𝑐𝘩𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 𝟣𝟦 : 𝑚𝑒𝑛𝑎𝑐𝑒𝑠 𝑑𝑒 𝑚𝑜𝑟𝑡

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Paris, France
19h30
Point de vue : Kylian Mbappé

Je gare ma voiture devant l'immeuble où réside Brunella, et sors de celle-ci.
Je monte les escaliers menant à son appartement, en espérant très fort que son frère n'y soit pas. Brunella m'avais tout raconter de ce qui s'était passé ce matin, et si il me voit venir chercher sa sœur, je crois bien que je ne sortirai pas de leur appartement vivant.
J'arrive devant la porte numéro 22, prends mon courage à demain et sonne à celle-ci.

Je respire un bon coup, et la porte s'ouvre soudainement, ce qui me fit sursauter.
Brunella : ah Kylian, c'est toi.
Je soupire de soulagement en voyant que c'est elle. Ça se voit qu'elle ne s'attendait pas à ce que j'arrive maintenant, car elle était simplement habillée d'un peignoir, et les cheveux enroulés dans une serviette.
Brunella : arrête de me mater, et entre .
Je souris devant son visage légèrement rougis, que j'embrasse en entrant dans sa demeure.
Brunella : je vais terminer de me préparer, fais comme chez toi !
Kylian : d'accord.
Elle s'éclipse rapidement du salon, et me laisse seul accompagné d'un silence.

Mais celui-ci s'est très vite en aller, laissant place à des bruits de serrure dans la porte.
Je tourne la tête vers celle-ci, et qui est très vite ouverte sur celui que je ne souhaitais pas voir.
Mathias me voit debout dans le salon de Brunella, et je pu déjà ressentir la peur au fond de moi. Je sais, je ressemble tellement à un lâche à trembler devant ce gars, mais je pense que vous auriez étais pareil à ma place. Sérieusement, vous seriez tranquille quand vous saviez que vous êtes debout en face d'un tueur ? Et que le prochain sur sa liste est peut-être vous ?
Je déglutis en le regardant s'approcher de la table à manger. Il est à quelques centimètres de moi, qui suis assis dans le canapé.

Mes yeux n'arrêtaient pas de faire des vas et viens entre ma montre et lui, lui qui avait l'air de s'en fichait de ma présence, contrairement à moi. Soudainement fatigué de rester assis, je me lève et m'avance vers un meuble, sur lequel je pouvais reconnaître des photos de famille, ou encore une photo de le groupe d'amies de Brunella. J'analyse chaque photo, et tombe sur une où il y avait les visages de Brunella, Mathias et leur père. Sans que je ne puisse contrôler ma parole, j'attrape le cadre, et me tourne vers le bonhomme musclé derrière moi :
Kylian : c'est toi, Brunella, et votre père sur la photo ?
Qu'est-ce que j'ai fais ? Ce que je ne devais sans doute pas faire. Il me lança un regard noir, peut-être en guise de réponse, ou peut-être pour me faire comprendre d'enlever mes salles mains de leur photo de famille.

Je la dépose donc où je l'avais trouvé, me retourne, mais voilà que je suis soudainement attrapé par le col et plaqué violemment contre le mur. Il m'étrangle presque, avant de me dire :
Mathias : écoute moi bien petit connard de footeux, si j'apprends que t'as quoi que ce soit à ma petite sœur, ça va très mal finir pour toi.
N'en parle jamais de ma petite menace à quelqu'un car je vous trouverai et je vous tuerais tous, compris ?
Des bruits de pas, fait selon par des souliers à talon, viennent me sauver. Mathias me relâche rapidement, l'air de rien devant sa petite sœur.
Brunella : ah, t'es de retour toi ?
Il ne répondît pas, pris son sac, et s'éclipsa du salon. Je me tourne dos à la demoiselle, et essaie de reprendre mon souffle en silence... Mais cellec avait l'air de comprendre que quelques choses n'allaient pas.

Brunella : tu vas bien Kylian, on peut y aller ?
Je tousse, et lui réponds ensuite positivement. Nous quittons donc enfin son appartement, et rejoignons ma voiture qui nous attendais patiemment. Le trajet se passa dans le calme le plus complet, qui semblait gênée à Brunella.
Arrivée au restaurant, mon stress plus au moins redescendu, nous nous rendons rapidement à la table que j'avais raison de réserver. Pour un lundi soir, le restaurant était noir de monde. Après m'être installé sur une chaise, guetté rapidement la carte de menu, mes yeux se plongent dans ceux de Brunella.
Je savais qu'elle savait qu'il y avait quelque chose qui me tracassait et qu'elle me forcerait à le lui dire.

Brunella : je sais que ça ne va pas Kylian, s'il te plaît, dis le moi.
Mes tremblements recommencent à nouveau, me faisant pousser un long soupire. Je devais le dire à quelqu'un, car je ne pouvais pas garder ça pour moi seul. Ça deviendrait compliqué.
Kylian : ton... ton frère m'a fait des menaces de mort.

𝑉𝑜𝑖𝑠𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑜 𝑤/ 𝐾𝑦𝑙𝑖𝑎𝑛 𝑀𝑏𝑎𝑝𝑝𝑒́Où les histoires vivent. Découvrez maintenant