Les Louboutin sont les meilleures amies de la femme [ EN PAUSE]

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Hello les flawless !

Désolée pour cette petite attente. Je viens tout juste de m'installer dans mon studio *le rêve !! * Mais qui dit nouveau dit problème, et les problèmes d'internet  et de télé n'ont pas manqué  d'où le retard.

Bref, j'espère que vous allez bien parce que moi je pète la forme !! Surtout que j'arrive enfin à publier la suite ( écrite avec amour :D).  Allez dites-moi ce que vous en pensez.  Je vous ai mis un passage plus long en plus pour me faire pardonner :*

Des bisous aux 3 chocolats ! *-*

— Apolite

*

Le pilote avait conseillé à tout le monde de rester à sa place. A cette annonce Alix souffla, se disant qu'elle venait d'échapper à huit heures de baby-sitting avec France. Cette dernière n'osait pas venir se plaindre, surtout après le regard furieux que lui avait lancé sa mère dans son excès de folie. Elle continuait à masser les poignées que sa matriarche avait lacérés dans sa saisie. La douleur était passée depuis bien longtemps mais c'était une façon de montrer son mécontentement. Son père détournait le regard, remettant le plaid qui glissait du corps endormi de sa femme. Constance, elle, restait sagement assise, même si de temps à autres un gémissement lui échappait parce qu'elle avait une furieuse envie de décrocher une droite à son aînée. Alix regardait de temps à autres les filles dans l'espoir que Constance se laisse aller à ses pulsions, mais elle n'en fit rien. Nina quant à elle se penchait sur le cas de Hans. Elle le détaillait, à moitié cachée par les sièges de devant.

— Il t'a draguée ouvertement, on est d'accord ?

— Qui ? Quoi ?

— Le blond là, Hans Machin-Chouette, grogna Nina du coin de la bouche tout en se tordant le cou pour regarder Hans se moucher.

— Hohenmann.

— A tes souhaits !

— Non, son nom c'est... Hohenmann. Un allemand...

— Vous vous étiez déjà rencontrés ? demanda-t-elle en se tournant vers son amie, les yeux grands comme des soucoupes.

— Plus ou moins, dit Alix, se remémorant le sourire en coin qu'il avait alors eu au volant de sa Ferrari.

— En tout cas il est à fond sur toi...

— Tu penses ? feignit Alix qui se sentit encore rougir. En parlant de drague, comment va Savannah ?

— C'est qui elle ?

— La copine de Ryan... Tu sais, la bombasse !

—Sympa le changement de sujet...

Nina se mordit violemment la lèvre inférieure et leva les yeux au ciel. Elle sembla se ressaisir soudainement, tentant de ne laisser paraître aucune émotion sur son visage.

— Ryan va encore se casser les dents c'est sûr, mugit-elle en enfonçant ses poings serrés dans ses poches.

— Vous ne vous êtes pas reparlés depuis, c'est ça ? Je comptais sur toi pour avoir des nouvelles.

— Laisse tomber Lilix... Vue la façon dont les choses se sont passées la dernière fois... J'ai tenté de m'excuser... Moi ! Nina ! M'excuser, répéta-t-elle en se tournant vers son amie.

Alix hochait frénétiquement la tête sous son regard de bulldog, se disant que c'était ce qu'elle attendait d'elle.

— Et il m'a envoyé bouler, donc...