ANDREA

Chapitre 29

Bonne lecture !

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PDV Andrea

Lorsque la limousine fût partie, nous entrâmes dans l'immeuble. Les portes étaient grandes ouvertes. Plusieurs hommes accompagnés de femmes rentraient dans la salle en montrant leurs invitations.

Rafael fit de même. Lorsque nous pénétrâmes la salle, une musique douce vint bercer mes oreilles. Quelques couples dansaient et d'autre étaient tout simplement assis autour des tables rondes. Les serveurs marchaient dans la salle accompagné de verre de vin, ou de petit encas.

Un homme vint nous accueillir.

-Bonsoir, M. De-los-Santos. Je suis ravi de vous voir à cette réception.

-Bonsoir monsieur le Directeur-

-Allons, ne soyons pas dans les formalités, appelez moi Francesco.

-Je suis ravi d'être ici.

L'homme posa son regard sur moi, puis sur ma poitrine.

-Et vous, comment vous appelez-vous ?

-Andrea.

-Enchanté de faire votre connaissance.

Lorsqu'il me tendit sa main, je sentis le bras de Rafael se contracter.

Pour ne pas paraître désagréable, je lui la tendit. Il l'embrassa et me regarda dans les yeux.

-Vous avez des yeux magnifiques. La couleur grise est très rare.

Alors que j'allais lui répondre, Rafael pris la parole.

-Retrouvons nous au deuxième étage après la soirée.

-Bien, sur-ceux je vous laisse profiter.

Il partit en retroussant ses manches. Je tournai ma tête pour regarder Rafael sauf que lui me regardait déjà.

-Faut vraiment que t'arrête. Chuchotai-je.

-De ? Dit-il d'un ton moqueur. Bien sûr, il ne put s'empêcher d'émettre un petit sourire en coin.

Nous allons vers notre table attribuer.
Alors que j'allais m'assoir, Rafael me tend sa main.

-Tu vas quand même pas t'asseoir alors que t'as une si jolie robe.

-Tu viens de me complimenté ? Eh bah, je pensais pas que ça allais arriver. Ironisais-je.

Je répondis à son offre et pris sa main. L'homme m'entraîna sur la piste de danse et je me remerciais d'avoir pris des cours de danse pour une ancienne mission.

Nous étions collés l'un à l'autre. Mes bras entouraient sa nuque pendant que les siens tenaient ma taille.
Son parfum était délicieux à respirer. C'était une odeur boisée.

-Tu sens très bon. Chuchotais-je.

En guise de réponse il resserra son étreinte.