3 août 2058. Alexandre Pottier, un chercheur français, trouva le remède contre le cancer. L'annonce fit le tour du monde, représentant une nouvelle bouffée d'espoir pour l'humanité. Les 20 millions de vaccinés ont guéri. Tous, sans exception. 5 années se sont passées sans problème. L'humanité est passée à autre chose, célébrant tout de même chaque année le 3 août, en tant que journée internationale de l'espoir.
Mais, comme dans la plupart des films apocalyptiques, ça a mal tourné. Le vaccin est devenu une malédiction. Les vaccinés ont commencé par devenir agressifs, puis de plus en plus violents. Ils commencèrent à développer des pulsions animales, devenant totalement carnivores et donc intolérants à toute autre nourriture. En 2 semaines seulement, un vacciné passait de personne normale à une sorte de mutant mi-animal , mi-humain. Et l'épidémie s'est propagée. Partout. Par la morsure principalement. Si le sang d'une personne saine rentrait en contact avec un Infecté, elle était directement contaminée.
4 milliards d'humains sont morts, succombant au virus. Les survivants sont peu nombreux, quelques milliers à peine, éparpillés dans le monde entier. Et 3 milliards errent dans le monde, ni vraiment humains ni vraiment animaux, à la recherche de toujours plus de chair fraîche.
Je fais parti de ces 3 milliards.
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Infectée
Science Fiction2058. Un virus a envahi le monde entier, les gens se transformant en bêtes assoiffées de sang : les Infectés. Mais, au contraire des films apocalyptiques, on ne suit pas le point de vue de l'unique survivant de la Terre. Non. On suit le point de vu...
