai fais un... mauvais... rêve, dit-elle entre quelques sanglots.

-Chut c'est ça va maintenant, c'est finit, lui dit-il pour la rassurer.

Elle se calma un peu, La chaleur des bras de Braham la réconfortait mais aussi, ils faisaient naître en elle des nouvelles sensations comme le désir, la passion, l'amour mais surtout le désir...

Braham ressentait la même chose, il avait du mal à se contenir, à métriser son désir. Il voulait temps faire d'elle sa femme, il voulait rester au près d'elle, qu'elle soit sienne. Elle était magnifique, il adorait toucher ses cheveux et sa peau ressemblait à de la soie blanche au touché, il adorait sa bouche, il pouvait l'embrasser toute la journée et son corps... ses courbes étaient parfaites, bien proportionnées, il aurait voulut la caresser, toucher sa peau blanche et l'embrasser."Braham ressaisit toi!" se dit-il, son désir commençait à pointer son nez et il voulait en aucun la mettre mal à l'aise. Il se concentra pour le faire passé pendant que Véronica se calmait.

Quelques minutes plus tard, elle avait finit de pleurer alors il lui demanda de quoi elle avait rêvée.

- De quoi as-tu rêvée? lui demanda-t-il.

- De ma mère biologique... répondit-elle.

- Que se passait? demanda-t-il.

- Cela faisait deux semaines que j'étais rentrée et Annita m'avait déjà promise à quelqu'un. Elle voulait se débarrasser de moi. Alors elle m'avait vendue pour de l'argent. Je me suis rebellée et elle m'a enfermée dans ma chambre jusqu'au jour du mariage. Alors je t'ai appelée, du moins j'ai essayée de t'appeler et je me suis réveillée? répondit-elle.

Il la prit dans ses bras et l'embrassa.

-Ne t'en fais pas mon Amour, cela n'arrivera pas tu peux en être certaine. Lui dit-il.

Elle sourit et se blottit un peu plus contre lui.

-J'espère que tu dis vrai... murmura-t-elle.

Il la tenait fort dans ses bras par peur qu'elle disparaisse. Ils se regardaient depuis plusieurs minutes. Ils ne disaient rien mais se souriaient. Après s'être regardés pendants un long moment il l'embrassa. Leur baisé se fit doux puis plus passionné. Ils s'aimaient et personne ne pourra les séparer.

La porte s'ouvrit alors, ce qui interrompit leur baisé, ils tournèrent la tête et virent François.

-Oh, je vous dérange à se que je vois, dit-il en se retenant se rire.

- Non, pas du tout, dit Braham ironiquement.

- Désolé vieux mais je viens voir ta jambe. dit-il en s'avançant.

-Je l'avais oublié celle-là. dit-il en lui jetant un coup d'œil.

Il s'assit sur le lit et entreprit de lui enlever le bandage. Il nettoya la plaie et l'inspecta.

- Tu as eu de la chance Braham, tu aurait pu perdre ta jambe, lui dit-il.

- J'en ai conscience. répondit-il.

-Bon la plaie est propre et n'est pas infectée mais nous arriverons à terre il faudra que tu te face soigner par un vrai médecin, dit-il à son ami.

-Oui tu as raison, je n'ai pas envie de perdre ma jambe et être invalide, qui sait si je n'aurait pas quelques séquelles. répondit-il.

-Bon je fais ton bandage et je vous laisse nous arrivons dans quelques heures et faut tout préparer, l'informa-t-il vu qu'il ne pouvait sortir de la chambre pour savoir ce qu'il se passe.

Il finit de faire le bandage, Braham le remercie et sort.

Le stresse commençais à s'emparer de Véronica, dans quelques heures elle rencontrerait ses vrais parents. Elle commençais à trembler, elle est terrifiée. Dans quel monde allait-elle tomber. Comment sont les gens de la haute société? Elle se rendait comte qu'elle n'était pas faite pour se monde, non en faite elle ne voulait pas en faire partit. Elle n'était pas comme eux et elle ne voulait pas l'être. Ce qu'elle voulait c'était vivre avec Braham sans que personne ne vienne troubler son bonheur.

- Je veux passer le reste de mes jours avec toi, lui dit-elle.

- Je le souhaite également, répondit-il.

- Mais si Annita décide de marier avec quelqu'un d'autre, dit-elle en le regardant.

- Cela ne risque pas et si cela arrive nous nous enfuirons, lui dit-il le regard plein de malice.

- Promet-le moi. demanda-telle.

- Que ma vie s'arrête maintenant si je mens, lui dit-il sincèrement.

- Je t'aime Braham.

-Je t'aime mon Amour. 


L'Esclave et le Pirate sur l'azurWhere stories live. Discover now