Chapitre 44

5.4K 151 287
                                    



Bonne lecture !

_____________________

PDV Rafael

Je garai la voiture non loin de la maison d'Isabella. Mes mains encore sur le volant bouillonnaient d'envie de tuer. De sentir le sang chaud. Je voulais voir la lueur de vie dans leurs yeux s'éteindre.

Mes pieds se posèrent sur le béton du trottoir. Je contournai la voiture dans un pas calme.

Le calme avant la tempête.

Plus j'avançais, plus mon envie de meurtre devenait vital. J'avais besoin de ressentir le sang sur mes mains. Les voir souffrir. Les voir me supplier de les épargner.

Arrivé devant la porte, j'appuyais sur la sonnette. Après un long moment d'attente d'une minute la porte s'ouvrit sur Isabella. Ses yeux verts s'écarquillèrent de surprise face a ma présence.

-Qu'est ce que tu fais là ?

-Bouge.

-Mais Rafael-

Mon arme se positionna sur son front.

-Tu veux rejoindre ta sœur ?

Elle me regarda avec surprise et incompréhension.

-M-ma sœur ?

Elle était pas encore à courant ?

-Ouais ta sœur. Mon frère a mis une balle dans la tête de ta sœur.

Son regard se baissa.

-C'est pour ça que t'as attaqué Juan ?

-Bouge.toi.de.là

-Rafael si c'est pour mes hommes je-

J'attrapai son bras et la tirai hors de la maison.

Mes jambes me menèrent aux salons où tous les hommes d'Isabella étaient. Chacun d'entre eux avaient une poche de glace quelques parts. Même sur les couilles. Putain, elle les as pas raté.

-On va la baiser fort cette petite pute.

Ils ne m'avaient pas encore remarqué. Sauf un. Celui qui avait la glace sur les couilles. Je lui fis signe de se taire et c'est ce qu'il fait. Bien sûr. Pourquoi je suis obligé de le préciser ? C'est tellement évident.

-Mais t'as entendu Isabella ! Elle fait parti du cartel de Rafael. On peut plus la toucher ou même la tuer.

-Fais pas ta gonzesse, si Rafael apprend ce qu'elle nous a fait il va la buter.

La seule chose que j'avais envie de faire à ce moment précis c'était rire. Pourquoi je devrais la tuer et pas eux ?

-A ton avis qui il croirait entre nous et elle la nouvelle pute qui vient d'arriver.

Ses paroles étaient beaucoup trop sûr. Et cela commençai à vraiment m'irriter.

Je contournai le canapé et m'y installai.
Mes fesses se soulevèrent pour que je puisse atteindre mon briquet.

ANDREAWhere stories live. Discover now