L'Esclave et le Pirate sur l'azur

Chapitre #21

Désolé pour le retard mais j'ai enfin réussis à écrire le chapitre 21, j'espère qu'il vous plaira. 

En tout cas je voulais vous remerciez. 25k c'est juste énorme! Je ne pensais pas que mon roman serait autant lu et c'est grâce à vous. 

Je vous fais des bisous et si vous voulez savoir quelques petites choses sur moi n'hésitez pas à poser des questions.

XX Anna <3

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Et voilà. Le jour du bal était enfin arrivé. Véronica était assise devant sa coiffeuse en attendant que les servantes s'occupent d'elle. Cette "cérémonie" l'ennuyait déjà et les servantes s'agitant dans tout les sens lui donnait le tournis. Elle se demandait vraiment à quoi servait ce genre festivité. Elle avait demandé à une des servantes, Giuseppina avec qui elle avait créée de bons rapports, si elle était obligé dit assisté. Cette dernière lui avait répondu : "Mais bien sur voyons! Vous êtes l'invité d'honneur, vous devez vous y présenter Véronica!", elle avait planté ses poings dans ses hanches, tel le ferait une mère en train de réprimander son enfant après une bêtise. Véronica c'était contenté de faire la moue et ce laissa coiffer.

Sa mère lui avait déniché une robe doré, magnifique. Mais elle la trouvait tout de même trop belle pour la porter que quelques heures.

Une fois maquillée, coiffée et habillée elle se contempla dans le miroir. Elle était méconnaissable. Son visage avait reprit des couleurs et ses joues n'étaient plus creuses. Sa robe m'était en valeur sa poitrine développée et marquait sa taille. Dans cette accoutrement elle ressemblait vraiment à sa mère, son portrait craché. Une beauté.

Sa mère était entré sans qu'elle s'en rende compte. Elle se tourna pour se trouver face à elle.

- Alors ? Suis-je jolie ? demanda-t-elle à sa mère.

- Jolie n'est pas le terme approprié, tu es sublime! dit-elle en lui prenant les mains.

- Je vous ressemble tellement. Comment pendant toutes ses années j'ai pu penser que j'étais réellement leur fille. C'est vrai après tout ils avaient les cheveux brun, la peau matte et je suis totalement l'opposé. Je suis vraiment désolé. Dit-elle en regardant sa mère en luttant pour ne pas verser de larmes.

Sa mère s'avança vers elle et la prit dans ses bras.

- Ce qui est arrivé était uniquement notre faute. Nous n'avons pas su te protéger. Mais ne parlons pas de ça aujourd'hui, c'est un jour de fête aucune larme ne doit être versée.

Elle respira un bon coup et sourit.

- Vous avez raison.

- Bien sur que j'ai raison! elles rirent. Braham va venir te chercher dans 5 minutes, c'est avec lui que tu va faire ton entrée.

-D'accord.

Elle embrassa sa joue puis sortit de la chambre.

Alors elle entrerait au bras de Braham, pourquoi ce n'était pas son père? Excellente question. Braham. Elle ne l'avait pas vu de la journée et il lui manquait atrocement. Son sauveur, son pirate, son amour. Elle avait hâte de voir comment il était habillé. D'ailleurs elle n'allait pas tardé à le savoir. On venait de frappé à la porte.

En entrant il avait un regard son sombre. Elle se demanda de suite qu'elle en était la raison. Elle se rappela quand passant à côté d'une servante, elle avait entendu celle-ci dire que le Duc et le Vicomte De Verley (Braham) était dans une grand dispute. Elle tâcherait de lui demander plus tard. Puis il leva les yeux sur elle et son regard s'illumina. Il restait fixé sur elle ne sachant quoi dire.

-Quelque chose ne va pas? demanda-t-elle.

-OH... non! Tu es juste... magnifique.

-Merci. Tu n'es pas mal non plus.

Sa veste de costume faisait ressortir ses épaules et à travers sa chemise, nous pouvions voir ses abdominaux magnifiquement dessinés. Quand à son pantalon il compressait ses cuisses, moulait ses fesses et ... Elle s'arrêta la. Elle l'avait regardé que quelques minutes et elle avait trouvé le moyen de le déshabiller intérieurement et de se mordes les lèvres. Cet homme était vraiment à tomber. Elle l'aimait plus que tout.

Il lui sourit et s'avança vers elle. Il prit sa main et en embrassa le haut. Puis il se pencha au dessus d'elle et s'empara de ses lèvres. Leur baiser fut doux mais à la fois intense. Mais pour Véronica il ressemblait à un baiser d'adieu. Qu'avait bien pu raconté son père. Elle s'inquiétait, elle savait que cette soirée n'allait pas se passer comme prévu....

Braham était sortit du bureau de son oncle furieux. Son beau visage marqué par la haine et la colère. Leur conversation tournait en boucle dans sa tête.

#Flash-back#

"-Que dites-vous? avait-il demandé.

-Annita et moi avons trouvé un bon partit pour Véronica. Nous allons la marier au Baron de Winchester.

-Pourquoi avez-vous fait cela?! Vous savez ou du moins vous savez ce que j'éprouve pour elle! Comment avez-vous pu la fiancée à un autre homme! La colère avait commencée à monter en lui.

-Tu sais que tu compte pour nous mais nous devons élargir nos relations et créer des alliances.

Il n'en revenait pas. Ils se servaient d'elle.

-Vous vous servez de votre fille à des fins personnels?! Vous êtes immondes! Soyez sur qu'elle ne l'épousera pas! Je m'en assurerais moi même et par ailleurs elle ne voudra pas. avait-il dit.

-Cher neveux je crois que ce n'est pas à toi d'en décider. Si bien que si tu t'interpose je t'enverrais à l'autre bout du pays. Alors cette soirée est la dernière que tu pourras passer avec elle, profites-en. A partir de demain elle sera promise à un autre. avait-il répondu.

Il avait du mal à se contenir mais il décida de jouer le jeu. Pendant cette fête il trouverait comment s'échapper de cette fourberie.

-Soit. Si tel est votre souhait.

Puis il était sortit sans un regard pour son oncle."

#Fin du Flash-back#

Après cette conversation il était partit aux écuries et avait passé sa rage en combattant avec un de ses soldats. Il avait ensuite pris un bain et c'était habillé avant d'aller retrouver celle qu'il aimait. Elle était à lui, elle était sienne et cela le resterait.

En entrant dans la chambre, il l'avait trouvé habillé d'une robe dorée. Il en oublia alors tout les problèmes qui c'étaient créées il y de cela dix minutes. Elle était magnifique, elle brillait à la lumière des bougies telle une étoile un soir d'été. Son regard fut attiré directement par le décolleté plongeant qui découvrait sa poitrine. La blancheur de sa peau contrastait avec l'or brodé de sa robe. Il serait resté la à la détaillée pendant des heures mais elle le ramena à la réalité.

-Quelque chose ne va pas? demanda-t-elle.

-OH... non! Tu es juste... magnifique.

-Merci. Tu n'es pas mal non plus

-Merci, je suis au courant, dit-il en se contemplant dans le miroir.

Elle explosa de rire.

-Tu n'est pas trop serré dans des chaussures?

-Non, ça va, je suis même très à l'aise. souria-t-il.

-Je vois ça.

Il s'approcha d'elle et l'embrassa de nouveau. Il souriait mais au fond de lui une guerre faisait rage. Pour ses quelques heures il ferait bonne figure mais après ça, il partirait avec Véronica.