𝑉𝑜𝑖𝑠𝑖𝑛𝑠 𝑑𝑒 𝑛𝑢𝑚𝑒́𝑟𝑜 𝑤/ 𝐾𝑦𝑙𝑖𝑎𝑛 𝑀𝑏𝑎𝑝𝑝𝑒́

𝑐𝘩𝑎𝑝𝑖𝑡𝑟𝑒 𝟣𝟩 : 𝑞𝑢𝑎𝑛𝑑 𝑙𝑒 𝑐𝘩𝑎𝑡 𝑛'𝑒𝑠𝑡 𝑝𝑎𝑠 𝑙𝑎̀, 𝑙𝑒𝑠 𝑠𝑜𝑢𝑟𝑖𝑠 𝑑𝑎𝑛𝑠𝑒𝑛𝑡.

Paris, France
20h30
Point de vue : Brunella Louise

Brunella : passé une bonne soirée bisous !
Je referme la porte et saute de joie. Grégory et Mathias sont sortis pour la soirée, me laissant seule ce soir chez moi. J'ai réussi a convaincre Grégory de faire sortir mon frère, afin de me laisser un peu seule et de retrouver ma liberté.
Je souris grandement en allant chercher un pot de glace dans mon réfrigérateur et m'assois dans mon fauteuil, devant ma télé, allumer sur un bon film Netflix. Je récupère mon téléphone et traîne sur mon réseau social favori qu'es Instagram.

Je me dirige dans mes DM et vois que j'ai reçu un message de mon joueur parisien préféré. Je repense à ce qu'il a dit à Grégory cette après-midi, me faisant rire légèrement. Je dois avouer que je suis assez contente du fait que Kylian soit jaloux.

Kylian
Salut beauté !

Brunella
Quel lunatique celui-là ! Alors tu n'es plus fâché ?

Kylian
Non. Je ne peux rester plus longtemps fâché face à une fille aussi belle que toi ! 😚

Brunella
Arrête tes conneries et viens plutôt me voir 😏

Kylian
J'aurais bien aimé mais ton frère alors ? Tu veux qu'il me tue ?

Brunella
Il n'est pas là gogole, il revient seulement demain vers midi !

Kylian
Oh, je vois. Alors, tu ne me le dis pas deux fois chérie 🥰

Après la réception de son message, je souris grandement en verrouillant mon téléphone. Après une ellipse de quarante-cinq bonnes minutes, Kylian débarque enfin chez moi.
Je bondis de mon fauteuil après avoir entendu la sonnette retentir, et pars ouvrir la porte.
Kylian : bonsoir, c'est le livreur de pizza.
Je rigole idiotement face à son humour pitoyable et m'empresse de l'embrasser les lèvres. Il sourit contre les miennes et viens soudainement me prendre par les hanches afin de me porter. Il pris soin de refermer la porte avant de m'emmener dans le fauteuil le plus proche. Tout en continuant de m'embrasser, il se muni du bout de mon T-shirt et commença à l'enlever doucement. Je le pousse sur le fauteuil, bien plus grand que celui où nous étions, et ce fut à mon tour d'enlever le sien.

Je m'assois ensuite à califourchon sur lui et nous recommençons l'activité que je me passe de vous raconter en détail.

Paris, France
21h21
Point de vue : Mathias Louise

Grégory me sers un verre de whisky et vient ensuite s'asseoir dans le fauteuil en face du mien. Je pense à ma sœur. Je sais qu'elle a profité de mon absence pour inviter son footballeur de mes deux à la maison. Je bouillonne de colère à l'intérieur de moi. Je ne sais pas quand est-ce que elle va accepter le fait que cet homme n'est pas fait pour elle. Vous me direz que l'amour rend aveugle, mais pour moi, elle ne peut pas aimer un gars que je n'accepte pas qu'il devient mon beau-frère.

Grégory : à quoi tu penses ? Me dit-il
Mathias : d'après toi enfoirés ?!
Grégory : t' inquiète pas moi non plus je n'aime pas ce Kylian.
Je rigole nerveusement et le mitraille du regard. Je ne crois pas qu'il sait, que je sais que, lui aussi, il aimerait bien se taper ma sœur. Je sors un couteau de ma poche, et je peux déjà apercevoir le type en face de moi commencer à trembler.
Grégory : range moi ça frérot, tu joues à quoi ?
Mathias : arrête de stresser je ne vais pas l'utiliser pour toi, du moins, pas maintenant...
Grégory : me dis pas que... Tu vas le tuer ?
Mathias : et qu'est-ce que ça pourrait te faire ?

Grégory : mais tu as déjà tué sa mère, enfin votre mère, et là maintenant tu veux tuer son petit copain ?
Je fronce les sourcils et ressort le couteau de ma poche, le montrant qu'il en avait déjà trop dit. Je me lève doucement, et m'approche vers lui. Je pointe mon couteau sous sa gorge, tout en tenant son cou de ma main gauche, avant de lui dire :
Mathias : elle ne doit en aucun cas savoir que la personne que j'ai tué était notre mère. Alors à partir de maintenant, tu seras de mon côté et tu auras intérêt de la fermer, sinon c'est ton sang qui se retrouvera sur cette lame, compris ?
Il déglutit avant de répondre positivement.
Je repars donc m'asseoir, en espérant maintenant que, pour le footballeur, il se tiendra à carreaux.