𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 34

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"➨ 𝑨𝒕𝒕𝒆𝒏𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒔𝒄𝒆̀𝒏𝒆 𝒆𝒙𝒑𝒍𝒊𝒄𝒊𝒕𝒆, 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒔𝒆𝒏𝒔𝒊𝒃𝒍𝒆𝒔, 𝒗𝒆𝒖𝒊𝒍𝒍𝒆𝒛 𝒅𝒆́𝒇𝒊𝒍𝒆𝒓 𝒋𝒖𝒔𝒒𝒖'𝒂̀ 𝒍𝒂 𝒇𝒊𝒏 𝒅𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒄𝒆̀𝒏𝒆"

Nous parvenons maladroitement jusqu'à notre chambre, éprouvant un besoin peut-être inutilement contraignant de ne pas quitter les lèvres de l'autre. La porte se referme quand Jungkook me plaque contre cette dernière et je lui retire son t-shirt avec empressement tandis qu'il entreprend de déboutonner ma chemise. Grave erreur vestimentaire Taehyung, beaucoup trop long à retirer. Mes mains parcourent longuement son torse et nos baisers s'enflamment quand je délaisse enfin mon haut quelque part dans la pièce ravie de pouvoir enfin m'en délester. Je ne suis pas certain de parvenir à retirer l'entièreté mes vêtements sans m'évanouir sous l'intensité de notre échange. C'est nouveau et déstabilisant.

- Hyung... Murmure langoureusement Jungkook avant de venir abaisser mon pantalon avec empressement. Je m'en débarrasse d'un geste habile avant de descendre la fermeture de son jean, ne dissimulant aucunement mon impatience. Je me consume d'un désir trop pressent. Je veux qu'il me touche, je veux sentir ses mains sur ma peau tout en me délectant de cette sensation grisante qui me gagne.

Trouvant difficilement mon souffle je soupire lourdement en sentant enfin le corps presque nu de Jungkook se presser contre moi. Je viens alors glisser mes mains dans sa nuque afin qu'il puisse me soulever avec plus d'aisance. Mes lèvres marquant la peau frissonnante de sa nuque, il nous mène jusqu'au lit et m'étend délicatement contre le matelas. Avide, je soulève mon bassin pour rencontrer le sien dans une longue supplication et je sens son souffle s'échouer contre mes lèvres.

Il m'a eu, s'en est finis de résister. Pour de bon, je ne choisis pas la voix de la sagesse. Au diable l'altruisme et ma place au paradis. La belle affaire, de toute façon je ne suis pas croyant.

- Ton odeur me rend dingue... Grogne Jungkook ses doigts, s'insinuant dans mon sous-vêtement pour venir les presser contre mon entrejambe.

Sa voix suave et rauque me procure de longues décharges et il me paraît inconcevable qu'un autre homme puisse ainsi me posséder. Chaque parcelle de mon corps réagit à ses attentions, et à cet instant, je ne suis plus capable de raisonner.

- Embrasse moi... Je gémis faiblement, à sa merci, tout en griffant sa peau sous ses caresses.

Son souffle cognant contre mes lèvres, je remonte l'une de mes mains dans ses cheveux, Agrippant ses mèches sous un mouvement plus intense. Il m'offre finalement ce que je convoite et sa langue trouve rapidement la mienne, nous emportant dans un échange aussi grisant que passionné.

Notre fougue alimente l'impatience de nos gestes et bientôt nos caleçons volent à travers la pièce, provoquant l'inévitable friction de nos membres. Nos gémissements rauques s'échouent sur les lèvres de l'autre et je ne m'interdis pas de confronter ses iris sombres. Je pourrais m'embraser sous ce regard enflammé.

Sentant l'une de ses mains glisser entre mes cuisses, je passe l'une de mes jambes dans son dos afin de lui faciliter l'accès à mon intimité. Prévenant, je le sens alors devenir plus langoureux. Ses lèvres viennent embrasser ma peau, parcourant ma nuque sans masquer son plaisir quand il soupire lourdement.

Une brève pensée traverse mon esprit embrumé et je l'oblige à se retirer en agrippant son poignet. Nos regard se croisent et un instant lattant, il m'oppose une parfaite incompréhension. J'entreprends alors d'échanger nos positions et malgré le manque de préparation inhabituelle, je le surprends en prenant les devants. Je le laisse s'enfoncer en moi, grimaçant sous la sensation et il se redresse pour agripper mon bassin.

𝐏𝐡𝐨𝐛𝐢𝐚 | 𝐕𝐤𝐨𝐨𝐤Où les histoires vivent. Découvrez maintenant