tu me manques.
mots banals, clichés, pas vraiment frappants, tu le sais. mais tu me manques vraiment.
j'aurai du mal – beaucoup de mal – à définir ce vide que tu as laissé en moi. comme un arbre qui disparaît du jour au lendemain sur le chemin que tu prends tous les jours. comme si une constellation sortait soudainement du ciel. tu commences à comprendre ? parce que pas moi. je sonne creux. je suis vide. j'ai même arrêté de me parler à moi-même, parce que il n'y a plus aucun objectif derrière tout ça. c'est inquiétant, hein ? la monotonie des événements m'encombre.[c'est toujours fictif, okay ? j'aime tellement écrire ça. je vais faire une troisième partie.]
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l'effet mer
कविताque le silence doit se sentir seul. (la photo de couverture ne m'appartient pas.)