Chapitre #23

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Voilà le chapitre que vous attendez depuis longtemps. Je sais j'ai mis du temps mais je n'ai pas trop le temps en ce moment. J'espère que vous comprendrez et que ce chapitre va vous plaire. 

Xoxo Anna ;)


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Il faisait tout son possible pour garder un allure constante pour pouvoir la suivre mais la pluie tombait de plus en plus fort et il ne voyait plus qu'une silhouette flouté qui, bientôt n'était plus qu'un vague point noir. Il savait qu'il allait la perdre de vu. Mais il continua tout de même ses recherches pendant deux heures sens grand succès. Il était à présent trempé et ce maudissait de l'intérieur. Cette soirée ne devait pas se passer comme ça. Normalement, à ce moment précis ils devraient être en train de chevauchés pour atteindre le nord de l'Angleterre. Mais il y avait fallut qu'Anne-Sophie soit là et change tout ses plans. C'est vrai après tout, si elle ne l'avait pas embrassé rien de tout ça ne serait arrivé et il serait avec celle qu'il aime. Et à présent Dieu seul sais où elle se trouve.

Il fit alors demi-tour puis reprit la route. Il pleuvait toujours, il devait se dépêché de rentrer s'il ne voulait pas être malade. Demain il repartirait à sa recherche et ne rentrerait qu'une fois l'avoir trouvé. Il comptait bien lui dire la vérité sur ce qu'il c'est passé ce soir. Il voulait faire sa vie avec elle et personne ne pourrait l'en empêcher même pas son père. Il affectionnait son oncle et sa tante mais rien n'était comparable à l'amour qu'il avait pour Véronica.

Une fois arrivé il se dirigea vers la grande salle qui était encore bondée de monde. Tout le monde le regardait traverser la salle, il avait le visage remplit de colère pendant qu'il se dirigeait vers son oncle. Il avait une seule envie : lui mettre son poing dans le figure. C'était à cause de lui tout ça. Il l'avait promise à quelqu'un d'autre alors qu'il savait parfaitement ce qu'ils ressentaient l'un pour l'autre. Oh! il ne faut pas oublier, il avait aussi invité Anne-Sophie. Braham savait pertinemment qu'il l'avait invité pour le voir souffrir encore plus.

⦁ Êtes-vous satisfait de ce que vous venez de faire ?!

⦁ C'est le devoir d'un père de lui trouver un bon parti. Répondit son oncle.

⦁ Vous osez encore vous qualifier de père ? Savez-vous seulement ce que veut dire ce mot ?! Où étiez-vous quand elle servait de bonniche ? Où étiez-vous quand elle servait d'esclave ? Ou encore où étiez-vous quand un barbare a faillit la dépuceler ?! Et bien je vais vous le dire. Vous étiez ici, à vous prélasser dans cette immense demeure (il avait ouvert les bras à ce moment là) pendant que votre fil... à non pardon pendant que Véronica n'était pas mieux traité que de la vermine. Alors vous savez quoi, ne vous fatiguez pas à la retrouver, je vais m'en charger et quand je l'aurais retrouver je partirais avec elle le plus loin possible d'ici. J'avais énormément d'estime envers vous et de la reconnaissance mais à présent vous m'inspiré que dégoût. François, Jack, Germain... préparés les chevaux, nous partons dans quelques minutes.

Sur ceux il regarda les invités puis son oncle et partis sans ce retourner.

Braham avait eu du mal à se contenir mais il y était parvenu, Dieu savait comment. Pendant que ses hommes allaient sceller les chevaux, il monta prendre ses affaires et celles de Véronica et ils partirent en direction de son domaine pour essayer de se reposer avant la longue journée qui les attendait. Mais il savait dors et déjà qu'il ne dormirait qu'un heure ou deux car il ne cesserait de penser à Véronica. Il espérait de tout cœur qu'il ne lui était rien arrivé, il se le pardonnerait jamais si c'était le cas.

Ils mirent plus d'une heure et demie pour aller au magnifique manoir des De Verley. Braham en avait hérité à la mort de ses parents plus leurs richesses. Le manoir n'était ni grand ni petit. Il était de taille convenable, du moins assez pour une famille de huit personnes. La façade était complètement faite de pierre de plus marron différents. Il y a aussi d'innombrable fenêtres et une porte trône en plein milieu. Le toit, quand à lui est fait de tuiles noires avec plusieurs cheminées touchant le ciel nuageux. Devant le manoir, ce trouve un grand bassin d'eau avec une fontaine et un parterre d'herbe avec différents arbustes bien entretenus. Bien que d'habitude le manoir rayonne de vie ce qui le fait ce sentir bien, ce soir il ne voit que le contour de celui-ci et est dépourvu d'activité. Tout était sombre et morose, comme la soirée qu'il avait passé, comme son état d'esprit, comme son âme. Il était tellement rempli de haine qu'à l'intérieur de lui une tempête faisait rage.

L'Esclave et le Pirate sur l'azurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant