Hermione à perdu ses parents, Et durant les vacances, elle est avec Harry, son presque-frère, chez le parrain du concerné, Sirius( il n'est pas mort).
Le trio d'or ne compte pas remettre les pieds à Poudlard pour leur dernière année d'étude, Mais un...
PDV Hermione Je stressais. Nous étions en Juillet. L'école était finie depuis 2 semaines. J'avais eu tous mes ASPICS, mais je me demandais encore comment j'avais fait. En effet, entre les crises de larmes, de rire, de fainéantise et de fatigue causées par le bébé, et Drago devenu surprotecteur, je ne savais plus où donner la tête. N'empêche que j'avais eu tout mes ASPICS, avec optimale dans toutes les catégories. J'étais très fière de moi. Ce jour-là n'était pas n'importe lequel. Tout était blanc avec des teintes rouges et vertes. Je m'étais préparé avec l'aide de Ginny et de Pansy ( nous nous étions beaucoup rapprochés l'une de l'autre). Et l'image que me revoyait le miroir me coupa le souffle. J'étais belle. Je portais une robe. Une robe? Une pure merveille plutôt! Le haut sans bretelle était recouvert de paillettes. Le bas s'évasait jusqu'au sol, ce qui donnait un côté gonflé. Un ruban rouge entourait ma taille pour la marquer. Un voile accroché à mes cheveux détachés et lissés retombait à Mes pieds.
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Cette robe appartenait à ma mère, et j'étais fière de la porter pour mon mariage. Mes amies finirent de me maquiller et je mis les derniers accessoires indispensable de ma tenue: la couronne que Drago m'avait offert lors du bal de Poudlard, et ma bague de fiançailles. Puis quelqu'un toqua à la porte. Mes amis ouvrirent à la personne et nous laissèrent. C'était Ron. Après la guerre, il m'avait demandé pardon pour m'avoir parler de la sorte. Mais, à ce moment-là, je n'étais pas prête à lui pardonner. Avec le temps, j'y suis finalement arrivée, et nous avions retrouvé notre complicité si particulière d'autre fois. - Hermione! S'exclama-t-il. Tu es magnifique! Et il vient me faire un câlin. - Merci Ron. - Je te souhaite tout le bonheur du monde avec Drago. - Merci. Dis-je avec une grand sourire. Et toi, comment ça va avec Cho Chang?
Après la mort de Voldemort, Ron et Cho s'étaient beaucoup rapprochés, et étaient finalement sortis ensemble. - Tout va bien, je te remercie. Bon, je te laisse, je vais voir le Marié. Au fil du temps, une belle complicité était née entre Drago, Ron, Harry et Blaise. Et cette complicité me rendait très heureuse. Les visites s'enchaînèrent: mes parents, des amis de Poudlard, mon grand père... Mais l'arrivé d'Harry coupa court à cela. Harry était mon témoin. J'avais réussi à convaincre Drago. Au début, il n'avait rien voulu savoir, Mais j'ai joué la carte de la pauvre petite fille, et il a cédé. Lui, sans surprise, avait choisis Blaise. - Alors, comment va ma cousine préférée? - Un peu stressée, Mais ca va. Un peu stressée? Mensonge! J'étais morte de trouille. J'avais peur que Drago me laisse tomber, comme ça, en plein milieu du mariage. - Tout va bien se passer. Et puis, du stress, ce n'est pas bien pour mon ou ma filleul. J'étais enceinte de 8 mois maintenant. Et mon gros ventre le montrait bien. Nous ne voulions pas savoir si c'était une fille ou un garçon tout de suite, nous nous étions mis d'accord pour le découvrir le jour de l'accouchement, qui était prévu dans moins d'un mois. Drago était persuadé que c'était un garçon, car tout les Malfoy naisse garçon, mais Moi, quelque chose me disait que c'était une petite fille. - Oui, et bien, ton ou ta filleul, il ne ménage pas sa mère. Dis-je avec ironie. Il sourit avant de me tendre son bras. Je le pris sans hésitation et nous sortîmes de ma chambre. Après notre dernière année à Poudlard, comme promis, nous avions( enfin plutôt Drago avait) acheté une grande maison à la mer. Enfin, une maison, plutôt un manoir. Nous descendîmes les escaliers et arrivâmes devant une porte. Derrière se trouvait l'allée que je devrais remonter au bras de mon père, suivis par mes demoiselles d'honneur, Ginny et Pansy. Harry me prit dans ses bras, me fit un bisou sur le front, me chuchota un << tout va bien se passer >> et Partit rejoindre sa place devant l'hôtel. Mes demoiselles d'honneur arrivèrent, et mon père nous rejoignit. Il me prit dans ses bras lui aussi, et me regarda dans les yeux. - Ma petite fille... je suis si fière de toi... je t'aime. - Moi aussi je t'aime papa. Il me fit un bisou sur le front, et la musique tant connue retentit. Je pris le bras de mon père, mes demoiselles d'honneur prirent le voile derrière moi, et les portes s'ouvrirent.
