Assassination Classroom - KarmaxOC [Tome 1]

Chapitre 13:

C'est de bonne humeur qu'Anko s'était levée ce matin-là. Le temps s'était beaucoup refroidit et les vacances d'hiver approchait à grand pas.

Elle avait enfilé son uniforme, coiffé ses courts cheveux argentés, brossé ses dents et nettoyé son visage pour ensuite descendre manger son petit déjeuné. 

Arrivé en bas, bol de céréale en main, elle remarqua avec étonnement que son amie était déjà installé et mangeait déjà. Elles se saluèrent et tout en parlant mangèrent leur petit déjeuné.

 C'est un peu en avance que la collégienne partit pour l'école, accompagné de sa correspondante qui la suivi un petit moment avant de partir pour sa découverte du jour.

Pendant le trajet le téléphone de l'argentée avait commencé à parler. L'héroïne pris son téléphone et tout en souriant gaiement elle entama la discussion avec Ritsu.

Même-ci se n'était que depuis une ou deux semaines, Anko s'était habitué aux discussions avec Ritsu... En fait non, elle s'était habitué à discuter avec toute la classe. Elle parlait de tout avec tout le monde. Elle avait même passé un yuri à Taiga Okajima, un passionné de magasine érotique. La Anko du début avait disparu pour laisser place à une Anko pleine de joie, sa chambre étant la principal témoin: les murs avaient été redécoré de posters, la pile de manga relut était réaparut et le radiateur avait été rallumé.

Tout allait mieux, pour le plus grand plaisir de l'italienne, qui restait tout de même inquiète.

Les cours, comme tous les jours, étaient passé à une vitesse folle.

En sortant du vieux bâtiment, on pouvait remarquer des trombes d'eau transformer le chemin jusqu'au bâtiment principal, en un chemin glissant et boueux.

"J'aurais préféré de la neige... songea l'argentée en ouvrant son parapluie pour ne pas se mouiller."

Elle commença à s'avancer sur le chemin glissant quand une voix familière vint l'interpeller:

"Neh, Anko-chi, je peux squatter ton parapluie ?"

Elle se retourna et vit Karma-chi arriver vers pour s'abriter sous son parapluie, mais n'étant pas d'accord avec ça, la petite joueuse se mit à tournoyer en lâchant des: "Nope, nope !", avant de s'emmêler les pieds et de tomber à terre.

"C'est le karma ! s'esclaffa le carmin"

Anko éclata de rire en se relevant et d'offrir une partie de son parapluie à son ami, tout en confirmant ses dires.

Le retour continua en silence jusqu'au moment où Karma, ayant marre de ce silence, le brisa en souriant sadiquement, comme à son habitude:

" Tu sais, tout le monde regarde ton fessier.

- C'est parce qu'il est magnifiquement bien fait ! répliqua l'argentée en souriant avec malice, sachant très bien pourquoi ils le regardaient tous.

- Peut-être, mais je dirais qu'il regarde "ton magnifique fessier" salit par la boue, rétorqua-t-il en tapant gentiment le sujet de la conversation avec son pied.

- Oh ! Mais quel malotru, comment osez-vous ?! s'exclama-t-elle en lui lançant un regard faussement méchant.

- Mille excuses, Lady, pour ma maladresse ! déclara le cramoisi, en rentrant dans son petit jeu.

- Vous êtes excusé ! s'exclama l'argentée en prenant un air de: "Je te suis tellement supérieur !""

Arrivé à une intersection  les deux amis se saluèrent et le rouquin partit de son côté, l'argentée resta sans bouger, entrain de réfléchir, avant d'interpeller son ami déjà trempé jusqu'au os.

" Karma-chi, retourne sous mon parapluie !

- Eh ! ~ Pourquoi ? demanda-t-il en exécutant son ordre.

- Parce que, je n'aimerais pas que tu sois malade demain, alors que tu m'as promis qu'on irait à la salle d'arcane avec Aly-chi ! répondit-elle en souriant.

-Je ne me souviens pas avoir fait ça, rétorqua la carmin.

- Mais si tu l'as fais ! Maintenant suis-moi ! s'exclama l'argentée en prenant le poignet de son ami en otage."

Elle le traina jusqu'à sa maison. Elle posa son parapluie à l'entré, enleva ses chaussures, puis après avoir invité son ami à rentrer, elle partit se changer et prendre des affaires et une serviette pour son hôte.

Elle redescendit et découvrit sans surprise Aly-chi parler avec Karma-chi. Elle passa les affaires et la serviettes à son ami et lui indiqua la salle de bain.

Après quelques minutes, il descendit habillé avec les vêtements du père d'Anko, elle fut soulagé en apprenant que les affaires n'était pas trop large.

La porte d'entré s'ouvrit, le son des gouttes d'eau tombés sur le sol raisonna dans la maison.

"Je suis rentré... déclara une voix roque et fatiguée."

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Oui, je suis vivante ! Non, je n'ai pas de vrais excuses, autre que ma démotivation, qui à disparu il y a deux jours... Mais je m'excuse !!!!!!!!!

En cadeau, un dessin de Livai, avec des défauts, mais j'ai fais de mon mieux ! ^^'

Je vous souhaite une bonne fin/début de journée !

Bye bye ! ^^

Et n'oublier pas cet opening (en média) qui m'a accompagné pendant toute l'écriture et qui me hante désormais.