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En média : la fameuse frange de Nina et son sweat-shirt qui ne la quitte jamais !

♥ Hello mes chocolats ! ♥

Oui je sais, vous ne l'attendiez même plus ce chapitre mais il est là !!! Et moi aussi ! I'm back !

Alors alors... vu le temps que j'ai mis à poster vous devez vous douter que j'ai eu beaucoup de choses à gérer ces derniers temps. Et pour commencer ce poste , une super nouvelle : j'ai validé mon semestre ! J'ai terrassé mes partiels avec un joli 15.5 de moyenne ( ouais je me vante et ? ^^ hahaha). En plus, le peu de vacances que j'ai eu m'ont servie à chercher un logement. J'ai finalement trouvé un joli petit studio douillet et j'ai hâte d'emménager !

Voilà, alors encore désolée pour le retard mais ça a été un mal nécessaire on va dire. Je posterai fréquemment dès maintenant. Plus d'excuses : mes prochains partiels sont en Mai haha

Je tiens également à remercier tous ceux qui ont pris de mes nouvelles, qui m'ont lue, suivie et attendue ! Vous me vendez du rêve, vous ne savez pas à quel point ! :*

Je vous  laisse avec Alix qui va essayer de convaincre Nina de prendre l'avion avec les Moody...Voyons comment ça se passe.

J'ai hâte de lire vos commentaires mes chéris !

— Apolite


*

Alix n'eût pas du mal à trouver Nina. L'équation était simple. Nina n'était pas assez riche pour prendre un taxi, mais pas pauvre pour ne pas se payer un ticket de métro. Alix la rattrapa avant qu'elle ne s'enfourne dans la bouche de métro.

— Ah, tu t'en vas toi aussi, tant mieux.

— Non c'est pas ce que tu crois.

Alix arrêta Nina en lui tirant légèrement sur la manche, elle fit volte face mais resta les yeux rivés sur le sol. Il y a avait trop de hargne et d'envie de meurtre dans son regard. Sa mâchoire s'était durcie tandis qu'Alix prenait une grande respiration pour lui souffler :

— Pitié, fais demi-tour. Je sais que ce qu'ils ont fait était mal...

— De quoi tu parles ? tonna-telle en levant les yeux vers elle. C'était pire que mal !

On pouvait lire la rancœur dans ses yeux, même si sa frange trop longue dissimulait en partie la haine de son visage.

— Nina, je t'en supplie... Tu peux pas me faire ça : la France c'est mon rêve ! Je sais qu'il y a quelque chose de formidable qui m'attend là-bas. Je suis censée y aller... C'est un rêve ! Ne me laisse pas tomber.

Nina resta muette. Elle regarda avec intensité Alix qui ne sut quoi faire si ce n'est la regarder dans les yeux à son tour. Sa colère semblait s'être estompée, mais de peu. Alix remarqua soudain que les sourcils de son amie s'étaient froncés, son front se plissa ensuite légèrement. Elle semblait accablée.

— Tu es ma seule chance Nina, supplia son amie. Ils ont promis de s'excuser, et tu sais comme c'est dur de s'excuser pour des gens comme ça.

Sans une réponse Nina commença à marcher d'un pas décidé vers l'aéroport, sa valise marron à la main. Alix la suivit avec difficulté tant elle allait vite.

— Nina, t'es la meilleure, lança Alix entre deux souffles, lui courant toujours après.

— Tais-toi avant que je change d'avis.

Elles n'eurent pas de mal à retrouver Mrs. Moody. Les cris de cochon égorgé suffisaient à remonter à la source. Lorsqu'elles arrivèrent elles virent que la situation avait empiré. Les couinements de la Moody avaient ameuté tout l'aéroport si bien qu'on avait fait venir les ambulanciers. Mais au lieu de coopérer elle se débattait. Elle envoya un coup en direction d'un ambulancier, mais sa main frappa dans le vide sans que ce dernier n'eût à bouger. Elle donnait des coups de pieds et de poings dans le vide, tentant de les faire fuir comme on essaie de chasser un pigeon.

Les Louboutin sont les meilleures amies de la femme [ EN PAUSE]Where stories live. Discover now