Chapitre 40

4.8K 130 126
                                    


Hey ! Attention âme sensible : attouchement non consentant...

Bonne lecture !

____________________

3 heures plus tôt

PDV Andrea

Son poing se fourra dans mon ventre ce qui, je pense, retourna mon estomac. Je sentis mon dos se heurter contre quelque chose mais je ne savais pas quoi.

Ma tête aussi avait pris un certain coup. Ma vue se flouta pendant quelques secondes me laissant apercevoir la grosse silhouette de l'homme se rapprocher à grand pas.

Il tendit son bras vers mon cou, mais avant qu'il ne l'atteigne, je balançai mon pied dans son entre-jambe.

Il se plia de douleur le temps de 10 secondes ce qui m'était amplement suffisant pour me faufiler derrière lui.

Avant qu'il ne se tourne, je le poussai grâce à mon pied contre la voiture.

Son visage s'écrasa sur la vitre ce qui me permis de reprendre mes esprits mais cela suffit aussi à ses acolytes pour venir m'attraper de manières à ce que je ne puisse plus me défendre.

Entre temps, les enfants qui jouaient et les adultes qui les surveillaient s'était réfugier chez eux. La rue était complètement vide.

-Tu va voir ce que je fais aux putes dans ton genre.

C'est-a-dire ?

Ma question s'envola aussitôt quand je sentis un homme se placer derrière moi.
Il colla son engin sur mes fesses.

Un haut le cœur me prit. Je me débattais comme je le pouvais mais leurs forces étaient insoutenables. Il plaça ses mains répugnantes sur ma taille pour m'empêcher tout mouvement.

La seul chose qui montait en moi c'était le dégoût et la colère.

-En même temps, regarde moi ce beau cul. Qui n'aimerai pas t'enculer ?

Il s'approcha lentement de mon corps qui lui n'arrivai plus a supporter mon poids. Son visage barbu se fourra dans mon coup.

-Et en plus tu sens la fleur ! Mais on a dégoté une perle rare les gars !

Ses lèvres effleurèrent ma peau et remontèrent jusqu'à ma mâchoire.
Leurs mains se promenaient partout sur mon corps mais surtout vers mes cuisses et mes seins.

Et franchement entre sa mauvaise haleine et leurs mains, je préférai encore qu'on m'exécute à la chaise électrique.

Mais il me restai un moyen de m'échapper.

Pendant que l'autre gros porc collait ses lèvres sur ma joue, je balançai ma tête en arrière pour cogner celui qui se frotter à moi.

Les deux hommes qui retenaient mes pauvres bras -qui sortiront sûrement de ce cauchemar avec une couleur bleuâtre- ont été surpris et relâchèrent pendant un millième de seconde leur poigne féroce. C'était un temps suffisant pour moi pour me dégager de leur emprise.

ANDREAOù les histoires vivent. Découvrez maintenant